Désigne deux standards de transmission numérique pour les lignes téléphoniques directes de la société américaine Bell Systems. Les taux de transfert sont de 1,54 Mbit/s et 44,768 Mbit/s.

Voir tabulation.

table attachée.

table d'allocation des fichiers.

table de montage vidéo.

table de vérité.

table des illustrations.

table des index.

table des matières.

table des pistes défectueuses.

table traçante.

Dans une base de données, se dit d'une table contenant des données renvoyant à une autre table ou prélevées dans une autre table.

On la trouve sous MS-DOS. C'est une sorte de table des matières concernant les fichiers et les disques durs. On l'appelle en anglais "file allocation table" et, par abréviation, FAT.

Dispositif servant au traitement des films vidéo. Il permet par exemple d'insérer après coup des transitions et des titres ou de mixer des signaux audio. Les nouveaux modèles présentent, en regard des anciens, de nettes améliorations pour ce qui est du confort et de la facilité d'utilisation. La réunion de plusieurs fonctions en un seul appareil est un autre avantage de l'évolution actuelle. Beaucoup de tables peuvent être raccordées à un PC.

Table donnant la valeur de vérité (VRAI ou FAUX) d'une formule logique pour toutes les valeurs de vérité des variables logiques apparaissant dans la formule.

La première ligne d'une table de vérité contient les différentes variables logiques ainsi que la formule étudiée. Il y a ensuite autant de lignes qu'il y a de combinaisons possibles pour les valeurs de vérité des variables (par exemple deux variables donnent quatre combinaisons : VRAI et VRAI, VRAI et FAUX, FAUX et VRAI, FAUX et FAUX). On inscrit dans la dernière colonne la valeur de la formule dans chaque cas.

Fonction d'un traitement de texte qui insère automatiquement une table des illustrations composant un document. Lors de l'ajout ou de la suppression d'illustrations ou de pages dans le document, la table des illustrations est automatiquement mise à jour.

Table contenant la classification des renvois, des indices ou des clés, vers l'adresse physique d'un objet ou d'une instruction. Les fichiers d'index sont utilisés pour l'organisation des fichiers.

Par rapport à l'organisation séquentielle (numérotation croissante des fichiers), à l'organisation directe (tous les fichiers comportent une information d'adresse sous la forme d'un renvoi), à l'organisation éclatée (l'accès s'effectue après calcul mathématique de l'adresse par rapport au renvoi) et à l'organisation chaînée (tous les fichiers comportent un renvoi vers l'adresse d'un ou plusieurs fichiers), l'organisation par indexation des fichiers peut s'effectuer par une indexation séquentielle et par une indexation séquentielle hiérarchisée.

L'organisation séquentielle indexée utilise une seule table des index linéaires alors que l'organisation séquentielle indexée hiérarchisée s'effectue à partir de plusieurs tables des index hiérarchisés.

La plupart des logiciels de traitement de texte offrent une fonction d'insertion automatique d'une table des matières. Celle-ci est généralement constituée à partir de styles de paragraphes précis (voir style de paragraphe), servant de niveau de titre. La table des matières créée grâce à cet outil est automatiquement mise à jour lors de l'insertion ou de la suppression de pages dans le document.

Les pistes d'un disque dur où sont apparus des secteurs défectueux (voir secteur) sont consignées dans la "table des pistes défectueuses", et laissées de côté lors des opérations de mémoire afin d'éviter les erreurs d'écriture ou de lecture.

Les lecteurs de disque dur actuels traitent les pistes défectueuses et autres défauts en interne, sans gêner le BIOS, le système d'exploitation, ni non plus, bien sûr, l'utilisateur.

Elle sert à produire de grands dessins techniques de taille pouvant atteindre le format A0. Les tables traçantes travaillent d'habitude avec un rouleau qui entraîne le papier. Le dessin est exécuté par des pointes touchant le papier posé sur le rouleau. Les lignes et les couleurs sont représentées par la combinaison du mouvement du papier, du mouvement des pointes et du changement des pointes.

Une autre forme typique est la table traçante à plat, où les pointes se déplacent en deux dimensions tandis que la feuille reste posée horizontalement. Cette solution nécessite cependant beaucoup de place.

Voir imprimante.

tableau (bureautique).

tableau (programmation).

Un tableau permet de présenter des données disposées par lignes et par colonnes. Les cellules (voir cellule) de cette grille sont repérées par leur numéro de ligne et de colonne. Les tableaux à une dimension ne comportent qu'une seule colonne et s'appellent alors listes. Les tableaux à deux dimensions sont des tableaux à double entrée qui permettent de concevoir une base de données et une feuille de calcul.

La plupart des traitements de texte actuels proposent une fonction pour entrer facilement des tableaux. Il n'est donc plus nécessaire de travailler avec des tabulations, puisque les entrées sont ordonnées les unes par rapport aux autres.

En plus de la saisie facilitée, les programmes permettent le plus souvent d'effectuer des calculs simples à l'intérieur des tableaux.

Lors du travail sur un tableau, l'utilisation du clavier diffère souvent un peu de celle qui en est faite pour écrire un texte normal (par exemple, la touche "Tab" fait avancer d'une cellule).

Les bases de données structurent de même les données dans un tableau, mais les présentent, pour accroître la visibilité synoptique, à l'aide d'un formulaire ou d'un masque. Dans ce cas, une ligne représente un enregistrement de données et une colonne un champ de données.

En établissant un lien entre plusieurs tableaux, il est possible d'obtenir des tableaux à plusieurs dimensions. Les tableaux sont largement utilisés dans le traitement électronique des informations, car ils permettent de traiter de manière relativement simple et intuitive une grande quantité de données. De nombreux ordinateurs personnels comportent aujourd'hui un tableur.

Dans un tableau, les données d'une base de données sont placées les unes à la suite des autres : un enregistrement de données correspond à une ligne et un champ de données à une colonne. Il est possible d'y faire figurer plus de données que dans un formulaire.

Ensemble d'éléments classés et désignés par un nom commun. On peut le comparer à une table ou à une matrice.

Un tableau peut être qualifié par son nombre de dimensions (une dimension, deux dimensions, etc.) ainsi que par le nombre d'éléments dans chaque dimension. On parle par exemple d'un tableau à deux dimensions de 2 x 3 éléments pour une table comprenant deux lignes et trois colonnes.

Les tableaux sont utilisés en programmation, car ils permettent de classer et d'adresser facilement d'importants volumes de données.

On l'utilise pour montrer, dans une perspective variable, les différents contenus qui ne peuvent être représentés de manière suffisamment synoptique dans un tableau (par exemple, les chiffres d'affaires pour divers produits dans les différentes filiales sur plusieurs années).

De cette façon, il est possible de prendre en compte d'abord un produit sur plusieurs années dans les filiales individuelles, puis de changer la représentation pour montrer tous les produits de toutes les filiales pendant une année.

Voir aussi tableur.

En anglais : array. Ce terme désigne généralement la disposition régulière d'éléments individuels. Un tableau peut être décrit par sa dimension (à une dimension, à deux dimensions, etc.) ainsi que par le nombre d'éléments présents dans les différentes dimensions. On parle par exemple d'un tableau bidimensionnel à 2x3 éléments. Ce terme est notamment utilisé pour décrire des structures de données. Les éléments peuvent être accédés soit de façon collective (avec un seul nom commun), soit individuellement (à l'aide d'une adresse unique). Un tableau de données est ainsi comparable à une table. Mais la disposition régulière d'éléments matériels peut également être désignée par ce terme : par exemple, une unité de disque (disk array) est une disposition ordonnée de plusieurs disques durs coopérant selon un schéma prédéfini (cf. RAID).

Tablettes graphiques

La "tablette de numérisation" ou "console graphique" est un appareil spécial d'entrée des données, grâce auquel les maquettes graphiques peuvent être converties en informations numériques, en redessinant les contours à l'aide d'un crayon spécial ou d'une loupe.

Sous la surface de la console se trouvent des capteurs, qui recueillent les signaux tout au long du chemin pour les acheminer au PC. Les tablettes de numérisation de qualité peuvent atteindre une résolution de 1000 dpi.

Voir tablette graphique.

Elle combine la technique de travail de la souris et la présence d'un crayon électronique. À la différence de la souris, les tablettes graphiques ne transmettent pas les modifications relatives sur la surface, mais les coordonnées absolues, qui sont transférées directement sur l'écran.

Le crayon électronique permet une haute précision de dessin. En plus de la commande du curseur avec le crayon électronique, qui est avantageuse surtout pour dessiner sur le PC, certaines tablettes offrent une sensibilité à la pression. Cela signifie qu'une pression plus forte ou plus faible sur la tablette produit des lignes plus épaisses ou plus fines dans le programme graphique.

Pour numériser les graphiques, on utilise un type spécifique de tablette graphique : la tablette de numérisation.

Avec un "tableur" sont envisageables presque toutes les sortes de calculs. Les avantages particuliers d'un tableur résident dans le recalcul rapide des données numériques, même en quantités importantes, et dans l'intégration des nombres dans des diagrammes synoptiques. En outre, on peut utiliser les tableurs pour gérer les données : dans ce cas ils fonctionnent comme une base de données.

Les cellules (voir cellule) peuvent contenir des valeurs ayant diverses caractéristiques (par exemple pourcentage, etc.) que l'on mettra ensuite en relation par des formules. Le logiciel place automatiquement le résultat dans le champ sélectionné.

Les tableurs les plus connus sont Excel de Microsoft, QuattroPro de Corel et Lotus 1-2-3.

(Abréviation : "tab") Les tabulations sont utilisées en traitement de texte pour placer en retrait certaines parties de texte, par exemple dans le but de mettre en évidence une addition. Les tabulations peuvent être alignées à gauche, à droite ou centrées, ou alignées sur la virgule décimale des chiffres. Lorsque l'utilisateur appuie sur la touche Tab du clavier, le curseur se positionne sur le taquet de tabulation suivant.

La "tâche" désigne tous les devoirs que l'ordinateur doit accomplir, par exemple exécuter un programme. Le mot multitâche indique la capacité de l'ordinateur - plus précisément du système d'exploitation - à exécuter plusieurs tâches parallèlement ou consécutivement (multitâche préemptif et multitâche coopératif).

Tâche exécutée en premier plan, c'est-à-dire à priorité élevée.

Composant de mémoire sur la carte mère d'un ordinateur responsable de l'interaction correcte entre le cache de second niveau et la mémoire vive. Normalement, l'utilisateur ne devrait pas se préoccuper de ce détail technique, mais de nombreux de fabricants équipent leurs cartes mères de composants Tag-RAM trop petits qui ne permettent la mise en cache que de 64 Mo au maximum. Il faut donc prendre ce composant en considération si l'on souhaite par exemple intégrer 128 Mo de mémoire dans son PC. Il est heureusement possible, pour la mise à niveau souvent nécessaire du cache de second niveau (512 Ko), avoir recours à des modules "coast" dont il existe des versions avec un composant Tag-RAM intégré.

Elle est indiquée traditionnellement en pouces, mais le droit commercial exige l'utilisation des unités courantes : la diagonale de l'écran doit être exprimée en centimètres. Les formats courants sont 14 pouces (35 cm), 15 pouces (38 cm), 17 pouces (43 cm), 20 pouces (50 cm), 21 pouces (53 cm). De toute façon, ces indications sont plutôt théoriques, car aucun tube cathodique n'est totalement utilisé, tandis que la mesure de la diagonale se rapporte à la taille physique réelle.

Il y a un rapport direct entre la diagonale et la résolution qui dépend de l'écart entre les points du moniteur : en tenant compte des points d'image physiquement présents, avec un tube cathodique de 15 pouces la résolution de 1 024 x 768 points n'est pas optimale, mais beaucoup d'appareils sont encore capables d'éviter le scintillement.

La fréquence de répétition d'image que l'on peut atteindre conditionne l'absence de scintillement pour la résolution correspondante.

Société fondée en 1992 par Apple et IBM afin de développer un système d'exploitation commun. Voir aussi OpenDoc. En 1994, Hewlett Packard rejoint Taligent. Fin 1995, IBM décide de confier la promotion des produits Taligent à l'extérieur et reprend entièrement le développement à sa charge.

Les produits tournent autour de Java, du Web et de la programmation orientée objet.

En jargon informatique, ce mot a un sens bien précis : il s'agit d'une conversation entre deux participants et pas plus. Un autre terme pour "bavardage" (écrit) sur un réseau ou un serveur télématique est tchatcher.

Imprimante laser

On appelle "tambour d'image" ou "d'impression" le tambour photoélectrique et photosensible des imprimantes laser ou LED (voir imprimante). Au moment de l'impression, l'effet photoélectrique produit sur le tambour d'impression une image définie par la charge qui capte les particules colorantes. Celles-ci sont ensuite transférées sur le support d'impression et fixées par échauffement.

C'est l'abréviation de "transaction number". On utilise ces numéros lors de transactions bancaires à domicile (voir homebanking). Ils permettent une plus grande sécurité, par exemple pour les virements. Pour chaque transaction, on doit prendre un TAN dans la liste préparée par la banque.

Le Tandy 200

Commercialisé en 1985 et vendu alors au prix de 10 000 francs, ce modèle 200 de Tandy était muni d'un processeur 80C85. Il comptait 24 Ko de mémoire vive non volatile (RAM), 40 Ko de mémoire morte (ROM), une interface cassette et un écran LCD pouvant afficher 16 lignes de 40 caractères.

Livré avec un tableur, un traitement de texte et un agenda, le Tandy 200 est un précurseur des portables agendas actuels.

Voir aussi ordinateur portatif et portable (ordinateur).

Alice de Matra, conçu par Tandy aux USA.

L'histoire de Tandy Corporation commence en 1919, lorsque Charles Tandy parvient à multiplier le chiffre d'affaires de sa société, en se tournant vers la commercialisation du cuir. Par la suite, c'est vers l'industrie électronique qu'il va s'orienter.

Par la gamme de produits proposés et l'éventail de ses distributeurs, Tandy touche une clientèle variée :

Radio Shack est une chaîne de distribution de produits électroniques ;

computer City, une autre chaîne, commercialise de nombreux ordinateurs (voir ordinateur) et logiciels (voir logiciel) ;

Incredible Universe : un ensemble de boutiques spécialisées dans le divertissement et l'électronique grand public ;

McDuff Electronics : un important distributeur de produits audio et vidéo ;

The Edge in Electronics : le spécialiste de l'électronique portable.

John V. Roach est l'actuel P.-D.G. et président du groupe.

Voir aussi :

Tandy 200.

TRS-80 (Tandy).

Groupe fondé en 1967 par Edgar Froese. Il fut l'un des précurseurs en matière de musique expérimentale électronique (voir musique électronique).

Voir lecteur de bande.

Voir bande magnétique.

Le "tapis de souris" est un petit support en matière synthétique ou en caoutchouc mousse, dont la surface, contrairement à celle d'une table, se prête particulièrement bien aux déplacements d'une souris. Comme beaucoup de souris captent les mouvements à l'aide d'une boule roulante, le support doit présenter une bonne adhérence. Pour les souris captant les mouvements de manière optique, une grille quadrillée se trouve sur le tapis.

Voir tabulation.

Ce mot anglais signifie "cible" ou, dans le contexte de la transmission de données, "récepteur". C'est le contraire de "source".

taux d'innovation.

taux de transfert.

taux de transmission.

Rapport entre la taille d'un fichier avant et après sa compression. Exemple : avec un taux de compression de 3, la taille d'une image de 900 Ko passe à 300 Ko.

On le mesure en "bps" (abréviation de "bits per second" [écrit aussi bit/s]). Un bps est la quantité de données transmises dans un canal physique au cours d'une unité de temps. On peut également appeler le "taux de transfert" des données taux de transmission des données. Le choix des protocoles, la largeur de bande et la qualité des lignes utilisées (pas de parasites) sont essentiels pour que le transfert s'effectue de manière satisfaisante. À l'heure actuelle, les transferts de données s'établissent souvent à 14 400-28 800 bps pour les communications téléphoniques analogiques et 128 000 bps sur les lignes ISDN. Ces liaisons spécialisées (LS) sont de plus en plus utilisées par les professionnels et permettent les transferts de données à 128 000 bps. Comme la majorité des transferts de données se font toujours par téléphone, ce qui augmente très sensiblement les factures, ils sont souvent remis en question. Le taux de transfert des données est une des caractéristiques du protocole de transmission d'un modem. Si l'on utilise une ligne téléphonique, ce taux est le nombre de canaux logiques utilisés multiplié par le débit de modulation (défini en bauds).

Il faut bien distinguer le taux de transfert des données du débit de modulation. Si les données sont compressées, le débit de modulation est multiplié par le facteur de compression, alors que le taux de transfert des données reste le même (voir V42bis). Le taux de transmission effectif ou taux de transfert net d'ordinateur à ordinateur permet d'obtenir le débit des données. En le calculant, on néglige toutes les informations qui ne servaient qu'à la synchronisation et à la transmission des sommes de contrôle. Pour bien souligner la différence avec le transfert net, on appelle parfois le taux de transfert, taux de transfert brut.

Voir taux de transfert.

On désigne ainsi la vitesse à laquelle les nouveautés techniques sont introduites. Il est particulièrement élevé en informatique : il est recommandé de renouveler complètement son matériel et ses logiciels tous les deux ou trois ans si l'on ne veut pas qu'ils soient obsolètes (voir matériel informatique, logiciel).

(angl. "To Be Announced") Expression de jargon informatique. Exemple : "A new release is TBA" ("une nouvelle version sera bientôt mise sur le marché").

(angl. "to be determined", "à déterminer") Expression de jargon informatique.

En jargon informatique, c'est l'abréviation de "try before you buy" ("essaie avant d'acheter").

Ports COM

"TC" ("Transmitter Signal Element Clock") est le nom de l'une des lignes d'horloge de l'interface série (voir interface série) en fonctionnement synchrone. Sur un PC, le fonctionnement synchrone n'est pas usuel et n'est pas possible avec des interfaces standard.

C'est le synonyme familier de "bavarder". Il ressemble au mot anglais "chat". On dit que deux ou plusieurs utilisateurs "tchatchent" lorsqu'ils conversent en ligne. Il peut aussi s'agir plus précisément de la conversation entre le SysOp et la personne qui initie l'appel dans un service télématique (voir BBS).

Système de programmation développé par John Ousterhout et s'inspirant des éditeurs d'UNIX. L'extension TK est un widget qui gère les interfaces graphiques de type X Motif.

("Transmission Control Protocol") Un des principaux protocoles de la série TCP/IP. TCP figure parmi les protocoles assurant une liaison en mode duplex intégral qui se situent sur la couche 4 du modèle à couches OSI.

Contrairement au TCP, le protocole UDP ne gère ni la liaison, ni la transmission par paquets.

("transmission control protocol/internet protocol") Désigne toute la famille de protocoles qui fut d'abord créée pour le ministère de la défense américaine (Department of Defense -DoD). Leur but était de relier des ordinateurs situés dans différents réseaux (voir ARPAnet). Aujourd'hui, TCP/IP est utilisé dans de nombreux réseaux locaux (voir LAN) et il sert de base au réseau mondial Internet.

Le protocole Internet (voir IP) s'occupe du transfert des données (3e couche du modèle à couches OSI), tandis que le protocole de contrôle de transmission (voir TCP) s'occupe de la réception (quatrième couche du modèle OSI).

À côté de cette famille de protocoles, il en existe d'autres, comme UDP (abréviation de "User Datagram Protocol"), qui ressemble aux TCP, mais qui n'offre pas la même sécurité.

On regroupe aussi avec les TCP/IP, ou "famille DoD", des protocoles concernant des couches plus élevées. C'est le cas de FTP (abré. de "File Transfert Protocol") et de SMTP (abré. de "Simple Mail Transfer Protocol"), qui servent à la transmission de données et au courrier électronique (voir e-mail).

Le protocole TELNET supporte l'émulation de terminal et permet l'accès interactif à un autre ordinateur. FTP, SMTP et TELNET s'appliquent dans la septième couche du modèle OSI.

La simulation de football Teamchef place le joueur dans le rôle d'un entraîneur de football. Le jeu offre la possibilité de choisir parmi cinq ligues européennes et onze périodes de jeu.

Le jeu comprend de nombreuses options intégrées à une interface utilisateur intelligente.

C'est la technique qu'utilise un composant de système informatique (voir aussi scruter) pour présenter une demande à un autre composant du même système. Par exemple, le CPU interroge à intervalles réguliers les cartes d'extension et les périphériques, pour voir s'ils ont une demande de transmission de données. Il est également possible que ce soit les périphériques qui s'activent et présentent une requête à l'unité centrale. Ils l'avertissent alors par un signal (voir interruption, demande d'interruption).

L'expression "technique d'interrogation" désigne aussi les méthodes structurées du langage d'interrogation des bases de données SQL.

Style de musique apparu à Detroit (Michigan) à la fin des années quatre-vingt.

Les caractéristiques les plus marquantes de ce mouvement sont :

Une production de sons par synthèse, c'est-à-dire par ordinateur, le disc-jockey étant le principal créateur. On ne peut pas la copier à partir d'instruments normaux. Elle est dominée par des aigus et des basses ; les intermédiaires ne sont que rarement utilisés. Les "mix" produits par la machine sont reproductibles sur supports numériques (voir numérique) à l'infini.

Le beat (temps) court tout le long du morceau qui, de préférence, ne comporte pas de partie chantée, un "bass drum" toujours posé sur le temps ou le demi-temps (alors qu'un "hi hat" frappe deux fois plus vite, ce qui produit un effet très saccadé).

À partir de la techno se sont ensuite développées de nouvelles orientations musicales : tekkno, breakbeat, dancefloor, rave, jungle, goa, etc.

La techno est aujourd'hui présentée comme le style de musique de la jeune génération. Elle s'inspire largement de groupes comme Kraftwerk, New Order, Yellow Magic Orchestra, Tangerine Dream et les recherches de Eno, Brian ou Klaus Schultze. Les rythmes africains, comme les Tambours du Burundi, influencent également les compositeurs.

Société américaine, créée en 1946, produit et commercialise des imprimantes couleurs (voir imprimante), des produits destinés à la vidéo et au marché des réseaux (voir réseau) et des outils de mesure.

Carte en plastique dans laquelle est incorporée une puce électronique et qui sert à téléphoner à partir d'une cabine ou d'un poste équipé d'un lecteur spécial.

En 1985 apparaissent les premières télécartes. Deux ans plus tard, elles seront utilisées comme support publicitaire.

La mémoire des cartes téléphoniques était jusqu'à présent fabriquée selon la technologie NMOS. La nouvelle génération sera basée sur la technologie CMOS.

L'invention de la puce téléphonique est due au Français Moreno Roland en 1974.

Action d'envoyer ou de recevoir (upload/download) tout type de données informatiques à partir d'un ordinateur connecté à un réseau.

Ce terme général désigne tous les types de communication à distance. Il inclut donc le télégraphe, le téléphone, le Minitel, Teletel, Antiope, la transmission de données, l'e-mail, etc. Ce secteur connaît de nos jours une gigantesque croissance et ses applications se multiplient très rapidement. La tendance actuelle est au regroupement des divers types de communication ainsi qu'à l'application généralisée de méthodes auparavant réservées à la technologie de la presse et des loisirs.

Voir fax.

Voir fax.

logiciel développé par la société Globalink, comme outil d'aide à la traduction. Malgré sa propre interface, Telegraph peut s'installer sous Word (traitement de texte) ou WordPerfect.

Télégraphe électromagnétique à bande

Mode de transmission de messages utilisé pour la première fois en 1809 avec le télégraphe électrique inventé par Sömmering.

La télégraphie peut utiliser des câbles électriques : le télégraphe inventé par Morse Samuel en 1837 est encore partiellement employé aujourd'hui.

L'émetteur envoie au destinataire des signaux sous forme de codes internationaux correspondant à l'alphabet morse.

De nouveaux appareils télégraphiques sont apparus : il s'agit du télescripteur et du téléimprimeur, grâce auquel les lettres sont directement décodées sur le lieu de réception et imprimées. Pour transmettre les images ou les documents imprimés, on utilise la phototélégraphie.

Mise en œuvre conjointe des télécommunications et de l'informatique visant à offrir des services informatisés à distance. Le mot est apparu en 1977 dans le rapport Nora-Minc sur L'informatisation de la société.

Aux États-Unis, les services télématiques ont, depuis la fin des années soixante-dix, été quasi uniquement des services en ligne (service en ligne), comme The WELL, destinés à être utilisés sur micro-ordinateur communiquant. En France, en dehors de quelques exceptions comme CalvaCom ou plus récemment Infonie, c'est le vidéotex qui a dominé, à la suite de l'expérience de Vélizy (Vélizy (expérience de)) menée par France Telecom en 1981 : les services, disponibles dans le cadre d'une structure appelée Télétel, sont reçus sur un petit terminal spécialisé baptisé Minitel.

Dans les deux cas (services en ligne et vidéotex), les services proposés se sont multipliés au cours des années quatre-vingt : informations boursières, informations administratives, courrier électronique, forums électroniques de discussion, annuaires électroniques, etc.

Mais c'est désormais le réseau mondial Internet - avec notamment son courrier électronique universel (e-mail) et ses millions de pages Web multimédias - qui domine la télématique dans la plupart des pays développés.

Téléphone cellulaire de Sony

Cet appareil permet de recevoir et d'émettre des sons. Les ondes sonores sont transformées en signaux électriques, puis retransformées en ondes sonores après avoir été transmises par le réseau téléphonique.

Le premier téléphone fut initié par J.P. Reis en 1861, mais c'est Graham Bell qui acheva définitivement sa mise au point en 1876. Connoly et Mc Tighe déposèrent un brevet en 1879 visant à améliorer ce système de communication.

De nos jours, le téléphone réunit souvent plusieurs fonctions. Nous commençons même à disposer de videotéléphones qui, grâce à une petite caméra intégrée, transmettent aussi, sur un petit écran intégré, la photo de l'émetteur.

Téléphone cellulaire

On appelle "portable" ou "mobile" un téléphone sans fil, relié à d'autres téléphones par un réseau (voir réseau de communication) téléphonique radio, et de dimensions très réduites (format de poche).

Jusqu'à une date récente, il était problématique de faire en sorte que les téléphones portables tiennent vraiment dans la main, car ils doivent posséder une puissance d'émission suffisante, ce qui suppose une batterie puissante. C'est seulement avec l'apparition de nouveaux accumulateurs que l'on a pu ramener le poids des portables à moins de 300 g.

L'apparition à la fin des années quatre-vingt des "récepteurs de message" du type Alphapage, Tam-Tam ou Pager a transformé l'utilisateur en "nomade", perpétuellement joignable et démultipliant par là même les façons de renvoyer le message : on peut désormais via l'Internet émettre à destination d'un autre récepteur de message.

Sur l'Internet, il est possible, avec les logiciels appropriés, d'établir des conversations téléphoniques avec un ou plusieurs ordinateurs connectés au réseau. Chaque participant doit être équipé d'une carte son avec haut-parleurs et microphone. Il est en outre conseillé que tous utilisent le même programme (p. ex. Microsoft Netmeeting ou Cooltalk). Des standards internationaux pour la téléphonie sur l'Internet sont en cours de développement. Il est vrai qu'actuellement, la qualité des communications est médiocre et qu'il y a encore beaucoup de perturbations, mais cette technique permet tout de même de téléphoner dans le monde entier au tarif local (selon l'emplacement du serveur d'accès). Pour établir la communication avec un correspondant, il faut connaître son adresse IP, ou bien les participants doivent appeler un serveur Internet spécifique qui assure ensuite la liaison entre eux. Étant donné que la plupart des utilisateurs de l'Internet se connectent par modem, leur adresse IP change généralement à chaque session et ne peut d'ailleurs pas être reconnue sans programme spécial. C'est pourquoi la plupart des programmes de téléphonie sur l'Internet fonctionnent selon le principe serveur. Dans le cas où l'on se connecte par un provider Internet qui dirige l'ensemble de ses données à travers un proxy, la téléphonie n'est généralement pas possible.

Pour avoir une réelle communication téléphonique via l'Internet (c'est-à-dire parler et écouter en simultané) il est indispensable d'avoir une carte son full-duplex. Dans le cas contraire, les conversations font plutôt penser à la CB où un seul correspondant peut parler à la fois, pendant que l'autre doit se contenter de l'écouter. Hélas, seules quelques rares (et chères) cartes son, sont véritablement capables de full-duplex, car tous les convertisseurs A/N et N/A doivent exister en double. La gamme de cartes Maestro de Terratec en fait partie. Les cartes son SoundBlaster permettent d'installer le full duplex ultérieurement à l'aide de pilotes et la toute nouvelle génération le prend en charge directement (mais souvent seulement en mono).

Ce mot anglais signifie " transmission de données ".

Voir télétransmission.

(ang : "teletype", ou simplement "TTY") Dispositif (semblable extérieurement à une machine à écrire) grâce auquel on peut transmettre directement des informations par un réseau de données spécial (Telex).

Les fonctions de commande les plus importantes d'un téléscripteur (comme le retour de chariot), qui à l'époque des premiers ordinateurs étaient des fonctions d'entrée/sortie, se sont maintenues, en passant par le terminal, jusqu'à notre PC actuel.

Télétel est à la fois le nom commercial du système de vidéotex français, le nom du réseau qui permet à tout terminal vidéotex de bénéficier de services, et le nom de l'ensemble de ces services.

Après l'expérience de Vélizy (Vélizy (expérience de)) et le lancement de la fabrication du terminal Minitel, France Telecom ouvrit Télétel à la fin de 1982 et l'Annuaire électronique au début de 1983.

Ce qui fit le succès de ces services, en plus de la mise à disposition gratuite du Minitel à ceux qui le désiraient, c'est le système de paiement dit "kiosque", instauré en 1984. Jusque-là, il fallait s'abonner à un service pour bénéficier de ses informations, ce qui constituait un frein. Avec le kiosque, c'est France Telecom qui se chargeait de relever le temps d'utilisation de tel ou tel service, de le facturer à l'utilisateur sur sa facture téléphonique et de reverser environ les deux tiers de la somme au fournisseur.

Contrairement aux prévisions, ce ne furent pas les services d'informations mais, comme l'avait montré le service pionnier Gretel, les "messageries-dialogue", qui firent le plus pour le succès de Télétel entre 1984 et 1987.

Le développement de services plus professionnels était en partie gêné par l'unicité du tarif du kiosque, à 58 francs l'heure. En 1988, France Telecom lança donc le "kiosque multipalier", qui instaurait toute une palette de tarifs, entre 50 et 550 francs par heure d'utilisation.

Après avoir voulu moderniser Télétel au début des années quatre-vingt-dix (Télétel Vitesse Rapide, Minitel photographique), France Telecom s'est rendu compte que l'avenir de la télématique se situait probablement plus du côté de l'Internet. Le système du kiosque, qui n'a pas encore d'équivalent sur l'Internet, favorise cependant le maintien de Télétel pendant quelques années.

Successeur numérique du système de téléscripteurs Télex (à ne pas confondre avec vidéotex). Son taux de transfert est de 2 400 bit/s et il permet de créer des documents hors ligne. Les systèmes Télex et Télétex ont perdu de leur importance depuis l'avènement d'autres systèmes (fax, Euro-File-Transfer, boîte aux lettres électroniques, l'Internet, etc.).

La "télétransmission" désigne le procédé qui permet de transmettre depuis son propre ordinateur des programmes ou des données par modem vers un autre ordinateur (par exemple une boîte aux lettres).

La "téléréception " désigne le procédé qui permet de recharger à partir d'un autre ordinateur, par exemple, une boîte à lettre, des données ou des programmes sur son propre ordinateur.

Travail à domicile, reposant sur la possibilité de communiquer et de transmettre par ordinateur tout type de document. Le télétravail permet à la société de faire des économies et au salarié d'aménager son emploi du temps. Mais le télétravail entraîne également l'isolement du salarié et le manque de frontières entre le domicile et le travail.

Téléviseur 16 : 9

La télévision est la prise de vues, la transmission et la restitution d'images fixes ou animées par voie de radiodiffusion ou par câble.

Après la conversion des valeurs de luminosité ou des couleurs en signaux électriques, ces signaux sont transmis par câble ou par rayonnement, puis un téléviseur les reconvertit pour retrouver la luminosité et les couleurs initiales.

Un champ d'images est reproduit, à travers l'objectif de la caméra de télévision, sur la cathode photoélectrique du tube de prise de vues. Un faisceau d'électrons parcourt cette reproduction ligne par ligne. Les signaux électriques ainsi produits sont mémorisés sur une bande magnétique ou sont directement transmis par l'intermédiaire d'un émetteur. Les émetteurs de télévision transmettent les signaux électriques par radio ou par câble.

Le récepteur de télévision reconvertit les signaux pour reconstituer l'image originelle et l'afficher à l'écran.

La technique la plus répandue de nos jours (écran, synchronisé à l'émetteur) affiche une image de 625 lignes, pour 830 points par ligne. Pour réduire l'effet de scintillement, les récepteurs actuels utilisent une fréquence de 50 Hz. Pendant la transmission, le récepteur utilise le procédé dit du "saut de ligne" : 50 moitiés d'image sont lues chaque seconde, c'est-à-dire une ligne sur deux.

Concept né des chaînes thématiques de la télévision par câble. Le téléspectateur peut personnaliser ses programmes en sélectionnant ses angles de vue préférés pour un match de football par exemple, ou les publicités, les films, les jeux de son choix, etc.

Système de fabrication d'images pour la télévision. Chaque élément de l'image est codé en binaire, envoyé sous forme compressée à l'aide d'un microprocesseur. L'information peut ensuite être envoyée par les réseaux hertziens, par câble ou par satellite ; à sa réception dans le téléviseur, elle est décodée par un micro-ordinateur et traduite en image.

Ce procédé permet l'obtention d'une émission nettement améliorée, qui peut être plus facilement manipulée (insertion d'autres chaînes, ralentis, images fixes).

La télévision par satellite propose depuis la fin 1996, trois familles de chaînes numériques : CanalSatellite, AB Sat et TPS. Ces "bouquets numériques" concurrents nécessitent des décodeurs différents.

Contrairement à la réception par antenne, chaque domicile équipé de la télévision par câble (on transmet aussi par ce moyen des émissions de radio) est relié par un câble à une station qui lui correspond. La télévision par câble permet de diffuser un plus grand nombre d'émissions simultanément avec une qualité optimale.

Programme permettant de s'installer chez n'importe quel hôte sur l'Internet pour y exploiter des programmes ou consulter des bases de données. La seule condition est d'en avoir reçu l'autorisation. Le programme TELNET transforme pratiquement l'ordinateur du client en terminal de celui de l'hôte. Les opérations sont réalisées à distance par l'utilisateur de l'ordinateur client, en mode texte. Ce programme est donc irremplaçable pour un grand nombre de tâches et il permet aussi de participer à des jeux très intéressants.

Grandeur physique primordiale dans un système informatique, à la fois dans l'absolu (dater les événements), et dans le relatif (contrôler la durée des traitements pour leur permettre de coopérer ou au moins de ne pas se gêner mutuellement).

Voir aussi :

temps d'exécution.

temps de calcul.

temps de réponse.

temps de transfert.

temps différé.

temps nécess. à la connexion.

temps réel.

Temps nécessaire à l'ordinateur pour exécuter un programme ; ce temps est fonction de la rapidité de calcul.

Le temps de calcul est également le temps d'exécution nécessaire au processeur pour exécuter une instruction ; ce temps est fonction de la fréquence d'horloge et du nombre de cycles que requiert l'instruction.

C'est le temps que prend une transaction, le temps qui s'écoule entre le message (la commande) de l'utilisateur et la réponse correspondante.

On appelle ainsi le temps nécessaire au transfert ou à la transmission des données. En ce qui concerne les données utiles, le temps de transfert est le produit du débit des données et de la masse de données à transférer. Mais il faut y ajouter les "frais généraux" ("overhead"), correspondant aux données nécessaires à la gestion de la transmission par le protocole de transmission.

Durée pendant laquelle un programme est actif.

Voir jeu en temps différé.

Le "temps nécessaire à la connexion" de l'interlocuteur A avec l'interlocuteur B dépend entre autres du nombre de postes en communication. En moyenne, il faut 15 secondes pour obtenir la connexion dans le réseau téléphonique analogique et 1,7 seconde dans le réseau numérique ISDN.

Le traitement des données en temps réel est un traitement qui suit "très rapidement" leur acquisition. Il est utilisé dans la commande de processus industriels sur des ordinateurs extrêmement rapides qui sont dotés d'un système d'exploitation spécial (voir calculateur).

On parle de temps réel "critique" non seulement lorsque les temps de calcul sont très réduits, mais encore quand les objets à traiter sont en nombre élevé et variable (comme les avions dans un système de contrôle aérien).

Voir traitement en temps réel, jeu en temps réel.

Différence de potentiel. Dans le cas des PC, une carte mère est toujours alimentée en +5/-5 et +12/-12.

En mathématiques et dans un langage de programmation évolué, les termes sont des expressions arithmétiques ou logiques qui, par l'intermédiaire d'une opération, peuvent former une expression plus complexe (multiplication, division, ET, addition, soustraction, OU).

Le terminal (ou "terminal de données") était à l'origine un appareil d'entrée/sortie destiné à communiquer avec l'unité centrale et seulement constitué d'un clavier et d'une imprimante, ou, plus récemment, d'un écran. Les terminaux ont été progressivement dotés d'une intelligence locale. Les premiers PC étaient déjà équipés de manière à pouvoir faire office de terminaux pour grands ordinateurs (voir ordinateur).

Dans ce but, ils furent équipés d'un logiciel émulant les fonctions d'un terminal habituel sur l'unité centrale en question. De nos jours, il n'y a plus que les modes d'émulation TTY (pour télex), ANSI et VT 100.

On emploie surtout le mot "terminal" dans le cadre de la télétransmission de données, pour désigner l'ordinateur local au moyen duquel l'utilisateur accède à un autre ordinateur (l'hôte, ou serveur).

Toutefois, les programmes de terminaux (voir programme de terminal) ne se contentent pas d'émuler un terminal, mais offrent des fonctions supplémentaires.

Terminal Velocity est un jeu d'action simulant un combat aérien futuriste en réalité virtuelle.

Dans la plupart des systèmes de bus utilisant un câblage (câble coaxial, SCSI, bus RNIS), les extrémités d'un câble de bus doivent être terminées par une résistance (un terminateur) pour empêcher la réflexion et l'interférence des signaux. En outre, un équilibrage potentiel doit avoir lieu d'un côté en branchant une masse. L'absence ou la perte accidentelle de terminateurs sont souvent la cause d'erreurs pendant la transmission de données. Voir aussi SCSI.

Des terminateurs sur une carte SCSI

Le "test" est un procédé d'évaluation des risques d'erreur système (voir erreur). Avant la commercialisation des nouveaux matériels et logiciels, on procède à des tests particulièrement poussés, afin de réduire autant que possible les risques d'incidents ou de mauvaise utilisation (test de performance).

On appelle ainsi un test qui permet de mesurer la puissance d'un composant matériel ou logiciel grâce à un programme approprié.

Voir programme d'évaluation.

Logiciel distribué comme un shareware (voir logiciel partagé), mais comportant une clé de verrouillage de certaines de ses fonctionnalités. L'utilisateur reçoit le code de débridage lors du paiement de la licence.

tête d'impression.

tête de lecture/écriture.

tête magnétique.

La "tête de lecture/écriture" est un élément essentiel du lecteur magnétique (d'un disque dur par exemple), qui peut enregistrer et lire en permanence les données contenues dans une couche magnétisée. Les têtes d'écriture/lecture sont en principe de petits électroaimants dont les bobines supportent un champ électromagnétique alternatif créé par les courants électriques (qui représentent les données). Ce champ alternatif magnétise en permanence des zones minuscules des supports de données qui lui sont soumis. Lors du processus de lecture, ces minuscules zones magnétiques induisent à nouveau des courants électriques (représentant eux aussi les données) dans la tête d'écriture/lecture.

Tête d'impression

Sur les imprimantes à aiguilles ou à jet d'encre (voir aussi imprimante), la tête d'impression est l'élément essentiel qui applique la matière colorante sur le papier par l'impact d'aiguilles sur un ruban encreur ou qui propulse directement l'encre sous forme de gouttelettes.

voir tête de lecture/écriture.

Tetris est un grand classique et l'un des jeux les plus répandus. Il a été programmé par le mathématicien russe Alexej Pashitnov.

Le but du jeu est de disposer des éléments de construction tombant du haut de l'écran afin de constituer des lignes complètes qui sont alors effacées. Pour constituer les lignes, il est possible de déplacer les pièces vers la gauche ou vers la droite et de les faire pivoter. Le jeu comporte au total cinq formes de pièces dans sa version la plus simple (voir jeu de stratégie).

Système d'enregistrement de texte développé par Donald Knuth. Contrairement à un système WYSIWYG, l'utilisateur n'a pas à se soucier de la mise en page du texte qui est totalement prise en charge par le programme.

Toutefois, les possibilités de mise en forme sont élémentaires. Afin de les accroître, il est possible d'accompagner TeX d'un pack d'extension de macros comme LaTeX.

LaTeX, créé par Leslie Lamport, est un progiciel fondé sur TeX, mais qui pousse encore plus loin les fonctionnalités de ce langage de description de page relativement complexe.

Les utilisateurs de TeX et de LaTeX viennent surtout des milieux UNIX, universitaires et scientifiques.

Le TI 99-4A (1981)

La société américaine Texas Instruments (TI) est un des grands producteurs de semi-conducteurs (voir semi-conducteur), elle s'est fait connaître par de nombreuses innovations. Elle produit également des portables (voir portable), des imprimantes laser (voir imprimante laser) et des périphériques pour le PC ainsi que des barrettes de mémoire.

Le TI 99-4A de Texas Instruments fut une des plus grandes réussites de la société.

Qualifie un texte mis en forme en positionnant les lignes le long de la marge gauche (texte aligné à gauche) ou le long de la marge droite (texte aligné à droite).

Selon la mise en forme sélectionnée, les lignes du texte finissent ou commencent toujours à la même distance du bord de la page ; elles sont donc alignées tandis que le bord opposé du texte est irrégulier. Lorsque le texte est centré, les deux bords sont irréguliers (voir traitement de texte).

Dans un traitement de texte, désigne le corps de texte constituant un seul bloc et ne comportant aucun saut de ligne ou de paragraphe effectué manuellement.

Texte mis en forme en alignant les lignes sur les marges gauche et droite (voir traitement de texte).

Ensemble d'instructions écrites dans un langage de programmation de haut niveau pour un programme. Avant de pouvoir être exécuté, le texte source doit être traduit par un compilateur en langage machine.

Voir code source.

Dans le cadre limité du rendu d'image, la notion de texture comprend tout ce qui touche à l'apparence extérieure de l'objet. On la divise en deux parties principales : la couleur et la finition.

Voir infographie, modélisation.

Voir affichage TFT.

En jargon informatique, c'est l'abréviation de "thanks for the thought" ("merci d'y avoir pensé").

Voir Softkey.

Service en ligne de l'éditeur Microsoft. Pour plus d'informations, voir MSN.

Programme ou sous-programme incorporé au traitement de texte pour permettre la consultation d'un travail de type encyclopédique.

Inventeur en 1969 du système UNIX au sein des Bell Laboratories.

Le TO 7-70 de Thomson

Société créée en 1893, deuxième entreprise française de construction électrique et électronique, avec 74 milliards de chiffre d'affaires, derrière Alcatel Alsthom.

Le groupe Thomson SA est constitué de plusieurs entités, dont principalement :

Thomson CSF, branche militaire du groupe : systèmes de communication (25 %), de missiles, équipements aéronautiques (25 %), informatique (10 %), équipements spéciaux.

Thomson Multimédia, branche spécialisée dans l'électronique grand public (téléviseurs, magnétoscope, caméscope). Elle possède en Europe les marques Brandt, Saba, Telefunken, et emploie 49 500 personnes.

Dans les années quatre-vingt, Thomson a réalisé une série de micro-ordinateurs les TO 7, TO-70 et les MO 9, ainsi que des PC. Face à la concurrence, Thomson a abandonné cette partie de la branche services et informatique.

En 1996, la société publique (nationalisée en 1982) est privatisée par le gouvernement d'Alain Juppé. Les principaux groupes de repreneurs intéressés sont Alcatel Alsthom et le groupe Lagardère (Matra-Hachette).

(ang. "filières") Utilisés dans le cadre d'UNIX (ou d'OS/2) et caractérise un type de programmation basé sur le multitraitement et le multi-thread généralement écrits en langage C (voir C (langage)).

Cette abréviation du jargon informatique signifie "thanks" ("merci"). "ta" signifie la même chose mais est l'abréviation de "thank ya" (pour "thank you" : merci).

Abr. De Tomlinson Holman eXperiments. Tomlinson Holman, ingénieur du son chez Lucasfilm Ltd., a publié des directives pour l'extension du système surround ProLogic (analogique) et AC-3 : THX 4.0 et THX 5.1. Les critères du THX ont été développés au moment de la sortie du film "La guerre des étoiles", car la qualité de son élevée du film n'a souvent pas été rendue à cause du parc installé des appareils de projection. Aujourd'hui, les normes THX sont également appliquées aux appareils domestiques. Pour plus d'informations et comparaison avec d'autres procédés, voir surround.

Le TI 99-4A de Texas Instruments

Le modèle TI 99-4A de Texas Instruments fut commercialisé en 1981 (c'est un contemporain du ZX 81 de Sinclair) au prix de vente, en version de base, de 2 500 francs.

Les caractéristiques techniques de l'ordinateur étaient : un processeur 16 bits 9 900 de Texas Instruments, 16 Ko de mémoire vive (RAM) extensible à 58, un affichage en couleur sur une télévision, un système de cartouches amovibles pour les programmes : BASIC, jeux (voir jeu vidéo), etc.

Après l'immense succès qu'il connut aux États-Unis avec le TI 99, Texas Instruments cessa de fabriquer des ordinateurs familiaux.

En jargon informatique, c'est l'abréviation de "thanks in advance" ("merci d'avance").

Le jeu d'action Tie Fighter est la suite de X-Wing et se base sur l'univers de "La Guerre des étoiles". Cependant, contrairement à l'épisode précédent, où le joueur se trouvait du côté des rebelles, il lutte dans Tie Fighter aux côtés de l'Empereur et du côté obscur de la force.

Le joueur se trouve dans le cockpit de son vaisseau spatial pour remplir 50 missions (voir mission), qui consistent notamment à mettre fin à une guerre civile et aux activités de pirates, à démasquer des traîtres et à se battre contre des rebelles.

(Abréviation de "Tagged Image File Format") C'est un format très répandu sur les systèmes PC et Macintosh pour les fichiers contenant des images en mode point. Le standard TIFF a été défini par Microsoft, Hewlett Packard et Aldus. Il est souvent employé comme format de sortie pour les images numérisées par scanner.

Il existe différentes versions de TIFF. Les fichiers graphiques au format TIFF portent généralement l'extension TIF. La version actuelle TIFF 5.0 autorise l'enregistrement d'images sur 24 bits et l'utilisation d'un procédé de compression sans perte d'informations (voir compression de données). Ce format est supporté par la plupart des logiciels de traitement d'images en mode point.

Caractère spécial, le tilde est utilisé en mathématiques et signifie "proportionnel à" ou "environ, approximativement". Par ailleurs, il se combine à d'autres caractères (voir caractère) pour noter des lettres spécifiques à l'espagnol, au portugais, etc.

Le flipper Tilt comprend au total six jeux. Le joueur peut choisir entre le mode d'affichage plein écran 3D et un affichage 2D à défilement, ainsi qu'entre les modes VGA et SVGA.

De plus, Tilt inclut de nombreuses options, telles que le multibille, des animations et de petits jeux intermédiaires.

Appelé aussi TBC (en français : correcteur de base temps), il corrige des pertes de synchronisation provoquées par exemple par un diamètre différent des têtes de lectures de magnétoscopes (cf. magnétoscope) ou de caméscopes. Cela se traduit par une ondulation (jitter) des lignes verticales (p. ex. des réverbères devant un ciel blanc).

Time Commando est un pur jeu d'action qui se déroule au cours de huit époques historiques. Votre mission est de combattre un virus informatique. Pour cela, vous voyagerez à travers le temps, avec une quarantaine d'armes à votre disposition pour combattre vos ennemis. Les ressources et les graphismes qu'offre ce jeu sont très bons. Time Commando a été créé par l'équipe française la plus prolifique de ces dernières années : Delphine Software

Désigne l'attribution alternée du temps de calcul, soit pour les différents processus d'un ordinateur, soit pour les différents utilisateurs d'un système multiutilisateur.

Voir tranche de temps.

Voir multitâche.

En jargon informatique, signifie "il faut que je me tire".

Standard introduit par Sony, en vigueur dans la vidéo grand public (8 mm et Hi-8). Désigne un timecode réinscriptible numérotant chaque image à l'enregistrement pour permettre un montage très précis. Il est également possible d'inscrire le RCTC sur des bandes qui n'en ont pas bénéficié lors de l'enregistrement. Les magnétoscopes qui reconnaissent le Timecode RCTC se prêtent bien au traitement vidéo et au montage vidéo linéaire.

C'est là un véritable jeu d'aventures, où le héros doit parcourir différentes civilisations, afin de retrouver la civilisation légendaire d'Atlantis.

Les réalisateurs ont particulièrement soigné la qualité graphique et le son. L'intrigue est réellement passionnante et corsée à souhait.

C'est une pause dans la transmission de données. Le récepteur l'utilise pour envoyer à l'émetteur un accusé de réception. La durée de cette pause est définie d'avance. Si on la dépasse, le transfert est considéré comme un échec et il faut recommencer. La gestion de l'impression, par exemple, contient des pauses de ce genre. Sous Windows, elles se trouvent dans la section "imprimante" du système d'exploitation.

Imprimante à aiguilles

Le "tirage papier" est la sortie papier d'un fichier ou du contenu d'un écran. En mode texte MS-DOS ou OS/2, on peut lancer une sortie du texte affiché à l'écran en appuyant sur la touche "Print Screen" ("imprimer écran"). En mode graphique, un logiciel spécial est en général nécessaire. Des interfaces graphiques comme Windows (généralités) disposent de cette fonction.

Abr. De Terminaison Numérique de Réseau. Boîtier reliant la ligne téléphonique privée au réseau public numérique. La prise TNR comporte une prise RJ45 pour raccorder de 1 à 5 terminaux par accès de base (ordinateur, télécopieur, téléphone, adaptateurs numériques). Le câblage interne (pose des câbles et des prises) peut être fait par France Télécom ou un installateur privé, mais aussi par l'utilisateur lui-même. Voir aussi RNIS pour plus d'informations.

Voir Thomson.

Successeur du TO 7 de 1982, le TO 7-70 de chez Thomson a été commercialisé en 1984. Il possédait un meilleur clavier et une cassette à cartouche sécurisée. Il possédait en outre un processeur 6809 E, 64 Ko de mémoire vive (RAM), l'affichage sur un téléviseur couleur, un crayon optique pour pointer à l'écran et un logement pour cartouches de programmes.

Son principal handicap était son prix élevé (3 500 F) qui l'empêcha de faire face à la concurrence mais aussi la cartouche pour le back-up au format propriétaire, et ce en dépit d'innovations intéressantes.

Architecture réseau similaire à Ethernet, la différence étant dans la distribution des machines qui s'organisent en anneau et attendent leur tour pour pénétrer sur le réseau. Système distributif et parfois lent, il permet cependant une sécurisation massive (voir sécurité informatique) des données et du parc informatique.

Capacité d'un système à continuer à fonctionner en cas d'erreur ou de panne.

Les systèmes tolérant les pannes peuvent être conçus en installant plusieurs exemplaires des composants sensibles et en contrôlant leur état de fonctionnement à l'aide d'algorithmes appropriés (voir algorithme) ; ce sera le cas des piles de disques durs (voir RAID).

Dans le jeu d'action Tomb Raider, le joueur incarne Lara Croft, une jeune femme.

Vous devrez durant plusieurs niveaux (voir niveau) vous battre contre des chiens, des ours, des hommes, sauter, grimper, nager, ramper, soulever, tirer, lancer... Les possibilités motrices de Lara sont très grandes, et l'animation a été particulièrement soignée.

Le jeu tire partie d'une représentation 3D, et de caméras virtuelles (voir virtuel) donnant le meilleur point de vue du personnage pour le joueur. Plusieurs jeux avaient auparavant utilisé cette technique sans jamais arriver à en faire un système de jeu convivial ; les développeurs de Tomb Raider ont réussi.

Imprimante laser

Sur une imprimante laser, une "image électrostatique", qui attire les particules d'une poudre colorante, le "toner", est produite sur un tambour d'image photoélectrique. Cette image toner est transférée sur le support d'impression et fixée par échauffement.

Ce système de programmation développé par Asymetrix, est un système auteur permettant de créer facilement des applications visuelles et orientées objet (voir programmation orientée objet) sous Windows (généralités).

Il est disponible en trois versions : Toolbook, Multimedia Toolbook et Multimedia Toolbook CBT-Edition.

Le Toolbook est un système de programmation particulier qui permet à des utilisateurs ne disposant pas d'une longue expérience en matière de programmation de développer leurs propres applications. Différents objets, tels que des textes, des images ou des interfaces sont disposés sur des pages que l'utilisateur peut sélectionner par des instructions spécifiques. Les pages sont ensuite reliées sous la forme d'un livre qui constitue l'application. À l'aide du langage orienté objet OpenScript, il est possible d'exécuter des actions complexes sans passer par la programmation directe de Windows lui-même.

Toolbook permet, par exemple, de créer des applications en hypertexte avec des interfaces graphiques, des bases de données visuelles, des applications multimédias et des didacticiels.

Bien que Multimedia Toolbook et Multimedia Toolbook CBT-Edition soient relativement onéreux par rapport à Toolbook, ils incorporent davantage d'instructions et de fonctions permettant, par exemple, d'intégrer des vidéos et des animations ainsi que de nombreuses mises en page prédéfinies aux applications d'EAO.

Les applications créées à partir de Toolbook peuvent être distribuées librement et accompagnées d'un module d'exécution (Runtime).

Après son concurrent Macromedia Director, Multimedia Toolbook est le système auteur le plus utilisé. De nombreuses applications CD-ROM commercialisées actuellement ont été créées avec Toolbook.

Le simulateur de vol "Top Gun - Fire at Will !" est une adaptation fidèle du film du même nom. Le joueur se trouve aux commandes d'un F-14 et doit remplir de nombreuses missions (voir mission).

La "topologie de réseau" désigne la structure logique d'un réseau en se référant à des modèles géométriques : on distingue ainsi entre la topologie en bus (les ordinateurs sont attachés en série moyennant un câble pourvu aux deux extrémités de résistances de tête), la structure en anneau (tous les ordinateurs sont connectés par des câbles de manière à former un anneau), la topologie en étoile (les ordinateurs sont connectés à un dispositif central en formant une étoile) et la topologie maillée (chaque ordinateur est relié à tous les autres). Il y a naturellement aussi des formes mixtes qui combinent les formes élémentaires à volonté.

Topologie hybride constituée de plusieurs segments connectés les uns à la suite des autres avec une topologie en étoile.

Dans la topologie en étoile, chaque nœud d'un réseau est connecté par un tronçon de câbles à un appareil central (un "manchon") qui relie simplement, comme élément passif, les conducteurs, ou peut exercer, en tant que manchon actif, des fonctions d'amplificateur ou de filtre (voir topologie en arbre et topologie de réseau).

Dispositif dont les mouvements et les positions peuvent être contrôlés en vue de tracer des graphiques. Il est utilisé par le langage LOGO dans des buts éducatifs.

("the operating system") Nom du système d'exploitation des ordinateurs de la société Atari (ST, STE, TT et Falcon). Dès sa première version, il possédait une interface graphique utilisateur appelée GEM.

Homepage du site Toshiba

Société japonaise à l'activité diversifiée, dont le chiffre d'affaires a atteint 260,1 milliards de dollars en 1995. Une des branches d'activité du groupe est la fabrication d'ordinateurs.

En jargon informatique, cette expression signifie "complètement fichu".

Économiseur d'écran, parodie des économiseurs très populaires de la série After Dark.

L'utilisateur ne doit toutefois pas être hermétique à l'humour noir. Les treize modules de Totally Twisted After Dark mettent en scène des exhibitionnistes donnant l'heure, le chat Boris qui passe sous une tondeuse à gazon, et aux célèbres grille-pain volants, ont succédé des toilettes volantes sur lesquelles sont assis des personnages lisant le journal. Voir économiseur d'écran.

Voir écran tactile.

Clavier à horloge incorporée

Élément d'un clavier.

Voir aussi :

touche Alt.

touche Alt Gr.

touche Control.

touche d'espacement arrière.

touche Echap.

touche Entrée.

touche Majuscules.

touche Shift.

La touche "Alt Gr" sert à activer certains caractères spéciaux, comme les parenthèses ou les crochets, ainsi que le caractère @ (voir a commercial).

Sur le clavier d'un PC, la touche "Alt" sert, tout comme la touche Shift ou la touche Control, à activer une touche de contrôle pouvant être interprétée par un programme dans un but de commande.

Sur le clavier d'un PC, la touche Control, également appelée "touche de commande" et abrégée pour cette raison en "Strg" ou "Ctrl", sert entre autres choses à produire les signaux de commande du code ASCII. Il faut alors l'actionner en même temps que la touche d'une lettre.

Sur le clavier, la touche d'espacement arrière sert à faire disparaître le signe situé immédiatement à gauche du curseur. Elle se caractérise habituellement par une flèche tournée vers la gauche, et se trouve en haut à droite dans la partie alphanumérique du clavier du PC.

La touche Echap sert généralement à interrompre une action en cours. Lorsque l'on appuie sur la touche Echap, le clavier émet un signal de commande approprié en direction de l'ordinateur, signal interprété par le programme. Sous Microsoft Windows (généralités), il est possible, en appuyant sur "Echap", de quitter un champ de dialogue.

La touche Entrée du clavier d'un PC, également appelée "touche Retour", est la touche qui produit le signal de commande CR.

La fonction exécutée par le PC, lorsque la touche entrée est actionnée, peut être comparée à celle de la touche de retour chariot sur une machine à écrire : la touche Entrée termine une ligne et place le curseur sur la ligne suivante. Dans le mode d'instructions d'un interpréteur de commandes, par exemple COMMAND.COM de MS-DOS, la touche Entrée sert à clore l'entrée d'une instruction.

Lorsque l'on appuie sur la touche "Majuscules" (angl. "Caps-lock"), les lettres suivantes s'affichent en majuscules, c'est-à-dire que le clavier réagit comme si la touche Shift était maintenue enfoncée en permanence.

Les touches Shift se trouvent généralement à l'extrême gauche et à l'extrême droite du clavier, juste au-dessus des touches "Ctrl". On peut, en appuyant sur la touche Shift, passer du mode minuscules au mode majuscules, ou modifier la fonction du clic de souris. Combinées à la touche Shift, certaines touches peuvent aussi changer de fonction.

Rangée de 12 touches qui se trouvent au bord supérieur du clavier PC standard (clavier MF-2). Elles portent les inscriptions F1 à F12 et déclenchent des fonctions variables selon les programmes. Alors qu'elles n'étaient pratiquement d'aucune utilité sous DOS, elles sont très exploitées par les programmes et systèmes d'exploitation modernes (p. ex. sous Windows 95). L'utilisateur active les commandes associées à ces touches soit en appuyant simplement dessus, soit en les combinant avec les touches [Alt], [Ctrl] ou [Maj]. Des combinaisons multiples sont également possibles (p. ex. [Ctrl] +[Alt] +[F10]). Toutefois, comme ces combinaisons sont elles-mêmes difficiles à mémoriser, leur utilité reste limitée. Du fait de leur introduction récente sur les claviers, les touches F11 et F12 sont encore souvent ignorées de nombreux programmes.

Heureusement, certaines commandes associées aux touches de fonction sous Windows 95 sont en voie de devenir des standards. En voici une petite liste, qui n'est hélas pas valable pour tous les programmes pour Windows 95 :

- F1 : activer l'aide

- F2 : renommer un objet sélectionné

- F3 : activer la fonction de recherche

- F4 : répéter la dernière action

- F10 : sélectionner un menu dans la barre de menus

- Alt + F4 : quitter un programme

- Ctrl + F4 : fermer la fenêtre d'un document

- Ctrl + F6 : basculer entre deux fenêtres actives

Tour du constructeur Tulip

PC mis dans un boîtier vertical se trouvant d'habitude sous la table. Les tours les plus petites, dont la taille permet de les poser sur la table, sont appelées des minitours.

Dans le boîtier de la tour, il y a beaucoup de place pour des extensions, comme des disques durs supplémentaires (voir disque dur), un dévideur, des lecteurs de CD-ROM (voir lecteur de CD-ROM) ou des lecteurs de disques amovibles (voir lecteur MO). De ce fait le bloc d'alimentation est d'habitude plus puissant que pour les boîtiers installés sur le bureau (voir de bureau). La carte mère est installée verticalement et les cartes enfichables (voir carte enfichable) horizontalement.

Dans le cas des tours, l'écran ne peut être installé que directement sur la table, de sorte que l'installation de ponts ou de supports supplémentaires pour l'écran doit obéir à des critères ergonomiques.

Ce coffret de trois CD-ROM invite l'enfant à découvrir le grand classique de Jules Verne.

Devenu le célèbre Passepartout, il part à la recherche d'une enveloppe mystérieuse cachée dans chacun des vingt et un espaces en 3D disséminés tout au long de l'histoire. Ses succès lui donneront le droit de continuer son voyage sur les traces de Philéas Fogg.

Ce logiciel éducatif est un excellent moyen de donner aux enfants le goût de la lecture. Il comprend un film de 1 heure 45 conté par Bernard Pivot, mais aussi des entrées encyclopédiques, lexicales et un jeu de questions-réponses pour tester la compréhension du texte.

Les "touristes" sont des hackers (voir hacker) qui sont entrés dans un système sans mauvaises intentions, juste pour voir.

Les Tours de Hanoï est un jeu de réflexion dont l'objectif est de déplacer une série de disques (de diamètre croissant, disposés en forme de pyramide) de la première tige à la troisième tige, en se servant d'une tige intermédiaire. Il a servi pour illustrer certaines techniques de programmation et d'intelligence artificielle.

Ce logiciel édité par Disney Interactive fait partie de la même collection que le Roi Lion. Il s'agit d'un livre animé interactif. L'animation et les images de synthèse (voir image de synthèse) ont été particulièrement soignées. En parcourant l'histoire, on peut rencontrer plusieurs jeux particulièrement réussis.

Abréviation de Turbo Pascal, langage de programmation développé par Borland et qui est encore très utilisé il y a quelques années.

(angl."tracks per inch" : pistes par pouce) Unité de mesure de la densité de piste sur un support magnétique de données (support de données). L'un des buts des concepteurs de nouvelles technologies de mémoire est d'augmenter la densité de piste.

Sorte de débogueur qui met toutefois l'accent sur le déroulement et l'interaction des différents modules (cf. programmation modulaire) d'un programme.

Traceur

Type spécial de table traçante dans laquelle le support (papier ou feuille ultrafine) est placé sur une surface plate. Le crayon traceur peut être déplacé, abaissé et soulevé de nouveau par un système de transport, en chaque point de la surface. Sur les traceurs à rouleaux, en revanche, la piste du papier reste immobile.

Désigne un procédé d'écriture spécifique à la gravure des CD. Ici, les différentes zones de données ou pistes sont écrites l'une après l'autre et séparées entre elles par une pause donnée. L'insertion régulière de ces pauses convient particulièrement bien à la gravure des CD audio dont les différentes plages musicales requièrent des intervalles de silence. Pour plus d'informations, voir graveur de CD-ROM et Disk-at-once.

(Ou "boule roulante") La sphère située normalement sur la face cachée de la souris est placée sur sa face visible et peut être directement actionnée par le pouce ou la paume. Comme pour la souris, il y a deux touches pour déclencher des instructions ou des fonctions.

La trackball sert surtout à gagner de la place, c'est pourquoi elle est utilisée principalement pour les portables (voir portable). Dans la plupart des cas, elle est intégrée directement dans le boîtier des portables sous le clavier.

Dans une imprimante, le "tracteur" assure le transport du papier en continu au moyen de rouleaux à picots.

La première machine à calculer automatique à transistors s'appelait "Tradic" ("TRAnsistor DIgital Computer"). Elle fut créée dans les Bell Laboratories à la demande de l'armée de l'air américaine sous la direction de J. H. Felker et le premier modèle fut présenté en 1955.

Ou programme de traduction. Programme permettant de traduire un programme source écrit dans un langage de programmation particulier en un code objet d'un autre langage de programmation ou en un programme machine.

Un traducteur peut, par exemple, traduire un texte source, écrit en PASCAL, en un texte de programme écrit en langage C (langage). Un assembleur ou un compilateur traduit un texte source en un programme machine.

traitement d'erreurs.

traitement d'images.

traitement de texte.

traitement des données.

traitement en temps réel.

traitement multiprocesseur.

traitement par lots.

Word pour Windows

logiciel d'application permettant d'écrire, de mettre en page et d'imprimer un texte. Le texte est saisi en frappant sur les touches du clavier de l'ordinateur et il est affiché simultanément sur l'écran par l'interface graphique. Le texte peut ensuite être imprimé par l'intermédiaire d'une imprimante raccordée à l'ordinateur.

Tous les logiciels de ce type incluent de nombreuses fonctions qui permettent de modifier les attributs des caractères, tels que "gras" et "italique" et de faire la mise en forme de paragraphes en les justifiant (voir texte justifié) ou en les centrant. Les traitements de texte incorporent d'autres fonctions, telles que rechercher et rechercher et remplacer, ou des outils permettant de réaliser des macros (voir macro), de partager le texte en sections ou de sélectionner le format d'impression.

Les fonctions des traitements de texte les plus performants se rapprochent de plus en plus de celles des logiciels de PAO car elles permettent d'importer des graphiques et de les disposer facilement sur une page, ainsi que de présenter le texte sur plusieurs colonnes.

Les logiciels de traitement de texte sont les logiciels les plus couramment utilisés sur un micro-ordinateur. Parmi ceux-ci, les plus connus sont Word de Microsoft et WordPerfect de Novell qui existent pour MS-DOS, Windows et Macintosh ; Lotus Word Pro pour MS-Windows et OS/2.

Les erreurs, ou même les situations exceptionnelles arrivant en temps réel, sont traitées par le logiciel lui-même. En effet, certaines erreurs (cas classique : division par zéro) peuvent provoquer un arrêt fatal du système.

Certains langages (comme PL/1 ou ADA) ont des mécanismes dédiés au traitement des erreurs. Dans les autres cas, la construction de ces mécanismes est à la charge du programmeur.

Comprend les opérations de collecte, d'entrée, de transmission, d'édition, d'enregistrement, de tri, de sortie, etc. de données.

Le traitement électronique de données est aujourd'hui plus répandu que les procédés de traitement manuels et mécaniques de la bureautique traditionnelle.

Forme particulière de travail avec des graphiques à mappe binaire (voir graphique à mappe binaire) : les images scannérisées (voir scanner) ne sont pas seulement corrigées par ces programmes au niveau de la couleur, mais peuvent également être modifiées grâce à différents effets, ou manipulées par découpage et transformation.

Voir logiciel traitement d'images.

Mode de traitement dans lequel les données sont traitées immédiatement après leur saisie.

Cette forme de traitement des données est assurée par une architecture matérielle et logicielle spéciale, par exemple, par un calculateur industriel comprenant un système d'exploitation (voir temps réel) et un logiciel d'application particuliers.

On parle entre autres de "simulation temps réel", lorsque la durée de la simulation correspond exactement à la durée réelle de l'événement.

Ce terme indique qu'un système d'exploitation est capable de fonctionner avec un système multiprocesseur. Le système d'exploitation distribue les tâches entre les différents processeurs. On parle de traitement multiprocesseur symétrique si les processeurs travaillent indépendamment (comme dans le cas de Windows NT) et de traitement multiprocesseur asymétrique si l'un des processeurs dirige les autres.

Traitement automatique d'une séquence de programmes par ordre séquentiel.

Les premiers ordinateurs ne fonctionnaient pas encore en mode conversationnel. L'opérateur rassemblait tous les programmes qui devaient être traités par ordre chronologique et établissait un ordre de traitement de ces programmes, ainsi que des programmes systèmes indispensables à cet effet. À cette époque, lorsque les programmes se présentaient sous la forme de cartes perforées, l'opérateur réunissait toutes les parties indispensables en un seul lot, puis il plaçait le lot dans le lecteur de cartes perforées et lançait le calculateur.

Ensuite, les programmes ont été écrits sur d'autres supports de données et le lot était constitué artificiellement par un fichier de commandes. Le terme "traitement par lots" a cependant été conservé (voir fichier de traitement par lots).

Le traitement vidéo assisté par ordinateur permet de modifier facilement des enregistrements vidéo. Dans ce domaine, l'application de base est le traitement vidéo. Le caméscope et le magnétoscope sont connectés au PC par le port série. Un programme spécifique contrôle ensuite les fonctions du lecteur. Il est possible de sélectionner différentes scènes et de communiquer au logiciel de montage les points d'entrée et de sortie. Le signal vidéo n'entre jamais dans l'ordinateur pendant ce type de traitement que l'on appelle aussi montage numérique.

Si vous souhaitez intégrer au film des effets spéciaux, des titres ou des fondus (cf. effets spéciaux du traitement vidéo), l'ordinateur doit être équipé d'une carte vidéo (p. ex. FAST Movie Machine ou Miro DC 10) qui se charge de la transmission des signaux vidéo. Les cartes vidéo possèdent une sortie dédiée pour brancher un moniteur ou un magnétoscope, permettant ainsi de réaliser des effets simples et des incrustations de titres. Pour créer des fondus enchaînés, le matériel vidéo doit être disponible sur deux bandes, car ils se font de façon linéaire (cf. montage vidéo linéaire). La carte doit donc posséder une deuxième entrée vidéo (p. ex. FAST Movie Machine II). Si les effets spéciaux sont plus complexes et qu'un seul périphérique source est disponible, le matériel vidéo doit d'abord être numérisé. L'image vidéo est compressée lors de la digitalisation, par exemple en M-JPEG. Pour enregistrer une vidéo de grande qualité (S-Vidéo), un disque dur volumineux et rapide est indispensable : un film de 10 minutes occupe environ 2 Go d'espace disque. L'intégration d'effets spéciaux ou d'un fondu enchaîné (cf. montage vidéo non linéaire) se fait à l'aide d'un logiciel spécifique (p. ex. Adobe Première ou Ulead Media Studio). Il faut ensuite réenregistrer la vidéo modifiée, ce qui nécessite encore de l'espace disque.

Si, en plus des signaux vidéo, le son doit aussi être numérisé, une carte son ou une carte vidéo capable d'effectuer cette opération ("audio on board") s'avère nécessaire. Cette solution présente l'avantage d'enregistrer le son en parfaite synchronisation avec le mouvement des lèvres.

Il est également possible de combiner les deux méthodes de montage (analogique/numérique) avec des appareils de montage spécifiques, comme ceux de la société Como, qui travaillent avec les cartes vidéo (p. ex. la FAST AV Master).

Lors de la transmission de données, on désigne ainsi les informations qui accompagnent les données utiles d'un bloc de données ou d'un paquet de données. Elles servent généralement à délimiter les paquets et à synchroniser l'émetteur et le récepteur, mais elles peuvent aussi contenir des sommes de contrôle, etc. (voir somme de contrôle, protocole, protocole de transmission).

En anglais : FPS, frames per second. Indique le nombre d'images affichées par seconde. Est utilisé pour les jeux 3D et dans le traitement vidéo.

Ancien P.-D.G. de Commodore et d'Atari.

Survivant de l'horreur d'Auschwitz, autodidacte, Jack Tramiel a toujours eu l'esprit combatif et l'instinct de survie qui sied au monde agité de l'informatique grand public.

Homme d'affaires averti, il fonde Commodore en 1954, et commence à vendre de la machine à calculer. En 1979, il lance l'un des premiers PC à bas prix, le PET. Il continue sur cette voie en lançant le VIC 20 et le C64.

En 1984, il vend Commodore et rachète à la Warner le constructeur Atari pour la somme de 240 millions de dollars. En 1996, la famille Tramiel revend Atari à JTS pour la somme de 80 millions de dollars et reste au conseil d'administration, non sans avoir tenté de sortir en 1989 le "Portfolio", un agenda électronique et avoir essuyé l'effondrement du marché des consoles face aux géants Sega et Nintendo.

En mode multitâche, les différentes tâches (voir tâche), processus et fils (voir fil) qui sont prêts à être exécutés sont divisés en très petites unités appelées "tranches de temps". Celles-ci sont ensuite exécutées l'une après l'autre. C'est le programmateur du système d'exploitation qui décide quel est le moment opportun pour exécuter une tâche, en tenant compte de certaines priorités établies à l'avance (voir priorité).

Une "transaction" est un cycle élémentaire mais complet de traitement des données, allant de la saisie des données et commandes jusqu'à la sortie, en passant par toutes les étapes intermédiaires. Si l'on travaille sur une base de données, une transaction s'étend aussi de la saisie des commandes jusqu'à l'obtention d'un résultat utilisable. Elle pourrait consister à rechercher un ou plusieurs enregistrements, à les lire, les fusionner avec d'autres données et les stocker à nouveau dans la mémoire.

Dans de nombreuses méthodes, on ne relâche les enregistrements que lorsqu'ils ont fait l'objet d'une transaction complète et réussie. Si une panne de l'ordinateur cause l'interruption d'une transaction, il faut la terminer correctement ou l'annuler complètement une fois la machine remise en marche, car cela est nécessaire à l'intégrité des données.

Service disponible sur le réseau Numéris et RTC permettant de transférer tous les appels entrants vers un autre poste (p. ex. le téléphone portable). Cette technique permet aux appelants de vous joindre à l'extérieur en composant votre numéro habituel. Pour plus d'informations, voir caractéristiques d'exploitation RNIS.

Support pour modules de mémoire RAM-EDO

Elle consiste à traduire une adresse logique en une adresse physique pour permettre la gestion de mémoire. La solution la plus simple est de partager la mémoire en différents bancs de mémoire (voir banc de mémoire) ou secteurs et de les gérer séparément (commutation de banc). Il y a d'autres méthodes possibles, par exemple la segmentation, la pagination et la gestion de mémoire virtuelle.

Tube à vide possédant une base de transistor

C'est un composant électronique semi-conducteur, utilisé à la fois comme amplificateur et comme interrupteur. Il a remplacé les tubes électroniques et est à l'origine du développement des circuits intégrés (voir CI).

Son invention, à l'origine de l'électronique, remonte aux années trente : les chercheurs de l'époque sont convaincus à l'époque que les propriétés physiques de certains matériaux permettront de remplacer les gros commutateurs électromécaniques. Le 24 décembre 1947, William Schockley, Walter Brattain et John Bardeen (deux fois prix Nobel !) des Laboratoires Bell Telephone (voir Bell Laboratories) dépose un brevet concrétisant à partir d'un cristal de germanium la naissance du transistor et les longs efforts de tous.

Cependant, il faut attendre 1954 pour que la société Texas Instruments réalise le premier transitor en silicium.

Le transistor est robuste, rapide et ne nécessite que des tensions et des débits très faibles. Il y a deux types principaux :

le transistor unipolaire, piloté en tension ;

le transistor bipolaire, piloté en débit.

C'est à partir du moment où la miniaturisation extrême des transistors sur semi-conducteurs est devenue possible qu'a commencé le développement des processeurs modernes, qui ont chacun plusieurs millions de fonctions transistor.

Voir microprocesseur.

transmission asynchrone.

transmission bande de base.

transmission de données.

transmission large bande.

transmission par paquets.

transmission par rafales.

transmission simplex.

transmission synchrone.

Mode de transmission téléphonique qui transfère les signaux électriques analogiques dans une plage de fréquence standardisée au niveau international entre 300 et 3 400 Hz. La largeur de bande de 3,1 kHz suffit pour une bonne compréhension de la voix. Toutefois, pour la transmission de données à distance à l'aide d'un modem certaines mesures sont nécessaires afin d'atteindre le taux de transfert actuel de 33 600 bit/s pour une transmission conforme à ITU-TV.34. Les standards K56Plus et X2 introduits début 1997 ne sont plus des standards purement analogiques. La transmission numérique de la voix présente de nombreux avantages par rapport à la transmission analogique.

Contrairement à la transmission synchrone, elle ne nécessite pas de cadenceur commun à l'émetteur et au destinataire. On incorpore des bits "début" et "fin" pour identifier les divers éléments d'information (par exemple les différents octets). Ceux-ci doivent être transmis avec les données utiles.

Cette expression (en anglais "baseband transmission") désigne la transmission de données dans un seul canal logique sur un support physique. Ce type de transmission de données peut s'effectuer sur toute la largeur de bande du support ; elle est généralement numérique.

On parle de "transmission de données" ou de "transfert de données" pour désigner le processus (électronique) concret d'échange : ses formes, ses méthodes et son déroulement.

Il y a essentiellement deux formes de transmission de données :

la transmission par échange de supports, c'est-à-dire offline ;

la transmission par un canal physique (ligne électrique, conducteur optique, transmission radio ou vidéo à l'air libre), c'est-à-dire online.

Dans un sens plus étroit, et surtout dans le domaine des ordinateurs personnels, l'expression "transmission de données" désigne l'accès à des boîtes aux lettres publiques (voir serveur télématique) ou aux services d'information du "provider", par exemple le Minitel, CompuServe, bases de données online, etc. Il est nécessaire de disposer d'un programme spécial, qui peut être un émulateur de terminal ou un décodeur.

Bien que la plupart des transmissions de données s'effectuent encore par téléphone analogue et modem, le nombre de gens qui se procurent des liaisons ISDN numériques croît constamment.

Cette expression désigne la transmission de données sur plusieurs canaux logiques d'un même support physique. Dans chaque canal, la transmission ne peut s'effectuer que sur une partie de la bande passante du support et doit donc forcément être analogique. Pour diviser ou au contraire rassembler les canaux logiques, l'émetteur et le récepteur doivent tous deux utiliser le multiplexage fréquentiel.

Dans la transmission numérique de la voix, les signaux sonores analogiques sont convertis en impulsions numériques avec le procédé standard international "pulse-code-modulation" (cf. procédé PCM pour plus d'informations). La transmission numérique de la voix utilisée entre autres sur les réseaux Numéris dont le taux de transfert est de 64 Kbit/s se distingue par une portée plus grande, une qualité du son et une résistance aux pannes supérieures à la transmission analogique.

C'est une technique de transmission de données employée dans les réseaux. Les données à transmettre sont découpées en petits paquets d'une longueur déterminée (voir bloc de données, paquet de données). L'ordre dans lequel ils doivent être expédiés ainsi que leur destination sont indiqués par des commandes contenues dans chaque paquet. Certains paquets de commandes servent à établir la communication (voir TCP/IP).

Contrairement à ce qui se passe dans la transmission par ligne, il n'est pas nécessaire qu'une ligne reste sous tension entre les deux interlocuteurs. Pour parvenir à leur but, les divers paquets - et même ceux d'un flux de données - peuvent emprunter de nombreux chemins différents au fur et à mesure que ceux-ci se libèrent. Ils arrivent à destination dans le désordre et sont réarrangés par les programmes de réception. La transmission par paquets permet à plusieurs processus d'utiliser les ressources du réseau simultanément. Les flux de paquets sont alors transmis les uns dans les autres.

Voir aussi multiplexage en fréquence.

Connecteurs pour implantation d'une carte BUS-ISA

La transmission par rafales est une transmission à grande vitesse par l'intermédiaire d'un bus. Pour la transmission d'un grand nombre de données liées entre elles, on peut éviter de transmettre chaque adresse isolément en indiquant seulement l'adresse de début et le nombre des éléments de données. Le composant émetteur évalue ensuite l'adresse automatiquement, en mode par rafales (voir aussi DMA).

Elle ne permet la transmission de données que dans une seule direction de la ligne (voir aussi duplex et demi-duplex).

Dans la transmission de données "synchrone", source et cible sont pilotées à la même fréquence, issue d'un composant matériel supplémentaire. Les bits de départ et d'arrêt ne sont par conséquent pas nécessaires, contrairement à ce qui se passe dans la transmission de données asynchrone, ce qui a pour effet d'améliorer la vitesse de transmission.

On qualifie cependant aussi de "synchrones" des procédés de transmission de données par paquets de données (voir paquet de données) constituant la base de la transmission de données sur réseau.

Cet adjectif sert à qualifier de nombreux objets et fonctions.

Les éléments graphiques affichés à l'écran sont "transparents" au sens propre du terme, si l'on peut voir à travers eux le fond d'écran et ses divers autres éléments. Dans Windows 95, par exemple, des icônes d'objets deviennent transparentes (grâce à une superposition alternative de pixels) lorsque l'on déplace la souris. De la même manière, il est possible dans les programmes graphiques de définir certains éléments d'images comme transparents.

Le terme "transparent" désigne également des systèmes ou logiciels dont le fonctionnement est si simple que l'utilisateur ne le perçoit pas. Une application est par exemple dite transparente lorsqu'elle permet à l'utilisateur d'ouvrir sans aucune difficulté des fichiers créés par un autre programme.

Ordinateur d'architecture spéciale (de "... puter" dans l'angl. "computer") dédié au calcul parallèle. Il est fondé sur une unique puce très puissante qui contient un processeur à 32 bits permettant une vitesse d'environ 10 MIPS.

Cette expression du jargon informatique désigne la faculté de se mettre à la place d'un utilisateur et de comprendre son environnement social, pour deviner le mot de passe qu'il a choisi. Par exemple, quelqu'un qui aime les animaux utilisera peut-être le nom de son chien. L'expression peut aussi vouloir dire "s'informer adroitement pour en tirer certaines déductions" (par exemple au sujet du mot de passe).

Nom d'un nouveau type de bandes magnétiques et des streamers correspondants en voie de remplacer l'ancien standard QIC. Les streamers de sauvegarde de ce type peuvent, comme leurs prédécesseurs, se brancher sur le contrôleur du lecteur de disquettes (solution simple, mais lente), ou bien, pour ceux qui nécessitent un taux de transfert de données plus élevé, s'exécuter avec leur propre carte contrôleur. Les lecteurs étant compatibles en aval avec le format QIC, on peut continuer à utiliser ses vieilles bandes. Pour permettre cette compatibilité, les bandes Travan et QIC ont la même taille devant. Mais pour offrir plus de stockage, les bandes Travan sont plus larges et possèdent un boîtier élargi vers l'arrière pouvant accueillir des bobines avec des bandes plus longues. Les cassettes Travan existent en plusieurs tailles, les plus répandues étant 420 et 800 Mo.

Société créée en 1982 par Mark Eppley. Celui-ci souhaitait développer l'utilisation et le maniement des ordinateurs portatifs (voir ordinateur portatif). LAPDOS fut le premier produit de Traveling Software en 1986 à permettre le transfert de données entre le modèle 100 et un PC deskstop. Aujourd'hui, le Laplink 7.5 est un des derniers nés de la technologie Traveling.

Voir arborescence.

Classement d'un ensemble de données en fonction d'une clé de tri prédéfinie à l'intérieur d'une base de données. Le tri peut être alphabétique (de A à Z ou de Z à A) ou numérique. Par exemple, les fichiers d'adresses peuvent être triés par noms, codes postaux, numéros de client, etc. (voir processus de tri).

("Essai et erreur") Ce procédé de résolution de problèmes et, plus précisément, de localisation d'erreurs de programmation consiste à essayer différentes possibilités tant que la solution n'a pas été trouvée.

Dans le domaine des composants matériels, cette méthode vise à remplacer des composants jusqu'à ce que l'origine de la défaillance soit localisée.

La méthode Trial and Error joue un rôle important dans le retour arrière.

On appelle "trickle server" ("serveur goutte à goutte") les ordinateurs sur l'Internet qui offrent les programmes PD-Software.

Trieuse verticale

Machine mécanographique de bureau permettant de classer très rapidement des cartes perforées ou autres documents. La société IBM conçut au début du siècle deux types de trieuses : une trieuse verticale et, dans les années vingt, une trieuse horizontale.

Film de science-fiction réalisé en 1982 par John Lisberger et les Studio Disney. C'est la première fois qu'est utilisée l'image de synthèse dans le cadre d'une fiction.

Le "trou index" est une ouverture dans le disque support des disquettes 5,25 pouces (voir disquette) qui marque la position des secteurs.

Le Tandy TRS-80

Inventé par Don French et Steve Leininger en 1977, à partir du concept de "Kit" de l'Altair 8800, le TRS-80 fut l'un des premiers ordinateurs à bas prix. Il était cependant limité à l'usage d'un écran noir et blanc et des seuls caractères majuscules.

Des extensions - chères - permettaient de rajouter une imprimante, et jusqu'à quatre lecteurs de disquettes de 80 Ko par unité. Le système d'exploitation de disquettes TRS DOS, souvent appelé "TRaSh DOS" par les utilisateurs, était le plus souvent remplacé par CP/M, vendu en option.

Voir Tandy.

WINNER 2000 Pro/x

Terme courant pour désigner une profondeur de couleur de 24 bits (16,7 millions de couleurs) correspondant en gros à la perception humaine des couleurs. Les images affichées ou sorties sur papier en TrueColor présentent donc des couleurs réalistes aux yeux de celui qui les regarde.

Alors que la saisie (par scanner) et la mémorisation d'images en TrueColor ne pose maintenant plus de problème, l'affichage à l'écran et le traitement de ces images demandent beaucoup de calculs, et les systèmes correspondants restent fort onéreux.

Police de caractères vectorielle développée par Microsoft et Apple. Contrairement aux anciens caractères en mode point, dont la forme et la taille étaient définies par un certain nombre de points, les contours des caractères TrueType sont définis par des vecteurs. L'une des principales caractéristiques des caractères TrueType est que leur taille peut être modifiée sans perte de résolution ; il ne se produit donc pas d'effet d'escalier (voir crénelage), comme pour les caractères en mode point.

Les polices de caractères TrueType sont de plus en plus utilisées sur des PC, car elles sont gérées par Windows (généralités). De plus, leur prix diminue. En revanche, comme ces caractères n'offrent pas la même qualité de sortie que les polices PostScript, ces dernières sont davantage utilisées dans les applications professionnelles en association avec le gestionnaire de caractères Adobe TypeManager.

(Né en 1936 à Cholon, Viêt Nam) Président de société et ingénieur français. En 1971, après avoir développé des outils de carbotrimétrie (mesure du carbone 14), puis de scintigraphie numérique (rayonnement dans le pancréas), il crée la société R2E (Réalisations Études Électroniques) qui produira en 1973 le Micral, premier micro-ordinateur au monde. Il est aussi le père du premier système d'archivage informatique. Il préside aujourd'hui la société Lasernet et entend développer des outils de télématique étendus, proches du NC.

Voir programme TSR.

Télétransmission des données. Voir télétransmission.

("transistor transistor logic") Technique standard de construction de circuits intégrés numériques (voir circuit intégré) avant l'apparition des chipsets. Son niveau d'intégration était au début faible : quelques blocs de fonctions, pour lesquels étaient utilisés des transistors bipolaires et des portes NOR et NAN. Les circuits intégrés TTL fonctionnaient à un niveau de 5 V. Un moniteur TTL était un écran monochrome de niveau 5V, doté d'une entrée numérique.

(angl. "pipeline") Dans les systèmes UNIX et MS-DOS, type de communication interprocessus permettant d'enchaîner les commandes. Le résultat d'une commande devient l'entrée de la commande suivante (comme si un tube reliait deux ou plusieurs processus). Il existe des processus serveurs et des processus clients. Les tubes n'obéissent qu'à une seule règle, la règle FIFO ("first in first out" c'est-à-dire "premier arrivé, premier servi", voir mémoire tampon FIFO).

On distingue les "tubes anonymes" ("anonymous pipes") et les "tubes référencés" ("named pipes").

Une application typique des tubes anonymes est le tube de routage : un processus serveur dépose ses résultats dans un tube et un processus client les utilise. Les tubes référencés fonctionnent presque comme des fichiers (voir fichier), bien qu'ils n'en soient pas : les processus concernés peuvent les créer, les ouvrir, y écrire, les lire, etc.

Voir aussi :

tube cathodique.

tube de Braun.

tube image.

tube à vide.

Un tube à vide possédant une base de transistor

Composant inventé en 1906 par les Américains De Forrest et Bryce. C'est une capsule de verre dans laquelle on a fait le vide et qui contient des électrodes et des grilles de métal conçues pour guider les flux d'électrons, vecteurs d'information (amplification, bascule). Ils étaient utilisés dans les premiers ordinateurs (voir ENIAC). L'avènement du semi-conducteur permis l'essor de la mémoire informatique.

Voir tube cathodique.

Moniteur Elsa GDM-20H110

Le tube à faisceau d'électrons est l'élément principal de tout moniteur ou téléviseur conventionnel. Il s'agit d'un ensemble en verre sous vide contenant à ses deux extrémités une cathode à incandescence et, derrière un masque perforé, la couche lumineuse de l'écran. Les électrons issus de la cathode à incandescence sont accélérés par un champ électrique et à la fois déviés et regroupés en faisceau par des aimants électriques, de sorte que chaque point de l'écran se trouve périodiquement éclairé. Ainsi, grâce au balayage très rapide du faisceau d'électrons, l'écran du moniteur donne à l'utilisateur l'impression d'une continuité dans l'image.

Moniteur Elsa GDM-20H110

Tube cathodique dans lequel le faisceau est dévié par deux paires de disques de déflexion disposées perpendiculairement l'une à l'autre.

Moniteur Elsa GDM-20H110

Le "tube image" est un tube cathodique dans lequel les électrons sont déviés électromagnétiquement par une unité de déflexion composée de deux paires de plaques plus ou moins chargées suivant la cible finale des électrons.

Voir tube.

La société hollandaise Tulip Computers a été fondée en 1979. Cotée en Bourse en 1984, elle a étendu ses ventes et sa distribution à l'Europe. Tulip fabrique ses propres cartes mères, qui sont conformes aux normes ISO 9001.

Les ordinateurs Tulip sont commercialisés par 5000 distributeurs associés, ce qui permet d'offrir une gamme complète d'ordinateurs :

Livre d'images interactif et d'animation musicale, destiné aux enfants à partir de 4 ans (voir interactivité). Ses nombreuses blagues, animations et chansons sont très divertissantes.

Les enfants naviguent dans le livre en cliquant simplement sur différents objets.

Carte s'insérant dans l'ordinateur et permettant de recevoir la radio (voir carte radio) ou la télévision (voir carte TV).

Voir bouton Turbo.

Dialecte du langage C (langage) développé par Borland. Le Turbo C est commercialisé avec un système de développement intégré.

Dialecte du langage de programmation PASCAL développé par Borland et commercialisé avec un environnement de programmation intégré. À partir de la version 6.0, Turbo Pascal incorpore des méthodes de programmation orientée objet. La gamme de produits comportant le Turbo Pascal 7.0 pour MS-DOS et Turbo Pascal pour Windows (généralités) 1.5 s'appelle "Borland Pascal".

Delphi est la dernière évolution de Turbo Pascal et intègre les possibilités de la programmation visuelle sous Windows, à l'instar de Visual Basic pour le BASIC.

Voir langage de programmation.

(1912-1954) Mathématicien anglais dont l'activité la plus connue a été sa participation au "chiffre" pendant la dernière guerre mondiale. Pour contrer ENIGMA, la machine à coder les messages nazis, les Anglais lancèrent en effet le projet ULTRA dans lequel Turing eut un rôle important.

Turing est surtout le fondateur de l'informatique "théorique", c'est-à-dire la science qui définit les limites et les modalités de travail les plus générales de l'ordinateur (voir aussi machine de Turing). La "calculabilité" est une discipline logico-mathématique, basée sur les travaux de Gödel, Kurt.

Turing a également essayé de définir l'aspect "intelligent" du calcul informatique (voir critère de Turing, intelligence artificielle).

(Né en 1938) P.-D.G. et propriétaire de CNN (Cable News Network), la célèbre chaîne d'information continue, présente dans 200 pays. Il diffuse également des programmes en Europe par satellites.

Voir télévision par câble.

Voir carte TV.

("Télévision haute définition") C'est l'un des projets de norme en matière de télévisionnumérique, impliquant une résolution beaucoup plus élevée que celle des systèmes antérieurs et un rapport de 16 : 9, beaucoup mieux adapté au champ visuel de l'être humain.

Scanner à plat (Fujitsu)

Standard de gestionnaire qui doit permettre d'actionner à partir de programmes différents des scanners (voir scanner) de fabricants différents.

L'idéal serait que chaque scanner compatible TWAIN puisse fonctionner avec chaque logiciel compatible TWAIN. La pratique a hélas montré qu'il n'en va pas toujours ainsi.

Un "twit" est un imbécile, quelqu'un qui ne sait rien ou fait tout de travers. On peut aussi décrire un "twit" à l'aide de l'émoticon :-).

C'est l'abréviation de "transmit data" ; elle désigne une ligne de données particulière dans une interface série.

Extension des fichiers-texte au format ASCII.

Le "type" désigne pour un langage de programmation (qui prend en compte la structuration des données) :

un ensemble de valeurs, désigné explicitement ou par ses valeurs extrêmes ;

un ensemble d'opérations permises avec le type.

Le type peut être simple : valeur numérique ayant une certaine précision, liste d'articles correspondant à un domaine, etc. De plus, le type peut représenter un tableau (ou matrice) de valeurs homogènes, ou encore, un assemblage bien défini de valeurs apparentées (par exemple une "date" avec des valeurs jour/mois/année, rangées selon l'ordre spécifique français, américain..., ou une "date de naissance", qui est une "date", augmentée de l'identification d'une "personne", soumise aux mêmes impératifs "culturels").

La valeur du "type" est, premièrement, préventive : ne pas mélanger dans un programme des "pommes" et des "poires", à moins de les déclarer explicitement comme des "fruits". Ensuite, on peut envisager des types "dérivés" (avec la même structure, mais une identité différente : "cerise"), proposés par le langage ADA en 1983 ; ou bien des types autonomes, dépendant à la fois des types "normalisés" et de certaines différences (exemple : "Les cerises noires sont celles qui sont rouges quand elles sont vertes"). Il s'agit, bien sûr, d'un problème de programmation orientée objet.

Voir aussi type de données et type de données de champ.

Numéris offre plusieurs comprenant divers services. Il existe notamment un accès de base et un accès primaire.

Il existe des "types de données de champ" adaptés pour stocker les différentes informations. Les champs ainsi définis (voir champ de données) ne peuvent recevoir que des informations d'une seule sorte : par exemple, des dates, des devises, des données binaires ou des données numériques. Le choix judicieux des types de données de champ permet d'accélérer les requêtes (voir requête (base de données)) à l'intérieur d'une base de données.

De plus, les différents types permettent des contrôles de validité à l'entrée ainsi qu'une utilisation optimale de la place mémoire par des tailles de champ adaptées.

Les champs de commentaires sont particuliers : contrairement aux autres types de champ, il n'y a pas de limitation de taille à 255 caractères, et selon la base de données, ils peuvent recevoir 64 000 caractères voire un nombre illimité. Ces champs ne peuvent être utilisés qu'une seule fois par enregistrement, tandis que les autres types peuvent être insérés autant de fois que l'on veut.

Définit le format des données pouvant être enregistrées dans un champ de données. Le format de données "numérique" autorise uniquement l'écriture de chiffres, alors que le format de données "mémo" autorise l'écriture de chaînes de caractères d'une longueur quelconque.

Voir aussi :

enregistrement de données.

type.

Structure d'une relation, c'est-à-dire ses attributs et domaines (cf. domaine (base de données)), donc, en simplifiant, une table vide (cf. base de données relationnelle).

Élaboration esthétique d'un imprimé, elle comprend le choix des fontes (voir fonte), des caractères et de leur taille lors de la production d'un texte tel que livre, brochure, journal, affiche, etc. (voir macrotypographie), ainsi que la définition des espacements entre lignes et entre lettres (voir microtypographie) et celle des images et des couleurs sur une page.

En jargon informatique, cette abréviation signifie "thank you very much" ("merci beaucoup").