Abréviation pour World Wide Web.

En jargon informatique, c'est l'abréviation de "when all else fails" ("si rien d'autre ne marche").

Wafer

Terme anglais traduit parfois comme "galette". C'est une tranche de silicium dopé ou d'un autre semi-conducteur sur laquelle, par une série de processus complexes de feuilletage, de gravure et de dopage, on produit en même temps plusieurs puces (voir puce, circuit intégré) que l'on sépare ensuite. Autrefois les tranches mesuraient un ou deux pouces de diamètre (voir pouce), aujourd'hui elles ont un diamètre d'environ 150 mm.

("Wide Area Information System") Nom d'un système de recherche sur l'Internet. Il permet d'effectuer des recherches dans des textes entiers.

(1912-1978) Ingénieur britannique, inventeur du premier robot à comportement humain et imitant la vie (voir vie artificielle) : sa "tortue" fut présentée en 1948 à la télévision et dans les magazines et constitue l'ancêtre des créations actuelles réalisées par exemple au MIT (petit insecte-robots de Rodney Brooks) ou à Carnegie-Mellon.

Douées d'une certaine autonomie, les tortues qui s'appelaient Elmer et Elsie pouvaient hésiter, choisir sa route en fonction de paramètres comme la lumière, la chaleur ou le froid, ou aller ou bon lui semblait.

Ces travaux ont été inspirés par les recherches de Von Neumann et salués par Wiener Norbert et Albert Ducrocq (qui créa en 1960 un "renard électromécanique").

WAN (angl. "Wide Area Network", "réseau global") désigne un réseau ayant une grande extension, souvent internationale, et disposant de connexions par ligne téléphonique avec des réseaux locaux distants (voir LAN). Lorsque les réseaux connectés utilisent des technologies différentes, il faut prévoir une interface basée sur un matériel adapté (pont, passerelle).

Il s'agit du service en ligne de France Telecom. Avec Wanadoo, France Telecom veut rendre accessible au plus grand nombre l'utilisation de l'Internet. Des accords ont été signés avec Compaq, Apple et des fabricants de modems qui livrent le kit de connexion. Outre "Espace Assistance" qui est l'assistance en ligne, l'utilisateur trouve une galerie marchande appelée "Espace Galerie" ainsi qu'un annuaire des services de l'Internet francophone. L'"Espace Minitel" à l'utilisateur permet d'accéder à toutes ses fonctions et l'"Espace Communication" lui donne la possibilité de disposer de sa propre boîte aux lettres électronique. Wanadoo propose enfin une tarification d'appel local, quelle que soit l'origine de l'appel.

Warcraft est un jeu d'action qui se déroule en temps réel (voir jeu en temps réel). Le joueur peut choisir le camp des hommes ou celui des Orks et doit mener son peuple à la victoire. Dans les différents niveaux (voir niveau), il lui faut construire un village et ravitailler une armée, ou remplir une mission avec son armée.

La version suivante, Warcraft 2, repose sur le même principe mais offre un graphisme SVGA, un système de jeu nettement mieux implanté. De plus, ce qui rajoute à la complexité du jeu, et donc à son intérêt le joueur peut se déplacer sur l'eau, dans l'air et sur terre.

Voir OS/2 Warp.

Commandes d'accès au Bureau de l'OS/2 Warp.

Fonction d'aide et d'assistance sous OS/2 Warp.

Dans le jeu de combats Warriors, le joueur doit se battre dans dix mondes avant de rencontrer son adversaire final. Le jeu inclut de nombreuses techniques de combat ainsi que quelques mouvements spéciaux (voir mouvement spécial).

Portrait de Thomas Watson

(Thomas John Watson, né en 1914) À la tête d'IBM avant la guerre, il participa à plusieurs programmes de création de calculateurs, dont le Mark I de Aiken, Howard. En 1946, il poursuivit sa politique novatrice avec le programme ENIAC qui permit, entre autres, de percer les codes de l'aviation japonaise. Ces programmes furent suivis par UNIVAC et contribuèrent à la création de l'informatique moderne.

(1736-1819) Inventeur anglais. Il perfectionna la machine à vapeur mise au point par Thomas Newcomen en 1712, en la dotant de système de régulation pour pomper l'eau des mines, d'où la machine dite "de Watt" (1769). Son nom fut donné à une unité de mesure pour la force électrique et du courant alternatif (en principe 220 Watts mais aux États-Unis il est de 110 Watts).

Voir aussi : machine.

Les fichiers audio sous Windows 3.x portent l'extension WAV, qui est l'abréviation de "wave" ("onde"). Les fichiers WAV peuvent être lus à partir de SoundRecorder ou de MediaPlayer ("Lecteur multimédia") sous MS-Windows.

Les fichiers WAV comportent, par exemple, des séquences audio numérisées à partir du convertisseur analogique-numérique (voir convertisseur analogique-numérique) d'une carte son. Comme les fichiers ne sont pas compressés au moment de leur enregistrement, ils peuvent répondre aux exigences des techniques de numérisation actuelles (44 kHz, 16 bits, stéréo). Les PC permettent donc de traiter des fichiers WAV, mais la qualité d'enregistrement passe rarement 22 kHz, 8 bits et mono.

Le procédé Wavelength Division Multiplexing permet à travers un câble à fibres optiques de transférer plusieurs signaux de couleurs différentes simultanément. Ainsi, un signal d'une certaine couleur, sera utilisé pour le son, un autre pour l'image...

Procédé d'acquisition de sons relativement récent dans le domaine de la carte son.

Contrairement aux sons synthétiques produits par la synthèse FM, cette technologie permet d'atteindre le niveau acoustique d'instruments de musique. Les échantillons audio numérisés sont placés dans la mémoire (généralement une ROM) de la carte son puis, grâce à un composant particulier (par exemple un OPL 4), ils sont reproduits avec une qualité très proche du son réel.

Les cartes son Wavetable, telles que Soundblaster 32 AWE, sont de plus en plus répandues, car elles sont compatibles avec la plupart des jeux et offrent une qualité sonore exceptionnelle.

Le jeu de combats Way of the Exploding Fist, commercialisé en 1985, a servi de référence pour de nombreux jeux de combats. Le fonctionnement du jeu est extrêmement simple. Il s'agit de combats de karaté. The Way of the Exploding Fist est devenu un classique en raison de son graphisme relativement performant pour l'époque et de son caractère très divertissant.

Voir Wavelength Division Multiplex.

Appellation la plus courte et la plus commune pour désigner le Wold Wide Web.

On appelle ainsi un programme permettant d'accéder à Wold Wide Web et d'en visualiser les pages. Les "navigateurs" les plus connus sont Netscape et Mosaic.

Les documents WWW sont écrits en langage HTML. La manière de présenter les pages n'est pas fixe. Si HTML fait une recommandation particulière à ce sujet, le Browser reste libre de l'interpréter comme il veut. Il faut ajouter au Web-Browser des programmes supplémentaires pour pouvoir visualiser différents formats de graphismes, entendre des sons, voir des séquences vidéo numériques. Pour éviter aux utilisateurs éloignés d'avoir à charger chaque fois leurs pages Web préférées, la plupart des Browsers offrent la possibilité de les stocker dans la mémoire tampon de leur propre ordinateur. L'accès est ainsi beaucoup plus rapide. Certains services en ligne possèdent des "navigateurs" intégrés dans leur logiciel : par exemple CompuServe et AOL.

logiciel créé par Asymetrix et destiné aux débutants. Il permet la création rapidement et simplement de pages HTML 2.0.

"Spoof" veut dire raconter des canulars en anglais. Nom donné par un groupe de travail de l'université américaine Princeton à une forme de sabotage des données ou criminalité sur l'Internet. La pratique consiste à détourner tous les accès WWW (cf. Wold Wide Web) d'un utilisateur avec une technique appelée URL-Rewriting (réécriture d'URL) et de faire passer tout le trafic http par son propre serveur. Le hacker pirate peut ainsi lire toutes les informations personnelles transmises, comme le numéro de carte de crédit de l'utilisateur, et les utiliser comme bon lui semble. Le détournement commence par une page Web qui contient une URL déviée. Le serveur piège du cyber-délinquant met son adresse IP devant toutes les autres adresses demandées et fait transiter toutes les données par son système avant de les renvoyer à la victime qui ne se rend généralement compte de rien. Conséquence particulièrement néfaste de cette manipulation : les adresses Internet enregistrées dans les signets d'un navigateur stockent également l'adresse du serveur piège. À chaque nouvel accès, la connexion se fait donc automatiquement par ce serveur. Normalement, on peut reconnaître l'adresse URL de déviation dans la barre d'état du navigateur Web (cf. Web-Broser), mais elle peut être camouflée à l'aide de scripts Java. Pour s'en assurer, il faut vérifier les sources des fichiers HTML transmis. Si la véritable adresse URL est précédée par une autre adresse inconnue, il y a lieu d'être particulièrement vigilant. Ces risques démontrent bien que l'on ne devrait pas surfer, ni surtout envoyer de données sensibles sur l'Internet sans précautions.

Cet adjectif signifie "coincé"; en jargon informatique, on l'applique par exemple à un programme.

Cet acronyme de Whole Earth 'Lectronic Link (Liaison électronique de la Terre entière) est le nom d'un service en ligne célèbre de la côte ouest des États-Unis.

L'association Whole Earth avait publié en 1969 le fameux Whole Earth Catalog, inventaire par et pour la génération hippie, en un millier de pages grand format, de tous les outils et ressources de cette contre-culture. Elle a fait paraître par la suite, dans le même esprit, les magazines Co-Evolution Quarterly (dont une version française a existé au début des années quatre-vingt sous le titre CoÉvolution) puis Whole Earth Review.

En 1985, le responsable de l'association, Steward Brand, s'associa à Larry Brilliant pour lancer le service The WELL (ce nom évoque à la fois un "puits de connaissance" et l'adverbe "bien"), dont le journaliste et auteur Rheingold Howard fut l'un des tout premiers utilisateurs.

La grande originalité du WELL, c'est que dans ses forums (voir forum) électroniques, on y parlait beaucoup plus de questions de vie quotidienne, de famille, de loisirs, de culture, de société que d'informatique et de technique, comme c'était le cas sur la plupart des autres services en ligne. Ses utilisateurs formaient une vraie communauté de gens qui se connectaient tous les jours à leur service pour se retrouver.

Dans son livre "Les Communautés virtuelles", Howard Rheingold a bien rendu compte de cet état d'esprit particulier.

Aujourd'hui le WELL est toujours un service en ligne renommé, qui est désormais accessible sur le Web (www.well.com).

C'est le nom d'un test de performance, qui mesure en premier lieu la performance du coprocesseur arithmétique : il indique combien de fois par seconde celui-ci peut résoudre certains petits problèmes de calcul appelés whetstones (voir aussi dhrystone).

Premier ordinateur numérique de l'histoire, créé en 1950 au MIT grâce aux chercheurs de l'ENIAC. Financé par la Défense américaine, il devait aider à visualiser et à simuler grâce au radar les attaques nucléaires hypothétiques.

Furent conçues à grands frais des matrices de points (0 et 1) pour afficher l'information à l'écran.

"WHOIS" doit être prononcé "who is". C'est une sorte d'annuaire téléphonique pour l'Internet. Il indique les adresses e-mail et postales ainsi que les numéros de téléphone des abonnés Internet.

Voir SCSI.

(1894-1964) Mathématicien américain. Diplômé de Harvard. Il enseigne au MIT dès 1919. Fondateur de la cybernétique avec Minsky.

Créée en 1807 par Charles Wiley, cette maison d'édition a permis, durant le XIXe siècle, la publication d'ouvrages de grands noms de la littérature comme Edgar Allan Poe ou Herman Melville. Au cours du siècle suivant, elle s'est tournée vers l'édition scientifique et technologique.

Son marché est désormais divisé en quatre grands pôles :

les scientifiques, les techniciens et les professionnels du médical ;

l'éducation ;

le monde des affaires ;

le marché de la grande consommation.

Ouvert aux nouvelles technologies, John Wiley and Sons propose ses produits et ses services sur disquettes, CD-ROM et même sur réseau.

Voir aussi Addison-Wesley, Micro Application.

L'un des deux fichiers d'initialisation de Windows 3.x qui existe toujours sous Windows 95 pour des raisons de compatibilité. Il sert à la configuration de Windows et de certains programmes. Alors que le fichier System.ini contient principalement des paramètres applicables au matériel, Win.ini s'adresse plus particulièrement aux logiciels. Il s'agit dans les deux cas de fichiers texte, apparemment ordinaires, qui se trouvent dans le dossier Windows et peuvent être modifiés avec n'importe quel éditeur de texte comme Notepad ou Write (texte). Les paramètres contenus sont lus et exécutés à chaque démarrage de Windows. Ils peuvent donc être considérés comme les descendants des fichiers DOSAUTOEXEC.BAT et Config.sys. Les programmes qui ne stockent pas leurs paramètres dans leur propre fichier INI, mais dans Win.ini, ne lisent bien entendu leur contenu que lorsqu'ils sont lancés.

Les paramètres de Win.ini sont résumés dans des rubriques dont les titres sont entre crochets [ ]. Des rubriques importantes pour l'utilisateur sont par exemple [windows], [desktop], [fontsubstitutes], [mci extensions], [extensions], [ports], [embedding], [printerports], [devices], [sounds], [TWAIN] et [colors]. Elles montrent bien l'étendue des domaines définis ici, comme les réglages couleur de Windows, les paramètres pour le pilote d'imprimante, la liaison d'extensions de fichiers, etc. Dans ces rubriques, les paramètres sont définis dans une syntaxe pas toujours officialisée. L'intitulé du paramètre et sa définition sont séparés par le signe égal =. La plupart des utilisateurs devraient connaître les paramètres run et load de la première rubrique, [windows]. En indiquant le chemin d'accès complet d'un programme derrière ces paramètres, on peut programmer son chargement (load) ou son exécution (run) automatique au démarrage de Windows. Par exemple, la ligne "run=c :\word\winword.exe" lance le programme de traitement de texte Word à chaque amorçage.

Sous Windows 95, les informations de configuration sont désormais contenues dans la base de registre. Les paramètres qu'elle contient sont envoyés au fichier Win.ini pour assurer la compatibilité avec d'anciens programmes 16 bits.

Désigne une DLL, fournie par Microsoft aux développeurs de logiciels (voir logiciel) et permettant d'assurer la portabilité de leurs programmes écrits pour Windows 3.x (16 bits) vers Windows 95 (32 bits).

"Winchester" ou "lecteur Winchester" est la désignation courante d'un disque dur ou d'une unité de disque dur.

Le nom "Winchester" provient initialement d'un fabricant américain de carabines très connu, qui se rendit notamment célèbre par le modèle "3030", rapide et puissant.

Les premières unités de disques durs à succès étaient à l'époque fabriquées par IBM et portaient ce même numéro ("IBM 3030"). Même si la similitude des numéros était une pure coïncidence (les modèles précédents s'appelaient IBM 3010 et IBM 3020), le nom Winchester a fini par s'imposer pour désigner dans le langage commun tous les disques durs suivants.

Atelier de génie logiciel de la société PC SOFT. Il permet de réaliser depuis la conception jusqu'à la maintenance des programmes professionnels (voir progiciel), essentiellement orientés vers la gestion de données. La dernière version (4.1) de cet outil de développement, intègre un RAD et permet de créer des applications exploitables pour l'Internet.

Windows 95.

Windows pour Workgroups.

Windows (généralités).

Windows NT.

Nouveau système d'exploitation de Microsoft inspiré de Windows 95 et destiné aux petits ordinateurs portables (PC miniaturisé, HPC). Les PC miniaturisés équipés de Windows CE ont été présentés pour la première fois fin 1996 à la Comdex à Las Vegas. Ils possèdent en règle générale 2 à 4 Mo de ROM (pour les programmes) et autant de RAM (mémoire vive). Les commandes sont entrées à l'aide d'un mini clavier et d'un crayon pour l'écran tactile. Ils sont livrés sans disque dur ni lecteur de disquette ; les données sont stockées dans la RAM alimentée par un accumulateur ou bien enregistrées sur des cartes PCMIA pour lesquelles est le plus souvent prévue une fente (slot). Ces ordinateurs mesurent environ 20 cm et pèsent autour de 400 g.

L'équipement logiciel avec Windows CE contient le répertoire habituel des mini-ordinateurs portables et s'inspire des programmes Microsoft bien connus de l'environnement Windows 95 : tableur (Excel), traitement de texte (Word), agenda (Schedule +), courrier électronique (MS Mail) et navigateur Internet (Internet Explorer). L'échange des données avec le PC de bureau s'effectue par un câble spécifique ou une interface infrarouge intégrée. Il est également possible d'installer de nouveaux programmes sur l'ordinateur Windows CE depuis le PC (p. ex. par un CD-ROM). À la différence de son concurrent Apple Newton, la version standard ne contient pas logiciel de reconnaissance de caractères.

La première génération des ordinateurs Windows CE présente encore quelques défauts de jeunesse. La gestion de la mémoire n'est pas idéale, ce qui est sensible dès lors que l'on travaille avec plusieurs programmes ou de gros fichiers. La transmission des données vers un PC ne s'effectue pas encore sans erreurs et les fonctions disponibles dans les programmes sont plutôt maigres. Ils devraient malgré tout connaître un grand succès, car leur utilisation ainsi que l'échange de données avec un PC sont particulièrement simples en raison de sa filiation avec Windows 95.

Windows 95 - image d'écran

Jusqu'à la version 3.11, MS-Windows fut simplement appelé "Windows". C'est une interface utilisateur graphique (voir GUI) de Microsoft. Elle fut développée pour les PC IBM et compatibles au système d'exploitation DOS.

Par la suite, Windows pour Workgroups, version 3.11 de Windows, fut conçu pour l'utilisation en réseau selon le modèle client-serveur. Son successeur, Windows 95, créa un nouveau standard.

À l'origine, MS-Windows était une interface graphique (GUI) adaptée à MS-DOS et servait d'environnement pour des programmes Windows spécialement écrits pour lui. À partir de Windows 95, Microsoft a créé un véritable système d'exploitation, indépendant du DOS. On peut appeler les programmes DOS directement de Windows et les exploiter dans une fenêtre.

La caractéristique principale de Windows est une gestion cohérente, normalisée, à l'aide de symboles, menus et champs de dialogue graphiques que l'on active généralement par un clic de la souris. Il n'est donc plus nécessaire de saisir les commandes manuellement, comme c'était le cas avec DOS. Le nom "Windows" provient du fait que l'on utilise des fenêtres pour représenter la surface de travail sur laquelle on exploite les programmes d'application et les documents. Les tâches générales, telles que l'impression et la gestion des éléments du système (disque dur, carte graphique, etc.), sont gérées centralement par MS-WINDOWS et mises à la disposition de tous les programmes d'application. Windows permet le travail en mode multitâche, c'est-à-dire l'exécution quasi simultanée de plusieurs programmes. Une autre raison de son grand succès est la simplification des échanges de données entre différentes applications : il suffit pour cela de les transférer en utilisant le presse-papiers. Avec Windows 3.x ont été définies des normes propriétaires de l'échange interactif de données : DDE et OLE.

Windows 95 - le bureau

Système d'exploitation 32 bits de la société Microsoft lancé en août 1995 après moult péripéties et retards. L'équipe de développement est dirigée par Brad Silverberg, transfuge de chez Borland. C'est un descendant du tandem DOS/Windows 3.11.

Il supporte, entre autres, le mode multitâche et des noms d'une longueur maximum de 255 caractères. Parce qu'il est capable de fonctionner en mode 16 bits, il permet toujours d'utiliser DOS. Cependant, de nombreux éditeurs proposent leurs nouveaux logiciels ou leurs nouvelles versions, en mode 32 bits afin de profiter pleinement des capacités de ce système d'exploitation. Windows 95 a été vendu à plus de 40 millions d'exemplaires.

Toutefois, Windows 95 semble constituer une étape dans la migration des utilisateurs vers Windows NT, véritable système d'exploitation 32 bits et référence pour l'avenir.

Windows 3.11

Ce système d'exploitation a été développé parallèlement à DOS/Windows 3.11.

Windows pour workgroups 3.10 et 3.11 possèdent des fonctions supplémentaires, permettant de construire de petits réseaux poste à poste (voir banalisé) et de s'intégrer, en tant que station de travail (en anglais "workstation"), dans les domaines de Windows NT. Grâce à des logiciels clients tels que NetWare, le PC est devenu une station de travail souple pour presque tous les types de LAN. Windows pour workgroups supporte de façon standard le protocole de réseau NetBEUI, de Microsoft ainsi que le IPX/SPX de Novell et le TCP/IP, et l'on peut en rajouter. Tandis que la version 3.10 disposait de pilotes de réseau en mode réel (NDIS2) que l'on devait lier avant de lancer Windows, la version 3.11 supporte aussi bien les pilotes ODI modulaires (mode réel) que les nouveaux pilotes 32 bits (NDIS3), que l'on ne lie qu'après le lancement de Windows.

Les fonctions Workgroups - qui permettent à chaque utilisateur de mettre ses ressources (CD-ROM, répertoires sur le disque dur, imprimante locale, etc.) à la disposition de tous les autres sur le réseau - ne peuvent être utilisées qu'une fois que Windows est lancé, tandis que l'on peut accéder au serveur de fichiers et aux serveurs NT dès que l'on est sous DOS, puisque le système est aussi équipé de pilotes en mode réel.

Nom du client de courrier électronique de Windows NT 4.0, découlant indirectement de l'ancien programme Microsoft Mail et développé comme alternative directe au client e-mail de Windows 95, Exchange. Le nom Exchange n'a probablement pas été repris par Microsoft pour NT 4.0, car c'est aussi celui donné au serveur de courrier électronique pour Windows NT. Le programme de courrier électronique des futures versions de Windows 95 reprendra d'ailleurs certainement le nom de Windows Messaging ou sera remplacé par le module Outlook (cf. Office 97).

Hormis le nom, les deux clients de courrier électronique se ressemblent comme deux gouttes d'eau. Windows Messaging ne contient pas encore certains services de communication comme la prise en charge du courrier électronique pour le service en ligne MSN ou le module de télécopie, mais les extensions nécessaires sont en cours de développement. Voir aussi Exchange pour d'autres informations.

Système d'exploitation 32 bits de la société Microsoft lancé en 1994 et qui en est à sa version 4.0.

Deux versions sont proposées :

Windows NT WorkStation est exploité sur des machines individuelles ayant besoin d'un système d'exploitation évolué ou pour des machines interconnectées selon une configuration poste à poste ;

Windows NT Server est un système d'exploitation réseau.

Contrairement à toutes les versions de Windows jusqu'à la version 3.11, Windows NT est un système indépendant. Il supporte le mode multitâche préemptif, des noms de données d'une longueur maximum de 255 caractères, et l'utilisation simultanée de plusieurs processeurs. Enfin, il est multiplates-formes.

En créant Windows 95, la volonté de Microsoft a été une migration des utilisateurs à terme vers Windows NT. D'ailleurs, la nouvelle interface de ce système (version 4.0) est identique à celle de Windows 95. De plus, la plupart des logiciels qui sortent à l'heure actuelle sont en 32 bits, ce qui implique qu'ils tournent aussi bien sous Windows 95 que sous Windows NT.

Des utilitaires complémentaires, regroupés sous le nom de BackOffice, sont également proposés pour ce système d'exploitation.

Enfin, avec la montée en puissance de l'Internet, la nouvelle mouture de Windows NT intègre le logiciel serveur Internet Information Server ainsi que de nombreux outils de communication.

Le premier épisode de la série Wing Commander, commercialisé en 1991, transpose le joueur dans un univers où les hommes et les Kilrathis s'affrontent dans une lutte acharnée. En raison de la qualité exceptionnelle de leur graphisme, les épisodes de Wing Commander sont toujours très appréciés, mais ils exigent l'utilisation d'un ordinateur relativement puissant.

Le premier épisode se déroule dans une atmosphère fermée et les missions (voir mission) sont construites selon une structure arborescente : le cours des événements est fonction des résultats des étapes précédentes. Le jeu d'action comporte des images 3D et place le joueur dans la cabine d'un vaisseau spatial.

Le deuxième épisode, Wing Commander 2, se caractérise principalement par un graphisme de qualité supérieure ainsi que des discours très instructifs entre les missions. La structure arborescente des missions a été remplacée par une structure linéaire, mais les combats mouvementés ont été conservés.

Le troisième épisode de la saga, Wing Commander 3, offre pour la première fois des extraits de films mettant en scène des acteurs célèbres (tel Mark Hamill, qui interprétait le rôle de Luke Skywalker dans "La Guerre des étoiles"). Le graphisme SVGA est très impressionnant. Le jeu, là encore est centré sur la lutte entre les hommes et les Kilrathis.

Le quatrième et dernier épisode à l'heure actuelle, Wing Commander 4, pousse encore plus loin l'utilisation des vidéos entre les scènes : les vidéos ne sont plus affichées selon le procédé Blue Screen (procédé dans lequel les acteurs sont "collés" sur des décors dessinés sur ordinateur), mais sont construites à la manière d'un film de cinéma (les acteurs et le décor ont été filmés puis intégrés au jeu). Les coûts de production se sont élevés à 10 millions de dollars. Le jeu n'est plus axé sur la lutte entre les hommes et les Kilrathis, mais sur un problème de fédération que le joueur doit résoudre. Le fonctionnement du jeu n'a pas été fondamentalement modifié et l'accent est toujours mis sur la qualité des combats en 3D.

Conçue par la société Quaterdeck, la version 95 permet de résoudre différents problèmes rencontrés lors de l'utilisation de Windows 95. Les utilitaires inclus dans ce produit aident à augmenter les performances, à prévenir les pannes et à diagnostiquer les problèmes matériels.

Mot composé de Windows et Intel. Désigne les plates-formes informatiques dont le matériel est constitué d'un PC compatible Intel et qui est équipé du système d'exploitation Microsoft Windows.

Voir Word (traitement de texte).

Mensuel américain créé le 1er janvier 1993 par Louis Rossetto, John Metcalfe et Kevin Kelly. Par la force graphique et le ton unique qui la caractérise, la revue Wired est devenue l'emblème des zippies et autres "accros" de la cyberculture. Autrement dit, de tout ce qui tourne autour de l'Internet, du web et des technologies de la communication.

La rédaction possède un saint patron : Marshall McLuhan.

Programmeur né à Zurich. Il a créé en 1972, pour le centre de calcul de Polytechnique de Zurich, le langage de programmation PASCAL, complété plus tard par Modula 2. Aujourd'hui, il développe le langage Oberon.

Société, qui a son siège dans l'État de l'Illinois (USA), créée par le scientifique Wolfram Stephen en 1987. Elle est à l'origine de logiciels de calcul. Son produit vedette est Mathematica.

(Né en 1949) Informaticien britannique. Précoce, il fait Oxford à seize ans et obtient son doctorat à l'âge de vingt ans. Il travailla aux côtés de Feynman et s'inspire des théories de von Neumann pour programmer l'automate cellulaire et développer des jeux. Après avoir créé Wolfram Research, il lance à la fin des années quatre-vingt, le logiciel Mathematica.

Wolfram Research.

Wolfram Stephen.

Word pour Windows.

Word Pro.

word processor.

Word (traitement de texte).

Logiciel de traitement de texte édité par Microsoft. Word existe également pour Macintosh et UNIX.

La première version de Word, alors uniquement pour DOS, est apparue sur le marché en 1983. En 1989, Microsoft a lancé la version 5.0 qui comprenait les premières fonctionnalités de PAO. La version de Word pour Windows est sortie un an plus tard.

La dernière version pour Windows 3.11 (ainsi que pour DOS et Macintosh) est Word 6.0.

La version de Word pour Windows 95, Word 7.0, est sortie à la fin de l'année 1995. Au début de l'année 1997, la nouvelle version Word 97 intègre des outils permettant la connexion à l'Internet.

Word pour Windows fait partie de la suite bureautique Microsoft Office.

Voir Word (traitement de texte).

Logiciel de traitement de texte édité par Lotus. Il a succédé à AmiPro et permet de créer et de mettre en page des textes. Sa particularité est de faciliter l'intervention de plusieurs personnes sur un même document. Il fait partie de la suite bureautique Smartsuite.

Voir traitement de texte.

Traitement de texte intégré à Windows 95 et qui remplace le traitement de texte Write (texte), livré dans les précédentes versions du système d'exploitation.

Ce logiciel de traitement de texte a longtemps été le plus utilisé dans le monde, avant d'être supplanté par Word pour Windows. L'une des caractéristiques de WordPerfect est son écran de commandes qui permet de visualiser les codes (par exemple, de mise en page) insérés dans le texte. Ses points forts résident dans sa grande précision typographique et dans le large éventail des fonctionnalités de PAO.

Par rapport aux produits concurrents Word (traitement de texte) et Word Pro, WordPerfect offre davantage de fonctions et une capacité d'adaptation exceptionnelle aux besoins spécifiques des utilisateurs.

Sous DOS (voir MS-DOS), WordPerfect est le logiciel le plus performant, offrant des possibilités équivalentes à celles qui existent sous Windows. La version DOS présente néanmoins l'inconvénient de fonctionner à partir de touches de fonctions qui sont certes logiques, mais peu intuitives.

Voir groupe de travail.

L'assistant lettre de Microsoft Works

Suite bureautique commercialisée par Microsoft, et comprenant un logiciel de base de données, un tableur, un traitement de texte et un module de transmission de données.

L'une des deux versions de Windows NT, l'autre étant Server (Windows NT).

Cette version est moins coûteuse et correspond à une version Server allégée.

Comme Lycos, LEO, Yahoo, etc. WWWW est un système de recherche sur l'Internet. Il permet d'explorer le serveur FTP Server, les newsgroups de Usenet et surtout WWW. Un Web-Broser permet de le trouver à l'URL http://wwwwcs.colorado.edu/home/mcbryan/WWWw.html.

("WWW" ou "W3" ou "Web") C'est probablement l'application la plus célèbre de l'Internet. Pour l'utiliser, il faut disposer d'un navigateur de réseau (voir Web-Broser). Celui-ci permet d'afficher à l'écran des documents dits hypertextes contenant du texte, des symboles et des images dont la source peut se trouver n'importe où à travers le monde.

À l'aide de méthodes clairement indiquées, on peut par exemple accéder à un document situé sur un autre continent ou écouter un morceau de musique tout en regardant des images à l'écran. Si World Wide Web a si bien réussi, c'est parce que son utilisation est d'une simplicité enfantine.

Voir aussi World Wide Web Worm.

WorldsAway est un jeu d'aventures en ligne simulant le cosmos auquel peuvent participer plusieurs joueurs connectés par CompuServe. Ceux-ci sont à même de se déplacer pendant 24 heures dans la ville de Phantasus, de dialoguer entre eux, ainsi que de manipuler différents objets.

Un nombre quasi illimité de joueurs peut participer au jeu qui est complété en permanence ; il leur est également possible d'apporter des suggestions d'amélioration.

Worms est un jeu reprenant le principe de Lemmings. Le joueur incarne des vers de terre casqués et armés comme des mercenaires.

En effet, comme dans Lemmings, vous pouvez donner à chacun des vers de l'équipe que vous contrôlez des attributs, des capacités, des armes qui leur permettent alors de se battre contre l'équipe adverse. Le but final étant de tuer tous les vers ennemis.

Vous pouvez envoyer des missiles, tirer à vue avec des mitraillettes, etc.

Ce jeu a eu un certain succès grâce à la possibilité de jouer en mode réseau à plusieurs.

En jargon informatique, on écrit "wow" au lieu d'utiliser un point d'exclamation.

(Né en 1950) Ingénieur américain. Cofondateur avec Jobs, Steve de la société Apple.

Surnommé "Woz" par ses collègues, il fut dès l'âge de 15 ans un véritable petit génie en électronique (un "wirehead", c'est-à-dire un fou d'électronique). Il fréquenta le même lycée que Steve Jobs, situé dans la Silicon Valley.

En 1969, il décide son ami Bill Fernandez à construire un ordinateur à partir de rebuts. Ce dernier suscita la rencontre décisive entre Woz et Jobs. En 1971, Wozniak s'inscrit à Berkeley et produit une série d'articles pour le magazine "Esquire", où il décrira le premier les "freaks" et les "hackers" qui contournent les géants de la télécommunication. Woz et Jobs commencent alors à vendre leurs petits appareillages (les "blue box") de pirates téléphoniques. Ensuite, il travaille pour Hewlett Packard.

En 1975, fort du succès de l'Altair et d'Atari (pour qui Woz créa des jeux) Woz se lance dans la fabrication de l'Apple I aux côtés de Jobs, développant les cartes d'interface, la boîte, les circuits.

En 1977, Woz quitte HP et s'investit dans Apple, puis il développe un lecteur de disquettes 5'1/4 révolutionnaire qui lance l'Apple II (près de 100 000 ex. vendus).

Paniqué par le succès de la compagnie (1 000 employés en 1980), Woz est soumis à la pression commerciale de Jobs obsédé par des projets comme Lisa qu'il met en compétition avec l'Apple III puis qu'il abandonne plus ou moins.

Juste avant le lancement du projet Macintosh, Woz est victime d'un accident d'avion en février 1981. Il perdra l'usage de la mémoire pendant plusieurs mois et prendra du recul par rapport à Apple qu'il ne quittera définitivement qu'en 1986, au moment de la crise de management avec Sculley John.

Après avoir organisé des festivals de rock zippies, il commence une nouvelle carrière à San Francisco où il enseigne à des lycéens les joies de la programmation.

Les "WRAM" récents (sigle de "Windows-RAM") allient les avantages des éléments VRAM avec ports d'entrée et de sortie séparés à des fonctions supplémentaires permettant d'utiliser des transformations graphiques d'image.

En tant qu'éléments spéciaux de DRAM, il leur faut aussi un cycle de rafraîchissement permanent de lecture et de réécriture des informations.

Write (texte).

write protection.

Éditeur de texte livré avec Windows (généralités) jusqu'à la version 3.x. C'est un logiciel de traitement de texte d'une grande simplicité qui ne comprend que quelques-unes des fonctions des logiciels plus performants. Dans la version de Windows 95, Write est remplacé par l'éditeur Wordpad.

Voir protection en écriture.

Cette abréviation du jargon informatique signifie "with regards to" ("en ce qui concerne").

(" World Wide Web " ou "W3" = "toile d'araignée planétaire") Système d'information graphique basé sur des liens hypertextes permettant de naviguer d'un site à un autre, sur l'Internet. Inventé par deux ingénieurs du CERN en 1989, Robert Cailliau et Tim Berners-Lee, ils furent inspirés par la structure de l'ordinateur NeXT.

Pour le moment, WWW intègre pratiquement l'ensemble des services présents sur les réseaux. Il a tellement simplifié le travail sur l'Internet, que même les utilisateurs n'ayant aucune expérience informatique apprennent immédiatement à se servir de son interface graphique (voir GUI). Le système client de WWW sur l'ordinateur local (on l'appelle généralement Web-Broser ou "navigateur") s'adresse à un serveur WWW du réseau (voir serveur ; hôte).

Dès 1990, de grandes masses d'informations en réseau peuvent être représentées par une arborescence. Le point de départ du travail sur Web est la racine, c'est-à-dire ici la homepage (voir HTML et HTTP) d'un serveur. Celle-ci contient en général un grand nombre de liens et de références (voir URL). Chaque lien hypertexte mène à une branche inférieure de l'arborescence, qu'elle se trouve dans le document lui-même, dans un autre document du serveur en cours d'utilisation, ou dans n'importe quel autre serveur, même très éloigné. En cliquant sur une référence, on charge le document qu'elle représente. Une fois qu'on a atteint les fichiers ou les éléments multimédia que l'on cherchait, on peut les transporter d'un simple clic de la souris vers son propre ordinateur et éventuellement les ouvrir. Les références croisées à d'autres hôtes possédant aussi leur arbre, donnent naissance à un système complexe d'arborescences en réseau - que l'on appelle également réseau mondial d'information.

De nombreux outils permettent de travailler plus efficacement sur le Web : TELNET, FTP, Archie, Gopher, VERONICA, etc. Les newsgroups (voir Usenet) font également partie de WWW. En plus des outils nommés ci-dessus, le Web donne à l'utilisateur la possibilité d'intégrer à son Web-Browser différents modules capables de lire des applications multimédia basées sur des sons, des séquences vidéo, des images, etc.

Dans un futur très proche, Philips et Sony lanceront la "Web-TV", sorte de "boîte noire" décodeur, qui permettra aux téléspectateurs d'aller surfer sur l'Internet tout en zappant à l'intérieur d'un bouquet de services.

Voir Web-Broser.

Voir Wold Wide Web Worm.

("What You See Is What You Get", "ce que vous voyez à l'écran est ce que vous obtiendrez à l'impression" ou encore "tel écran - tel écrit") Capacité des interfaces utilisateurs graphiques à afficher exactement ce qui sera imprimé.

Ce mode d'affichage est très pratique dans les logiciels de traitement de texte car il permet de visualiser la mise en page d'un document dans ses moindres détails (taille des caractères, sauts de page, mise en page des paragraphes, tables, colonnes et insertion d'images).

Sur les ordinateurs Macintosh et Atari, WYSIWYG existait en standard depuis le milieu des années quatre-vingt. Sur les PC, WYSIWYG a été utilisé avec l'introduction de processeurs rapides et de systèmes d'exploitation, tels que Windows (généralités) et OS/2.