En jargon informatique, c'est l'abréviation de "owner's risk", à vos propres risques.
Société française de développement en base de données relationnelle et objet. Leader sur le marché européen du client / serveur, elle concurrence Sybase, Oracle ou Ingres.
Oasis est une suite de solutions logicielles, édité par ISI, facilitant l'impression, la visualisation, l'archivage et la télécopie à travers le réseau d'une entreprise.
Unité structurée et limitée. Il est toujours défini par la tâche ou la fonction qu'il accomplit. Il doit contenir tous les éléments dont il a besoin. En informatique, on peut créer un objet, par exemple à l'aide d'un enregistrement composé de champs de données (voir champ de données) définissant ses propriétés. Pour le programmeur, un objet est un ensemble fermé, composé de données et d'un code. On ne peut manipuler les données de l'objet qu'au moyen de ce code (ses propriétés). Sous Windows (voir Windows (généralités)), le terme "objet" désigne aussi un ensemble de données défini dans une application source et transféré dans un document d'une application cible (voir OLE).
Voir objets (interface à) et programmation orientée objet.
L'interface à objets est un moyen de communication entre l'ordinateur et son système d'exploitation ou un logiciel d'application. Elle a été mis en application pour la première fois en 1967 par Alan Kay.
Le mot "objet" désigne un ensemble de données :
un "objet-données" peut contenir du texte, un graphique, une image, etc. ;
un "objet-programme" contient un code, des commandes, des instructions, etc.
Les objets sont indépendants et ne s'influencent pas mutuellement. Ils sont placés sur un "bureau" (qui est lui-même un objet) et représentés par des pictogrammes, également appelés "icônes". Chaque "objet-données" peut être subordonné à un "objet-programme". Par exemple, un texte représente un programme de traitement de texte, une image un programme de traitement d'image et tous deux s'appliquent à "l'objet à imprimer".
L'interface à objets permet de mieux structurer le travail et donc d'en avoir une meilleure vue d'ensemble. Elle est beaucoup plus proche de la façon dont les êtres humains travaillent naturellement. Le programme de base analyse continuellement le contexte des tâches à accomplir et ne présente à chaque instant que les actions pertinentes. Un menu contextuel, activé par la touche droite de la souris, permet alors de choisir comment les exécuter.
Le Workplace Shell de OS/2 Warp et l'interface de Windows 95 sont deux bons exemples d'interface à objets.
Cet adjectif anglais signifie "obscur, difficile à comprendre, inconnu", dans le jargon informatique (voir hacker).
Langage de programmation conçu spécifiquement pour le transputer. Son nom est dû à un philosophe du Moyen Age, Guillaume d'Occam.
(Abréviation de "Optical Character Recognition") Un logiciel d'OCR est capable d'analyser l'image obtenue par un scanner et de la transformer en une suite de caractères utilisable, par exemple, dans un traitement de texte. Voir reconnaissance de caractères.
Les nombres octaux sont représentés dans le système octal, qui comprend les chiffres de 0 à 7 et utilise la base 8.
(En anglais, "byte") Unité de mesure utilisée pour mesurer la quantité d'informations et la capacité de mémoire.
Un octet est une suite de 8 bits (voir bit) et correspond donc à un nombre binaire sur 8 bits. Un octet peut représenter jusqu'à 256 caractères (ou caractères de commande), dont la signification doit être établie à partir d'un code (voir ASCII).
Il ne faut pas confondre bit avec byte ou octet :
le bit est la plus petite unité de mesure informatique ;
l'octet (byte) est codé sur 8 bits ; ce qui explique les valeurs de multiplication par 8.
Exemple :
1 octet = 8 bits.
1 Ko = 1024 octets, soit 1024 x 8 bits.
1 Mo = 1024 x 1024 octets, soit 1024 x 1024 x 8 bits.
1 MB (mégabyte) =1 Mo (mégaoctet) = 8 x 1 Mb (mégabit).
Dans les systèmes informatiques (voir système informatique) à 16 bits (voir bit), un mot de 16 bits est divisé en deux parties de 8 bits chacune (soit deux fois un octet). La partie située à droite porte le nom d'octet inférieur (en anglais, "low byte").
Bibliothèque OLE permettant d'étendre les fonctionnalités des langages de développement tels Visual Basic. Ils remplacent pour le mode 32 bits les VBX.
(Abréviation de "Open Database Application Programming Interface") Interface logicielle (voir API) utilisée pour la communication entre un logiciel de base de données et un logiciel d'application.
(Abréviation de "Open Data Base Connectivity", connexion ouverte aux bases de données) Interface développée par Microsoft en 1992, qui permet l'accès à différents systèmes de bases de données.
Lorsque le pilote correspondant est installé dans le système d'exploitation, l'utilisateur peut accéder à partir d'un programme d'application à diverses bases de données (voir base de données), sans aucune différence.
Avant l'arrivée des infâmes Boursouflos, les Zoombinis vivaient heureux sur leur île... Les enfants doivent guider ces petits personnages très sympathiques afin qu'ils échappent à leurs envahisseurs. Avec douze épreuves de logique et quatre niveaux de difficulté, L'Odyssée des Zoombinis est un jeu d'aventure passionnant destiné aux enfants de 8 ans et plus. Il leur permet de développer tous les raisonnements logiques et mathématiques fondamentaux pour la suite de leur cursus scolaire.
(Abréviation de "Original Equipment Manufacturer") Fabricant revendant du matériel informatique à des constructeurs qui vont l'intégrer à leurs propres produits (généralement sans citer le fabricant initial).
Logiciel bureautique élaboré par Microsoft et mis sur le marché au début de l'année 1997. Il s'agit d'une nouvelle version de la suite Office (voir Microsoft Office).
L'Internet et l'intranet sont intégrés au sein de l'application. Le logiciel permet l'utilisation du format HTML, des liens hypertextes et des contrôles Activex.
Microsoft Outlook est la grande nouveauté d'Office 97 : grâce à Outlook, on peut accéder à un site Web ou à un répertoire réseau. On a aussi la possibilité de visualiser les propriétés d'un document Office.
Voir offline.
On dit que des systèmes sont offline lorsqu'il n'existe aucun lien physique entre leurs données. La transmission ne peut alors s'effectuer que par l'échange de supports de données.
Ce mot est le contraire de online. Il peut aussi désigner l'état d'appareils qui ne sont plus connectés et ne peuvent donc plus échanger de données. Un signal de contrôle indique souvent qu'on est offline ("déconnecté").
Voir aussi offline reader.
On désigne ainsi un programme conçu pour communiquer avec un serveur télématique ("messagerie") ou un réseau et pour transférer les données qui s'y trouvent. Il permet d'abord de choisir les informations à transférer off-line (c'est pourquoi il doit contenir la liste des informations disponibles). Puis il établit la communication, reçoit les données demandées et interrompt de nouveau la communication, contrairement à un online reader qui serait resté connecté. On peut alors exploiter tranquillement les données reçues, sans frais de téléphone. Un off-line reader très populaire sur le réseau Fido est QWK-Format, qui contient sous forme compactée tous les articles echomail récents et importants. Le transfert de paquets-QWK vers l'ordinateur est reconnu par la plupart des programmes de serveurs télématiques compatibles Fido. Le programme QWK-mail-reader permet de lire les articles du paquet QWK et, le cas échéant, d'y répondre. Les réponses sont compactées, puis transférées dans la boîte aux lettres et finalement envoyées.
Voir Lemmings.
Dans le jargon informatique, abréviation de "oh, I see", ah, je comprends.
Fabricant de semi-conducteurs, d'appareils de télécommunication et d'imprimantes. Son succès est principalement dû à la famille des imprimantes LED-Page qui fonctionnent selon un principe semblable aux imprimantes laser et d'une qualité équivalente, mais dont la production revient moins chère. L'adresse Internet d'Oki est http://www.oki.com.
La page d'accueil de la Société Oki
(Abréviation de "Object Linking and Embedding", liaison et imbrication d'objets) Le processus OLE a été élaboré par Microsoft pour faciliter l'échange de données entre des programmes Windows (voir Windows (généralités)). OLE s'appuie directement sur le DDE et en étend les possibilités.
"Object Linking" fait référence au lien d'un fichier avec un document d'un autre programme. Par exemple, un état du chiffre d'affaires traité par le tableur est relié au rapport d'activité produit avec le traitement de texte ; ainsi les données restent dans le tableur, mais sont reproduites dans le traitement de texte. Lorsque le fichier traité par le tableur est modifié, par exemple, par de nouveaux résultats commerciaux, ces données sont mises à jour au moment du prochain appel du rapport d'activité.
"Embedding" signifie incorporation, c'est-à-dire inclusion des données dans le document textuel. Dans ce cas, le programme reconnaît le logiciel d'application qui a généré le fichier, et le fait de cliquer deux fois sur les données du chiffre d'affaires démarre le calcul par tableur. L'incorporation augmente la taille des fichiers, puisque les données incorporées sont présentes deux fois ; cependant ces fichiers peuvent être transmis sans problèmes.
Les fonctions OLE sont particulièrement importantes lorsqu'il faut faire apparaître des images dans les textes : l'inclusion d'un graphique à mappe binaire grossit à tel point le document que celui-ci, s'il comporte de nombreuses images, peut atteindre une taille de 100 Mo. L'enchaînement des fichiers d'images garde au document sa taille d'origine, et de ce fait le traitement de texte y travaille sans perte de vitesse.
Lorsqu'on lie des objets (voir objet), une copie du document qui se trouve sur le support de données est insérée dans le document cible.
Lorsqu'on imbrique des objets, les données d'origine sont entièrement incluses dans le document cible et stockées avec lui ; elles ne sont pas stockées séparément sur le support de données. L'inconvénient de ce processus est qu'il consomme beaucoup d'espace mémoire, car les documents mixtes sont parfois très volumineux. Le OLE-2-Standard, introduit en 1994, est beaucoup plus convivial que le OLE 1, notamment pour l'imbrication d'objets. Il convient de mentionner en particulier la fonction In place editing , grâce à laquelle on peut exploiter les données liées directement dans le document mixte. En effet, une fois que l'objet est activé, les menus et barres d'icônes du document cible sont échangés contre ceux du document d'origine. D'autre part, les applications qui supportent OLE 2.0 permettent aussi de lier les données à l'aide de la fonction glisser/déplacer.
Société italienne, fondée en 1908, qui était à l'origine un fabricant de machines à écrire. Dans les années 1960, elle se tourne vers l'électronique, puis plus tard vers l'informatique.
La Société Olivetti Personal Computers, créée le 1er janvier 1996, a pour mission de confirmer la position d'Olivetti sur le marché des micro-ordinateurs (voir micro-ordinateur).
Olympic Games est un jeu de simulation sportive proposant quinze épreuves des jeux Olympiques : athlétisme (100 mètres, 400 mètres, saut en longueur, en hauteur et à la perche, disque, javelot, etc.), épreuves de tir, escrime, haltérophilie, 100 mètres nage libre, etc. Olympic Games dispose de cinq modes de jeu, du mode entraînement au mode challenge. Jusqu'à huit joueurs peuvent ainsi s'affronter simultanément en réseau.
Voir simulation (jeu).
(Sigle de Object Management Group) Coordonne au niveau international les processus de standardisation au niveau des applications et de la programmation orientée objet.
(En anglais, "Uninterruptable Power Supply" ou UPS) Les ordinateurs sont particulièrement sensibles aux coupures de courants, car la mémoire vive perd irrémédiablement toutes les données lorsqu'elle n'est plus alimentée en électricité. Seules les données enregistrées sur un support sont à l'abri. Même si de telles coupures sont de plus en plus rares en France, il vaut mieux être paré à cette éventualité. Pour travailler l'esprit tranquille, on peut donc brancher un onduleur entre l'ordinateur et la prise de courant. Il s'agit d'une sorte d'accumulateur qui s'active en quelques fractions de secondes en cas de micro-coupures et assure ainsi un certain temps le fonctionnement de l'ordinateur, ce qui permet d'enregistrer les données. Les onduleurs existent en plusieurs tailles (puissances) et à plusieurs prix.
Le but de l'onduleur est d'empêcher l'altération des données ou du matériel due aux variations de l'alimentation électrique. Il peut même se substituer à celle-ci en cas de panne totale.
On exprime la puissance d'un onduleur en voltampère (VA)
Il existe trois catégories d'onduleurs :
le off-line (l'onduleur, en cas d'anomalie, se connecte à sa batterie) ;
le line-interactive (l'anomalie est analysée par un microprocesseur) ;
le online (la stabilité du courant est gérée en permanence par l'onduleur).
On trouve le online essentiellement dans les entreprises.
Dans ce jeu de combat, le joueur incarne un robot qui doit affronter de nombreux adversaires en tournoi. Entre les combats, le joueur peut compléter son personnage grâce aux trophées qu'il a remportés dans les tournois précédents. One Must Fall inclut de nombreuses techniques de combat et différents mouvements spéciaux (voir mouvement spécial).
Compuserve
On dit qu'on est "online" (en ligne) lorsqu'on s'est connecté sur une ligne physique, grâce à laquelle on peut transmettre des données. Cela peut signifier, entre autres, que l'on travaille sur un ordinateur en réseau, dépendant d'un ordinateur central (serveur). On utilise également cette expression dans la transmission de données. Un exemple typique de fonctionnement online est d'écrire un message e-mail lorsqu'on est relié téléphoniquement avec un serveur télématique, un système d'information (par exemple CompuServe, America Online, ou une base de données en ligne par l'intermédiaire d'un modem).
On écrit un texte en mode offline ("déconnecté" ou "hors ligne"), c'est-à-dire quand la connexion n'est pas activée, puis on l'envoie durant la phase online. Le mode offline permet d'économiser les coûts de téléphone (voir offline reader).
Toutes les tâches à remplir durant une connexion à un serveur télématique ou à l'Internet sont dites online.
L'expression "online" décrit aussi la relation qui existe entre deux appareils informatiques, par exemple l'imprimante et l'ordinateur, lorsqu'il sont connectés et que les données peuvent être transmises de l'un à l'autre.
Le contraire de "online" est "offline".
En jargon informatique, cette abréviation signifie "out of the box" (vient de paraître, tout neuf). Exemple : "This OS release is ootb" (Ce système d'exploitation vient de paraître).
Catalogue de publications en ligne (en ligne/hors ligne) proposé par des bibliothèques universitaires.
Logiciel développé en 1984 par Peter Eichhorst, fondateur de la Société californienne SPI, et première suite bureautique "intégrée" sous MS-DOS. On y trouve un logiciel de base de données, un logiciel de présentation, un tableur, un traitement de texte, un programmateur et un logiciel de transmission de données. Open Access a servi de modèle pour de nombreux logiciels d'application tels que Lotus Symphony et MS-Works.
Architecture multiplate-forme développée par Apple en partenariat avec IBM et OMG qui vise à unir tous les systèmes informatiques entre eux (voir système informatique) à partir de liens dynamiques d'objets.
Le concurrent est OLE qui n'est pas multiplate-forme. Ses sources sont dans le domaine public et OpenDoc est résolument orienté réseau, Internet et serveur.
Présentant un gain de place considérable sur le disque dur du fait du fractionnement du système entre divers modules, qui sont appelés selon les besoins de l'utilisateur, OpenDoc doit connaître un rebond.
Voir : http://www.opendoc.apple.com
Voir NeXTStep.
Une donnée opérande est liée à d'autres par une opération.
Un opérateur est une instruction mathématique servant à calculer ou à ordonner certains opérandes (voir opérande), par exemple des chiffres et des fonctions. On le représente généralement par un symbole auquel on l'identifie souvent. Les opérateurs arithmétiques sont l'addition (symbolisée par le signe "+"), la soustraction (symbolisée par le signe "-"), etc.
Les opérateurs logiques sont représentés par les symboles "NOT", "AND", "OR", "XOR", etc. Les opérateurs de comparaison sont représentés par les symboles "plus grand que", "plus petit que", "différent de", etc.
Le terme "opérateur" désigne d'autre part une personne qui fait fonctionner un ordinateur ou un système (voir SysOp).
Voir système d'exploitation.
Une opération correspond à l'exécution d'une instruction ; les termes "opération" et "instruction" sont parfois synonymes.
Voir aussi :
opération en virgule flottante
opération en virgule
flottante
Les instructions et les calculs effectués par des programmes informatiques (voir programme) à partir de nombres à virgules flottantes s'appellent des opérations en virgule flottante.
Instruction en langage machine qui n'exécute aucune opération et ne modifie aucun registre.
En programmation avec un assembleur, l'opération ineffective offre la possibilité de coder des emplacements réservés ou d'écraser des séquences inutiles dans une portion de programme. Cette technique est très utile dans la phase de test d'un programme.
Ce CD-ROM propose la première bande dessinée interactive. C'est l'histoire d'un garçon de 10 ans qui vit le débarquement de juin 1944. La lecture est active : pour avoir la suite de l'histoire, il faut cliquer sur les planches de dessin ; elles permettent de progresser dans le récit. Parfois, la BD se transforme en dessin animé grâce à des effets spéciaux en 3D. Il est également possible de consulter de nombreuses fiches historiques pour en savoir plus sur les différents personnages et événements de la période, comme par exemple sur la campagne d'Afrique, Pétain, l'antisémitisme, etc.
Nom d'une série de puces fabriquée par Yamaha et utilisée pour produire de la musique avec des cartes son.
La musique synthétique produite par la puce la plus répandue actuellement (OLP-3) est basé sur la synthèse FM. C'est devenu maintenant le standard pour les cartes à son (par exemple pour les cartes Soundblaster à 16 bits), à la place de la puce OPL-2, moins performante et incapable de produire des effets stéréo.
OPL-2, prévu à l'origine pour des mini-claviers, a été lancé pour la première fois par la Société AdLib au début des années 1980.
La nouvelle puce OPL-4 utilise en plus la synthèse par Wavetable ; dans ce cas les instruments ne sont plus créés artificiellement, mais reproduits sur la base de sons numérisés (échantillons) contenus dans des éléments de mémoire (surtout ROM) qui se trouvent sur les cartes son.
C'est le mot habituellement utilisé pour parler de la possibilité de choisir. Ainsi, certains fabricants offrent leurs ordinateurs avec diverses options (taille de la mémoire, taille du disque dur, lecteur de CD-ROM, etc.). Il y a beaucoup d'options dans le domaine logiciel également : les boîtes de dialogue demandent souvent de "sélectionner une option".
Voir aussi option par défaut.
Lorsque le fabricant d'un ordinateur ou d'un programme (par exemple d'un traitement de texte) affecte une valeur particulière (la plus fréquemment utilisée) à des paramètres (voir paramètre), on parle d'option par défaut.
C'est un domaine de l'électronique qui combine les composants optiques et électroniques. Ces composants opto-électroniques sont notamment utilisés dans la transmission de données par conducteur optique : les signaux électriques codés sont transformés en signaux optiques codés et réciproquement.
Société informatique, leader de la gestion de bases de données (voir système de base de données) avec Oracle7. Oracle développe aussi l'ensemble des produits connexes à son SGBD : outils de développement (AGL, L4G), passerelles d'accès aux données, protocoles de communication de bases de données distribuées, etc. La Société est également présente dans le monde de la gestion depuis le lancement d'Oracle Applications en 1988.
En 1996, son P.-D. G. Lary Ellison a présenté au public le prototype du NC qui permet à Oracle de pénétrer sur le marché du matériel.
L'"orange book" contient les standards du CD-ROM réinscriptible.
Voir CORBA.
Pentium 133
Machine qui traite électroniquement les données.
Toutes les autres langues nomment la machine "calculateur" (en anglais, "computer"), sauf le français, qui la désigne sous le nom d'ordinateur.
Histoire
Ce nom a été donné en 1955 aux premières machines d'IBM par le professeur J. Perret. Il est emprunté au langage théologique ancien où il désignait "Dieu qui met de l'ordre dans le monde" (voir le Dictionnaire de la langue française de Émile Littré). Contrairement aux calculatrices, qui ne peuvent accomplir qu'un nombre fini d'opérations, les ordinateurs sont programmables : leur capacité à calculer est mise au service d'un programme qui enchaînera différentes opération.
Les machines à calculer furent inventées il y a des siècles. L'idée de calculatrice programmable date du xixe siècle ; Charles Babbage en dessina un exemplaire que les technologies de l'époque ne permettaient pas de réaliser. La première calculatrice à programme ne fut construite qu'au xxe siècle, par Konrad Zuse (1934-1944) en Allemagne et par Mauchly (1944) aux États-Unis, par exemple. Outre les opérations arithmétiques de base, l'ordinateur peut effectuer des opérations de logique booléenne.
L'histoire récente des ordinateurs commence avec la Seconde Guerre mondiale, où les recherches militaires en codage de message et en calcul balistique évoluèrent pour aboutir aux premiers ordinateurs modernes (ENIAC, Mark I ou les machines de Zuse). Les premières machines étaient essentiellement destinées au calcul, elles ont été construites par des équipes de recherches universitaires autour de principes encore en vigueur comme ceux de Von Neumann.
Structure
Un ordinateur est en général constitué d'une unité centrale entourée de périphériques d'entrée et de sortie. Une information entre dans l'unité centrale, elle est traitée, puis ressort vers l'utilisateur.
Il fonctionne suivant le principe entrée-traitement-sortie. L'utilisateur saisit les données dans l'ordinateur, les traite de la manière prescrite et en obtient une sortie. Ces différentes tâches sont réalisées par un ou plusieurs programmes.
La taille des ordinateurs diminue au fil des années : apparaissent déjà sur le marché des prototypes de Handheld PC ou HPC ("ordinateur de poche") qui exploitent Windows (voir Windows (généralités)) en version allégée et sont de la taille d'une calculatrice de poche.
Voir aussi :
Voir ardoise électronique.
On appelle ainsi un ordinateur dans lequel tous les composants, de la CPU (unité centrale) aux unités d'entrée/sortie, sont réunis sur une seule puce.
voir autonome.
L'ordinateur central ("mainframe") est un ordinateur aux performances très élevées. Des milliers de terminaux (voir terminal) peuvent lui être rattachés. Sa mémoire de travail est de plusieurs centaines de Mo et la capacité totale théorique de sa mémoire (voir capacité de mémoire), de plusieurs teraoctets.
Du début de l'informatique jusqu'à la fin des années 1970, ces machines furent absolument essentielles au traitement des données. On peut citer en exemple les IBM 360 (1964) et les IBM 370 (1970). L'ordinateur central a perdu de son importance avec le développement d'appareils plus petits et de réseaux (voir décentralisation). Il sert surtout aujourd'hui de centre à un grand réseau ou d'ordinateur spécialisé.
Desktop aux rayons X
Un ordinateur de bureau est un PC placé dans un boîtier, qui, à la différence d'une tour, est posé sur la table et sert de support à l'écran.
Dans ce boîtier, la carte mère se trouve en position horizontale et les cartes enfichables (voir carte enfichable) sont installées verticalement. Cette structure est très compacte et permet une installation ergonomique de l'écran, néanmoins les possibilités d'extension du PC sont limitées par les dimensions de la boîte. En général, les PC de bureau sont installés horizontalement ; une installation verticale sur le côté étroit de la boîte n'est que rarement possible à cause de l'exploitation horizontale du lecteur de CD-ROM.
En 1954, John von Neumann et ses collaborateurs ont défini l'architecture de base que l'on utilise encore aujourd'hui dans la plupart des ordinateurs. C'est cette architecture qui est appelée "ordinateur de von Neumann" (voir EDVAC).
1. Les ordinateurs sont structurés en unités séparées, fonctionnellement différentes : l'unité de commande, l'unité de calcul, la mémoire interne et les unités périphériques.
2. La mémoire interne est divisée en cellules auxquelles on peut attribuer des adresses (la suite des nombres naturels).
3. Chaque cellule contient une unité d'information et une seule.
4. Le système binaire est utilisé pour représenter les commandes et les données.
5. Les commandes et les données sont stockées dans la même mémoire interne.
6. Les cellules dans lesquelles sont stockées les commandes successives ont des adresses qui se suivent.
7. Les commandes sont exécutées en séquence.
8. La séquence de traitement peut présenter des interruptions conditionnelles ou inconditionnelles.
Les ordinateurs hybrides étaient à la fois des ordinateurs analogiques (voir analogique) et des ordinateurs numériques (voir numérique). Ils étaient déjà très rares dans le passé : comme les ordinateurs analogiques, on ne les trouvait pratiquement que dans le domaine des sciences naturelles et des techniques (par exemple pour simuler des relations).
Aujourd'hui, avec le triomphe de la technique numérique, les ordinateurs hybrides et les ordinateurs analogiques ont en grande partie perdu leur raison d'être.
On appelle ainsi des ordinateurs principalement conçus pour la gestion de processus industriels. Les données leur sont transmises par des capteurs et ils pilotent le processus de production. Ils doivent être spécialement conçus, aussi bien au niveau matériel qu'au niveau du système d'exploitation (voir temps réel).
C'est un ordinateur de la Société NeXT, qui fut fondée en 1985 par Steve Jobs (un des cofondateurs de Apple). En 1987, le milliardaire Ross Perot y investira plus de 20 millions de dollars. Ces machines, qui ne furent lancées qu'en octobre 1988, utilisent le système d'exploitation NeXTStep, qui est basé sur UNIX et possède une interface utilisateur à objets (voir objet). Les ordinateurs cesseront d'être commercialisé par NeXT en 1995. L'écran, l'unité principale, le clavier et la souris étaient noirs. Le container de l'unité principale étaient très fin. Le tout s'inscrivait dans un cube, comme le logo.
En 1996, la Société est rachetée par Apple Inc. pour la somme de 400 millions de dollars. Steve Jobs devient conseiller d'Apple.
Désigne un ordinateur puissant chargé de tâches de gestion dans les grands réseaux, il occupe généralement une position clé à l'intérieur de la topologie de réseau.
Voir PC.
Portatif IBM
Les ordinateurs portatifs sont les ancêtres du portable (voir portable (ordinateur)) et n'existent pratiquement plus aujourd'hui.
Outil d'aide qui représente l'exécution d'un programme graphiquement. Il met en évidence la façon dont les données nécessaires à la résolution de problèmes concrets sont organisées et crée ainsi la base pour une programmation optimale.
Un organigramme ou schéma fonctionnel présente les différentes fonctions d'un programme les unes à la suite des autres en utilisant des symboles graphiques pour visualiser l'exécution d'un programme.
Ce type de graphique permet de représenter, contrôler et commenter plus facilement les entrées et sorties de données ou les branchements.
Dans les systèmes complexes, on utilise de plus en plus des représentations graphiques, souvent à l'aide d'un outil d'assistance méthodologique, lui-même informatisé. Dans ce cas les entités ne représentent plus des traitements atomiques : il peut s'agir de sous-ensembles de logiciel (modules, paquetages, sous-systèmes) de taille considérable. Il est évident que la logique des liens (les flèches qui connectent les entités) ont un sens différent selon le niveau de représentation du système (par exemple, communication possible/impossible de données si l'on représente des programmes, accès aux ressources matérielles ou logicielles d'une unité de "service" si l'on représente des modules, etc.).
Voir aussi organigramme de traitement.
L'élaboration d'un organigramme de traitement est une étape préparatoire et un élément indispendable au développement d'un programme, car il présente le mode de traitement des données par les différents composants du programme.
L'organigramme définit également les composants qui interviendront dans le système de traitement électronique des données (dispositifs d'entrée/sortie et de sauvegarde) lors de l'exécution du programme.
L'organiseur Lotus SmartSuite 97
Logiciel permettant de gérer par ordinateur un agenda et un carnet d'adresses. En outre, les différents logiciels commercialisés présentent des fonctionnalités similaires, telles que l'affichage d'alarmes, pour le rappel de rendez-vous importants, et la saisie automatique d'écritures répétitives. Les adresses sont classées et peuvent également être imprimées.
Le contenu des organiseurs peut être protégé par une copie de sauvegarde. Les adresses ne risquent donc pas de disparaître.
Un organiseur mis sur réseau facilite l'organisation du travail d'équipe, car l'emploi du temps des différents collaborateurs peut être consulté par tous. Les logiciels plus complexes permettent de surcroît de gérer des horaires de train et des notes de frais.
Société anglaise, Oric mit sur le marché l'Oric 1 en 1982. Cet ordinateur eut rapidement un grand succès en France grâce à sa fiabilité, à ses possibilités et à son prix relativement modique. Il fut remplacé à la fin de l'année 1983 par l'Oric ATMOS qui offrait plus de possibilités, mais à un prix plus élevé. Hors, à cette époque, les utilisateurs demandaient des machines moins chères, ce qui provoqua la guerre entre les concurrents. Oric fut ensuite racheté par sa filiale française, ce qui lui permit de survivre une année pour disparaître définitivement en 1985.
Le modèle Oric 1 fut commercialisé en 1983, au prix de 1500 F.
Caractéristiques techniques : processeur MOS Tech 6502, 16 Ko de mémoire principale (un modèle existe avec 48 Ko), interface imprimante et magnétophone à cassette, affichage sur un écran de télévision.
C'est l'un des ordinateurs familiaux les plus répandus en France.
Voir aussi ordinateur.
L'oric 1
Voir programmation orientée objet.
(Abréviation de "optical read only memory") Désigne le CD-ROM.
Interface de travail OS/2
(Abréviation de Operating System/2) OS/2 est le nom d'un système d'exploitation à interface graphique produit par IBM.
Il fonctionne sur 32 bits et supporte le mode multitâche.
Il fut d'abord produit en collaboration avec Microsoft pour succéder à MS-DOS, et commercialisé pour la première fois en 1988 avec la gamme des IBM-PS/2. Lorsque Microsoft décida d'abandonner la collaboration et de produire Windows (voir Windows (généralités)) indépendamment, IBM continua seul le développement de la ligne OS/2, présentée comme une combinaison de DOS et de Windows.
OS/2 supporte toutes sortes d'applications : les anciennes à 16 bits, les nouvelles à 32 bits (dans le cas de la version 2.0 et plus), celles de DOS et celles de Windows.
Avec ce programme directement inspiré du LAN Manager de Microsoft, IBM perpétue la voie éprouvée du système d'exploitation réseau basé sur OS/2 et se place en tant que concurrent direct de Novell NetWare, Microsoft Windows NT et Banyan Vines. Le point fort de OS/2 LAN Server est son intégration de serveur d'applications, ce qui va bien au-delà de la réalisation de simples services d'impression ou de fichiers.
IBM et d'autres fabricants offrent toute une gamme d'applications serveur : serveur de communication, serveur de base de données, serveur Internet, serveur d'administration système, serveur de transactions, serveur de Groupware, etc. OS/2 LAN Server peut fonctionner de façon transparente avec de nombreux autres serveurs sous UNIX, NetWare et Windows NT, ainsi qu'avec des mainframes. Comme clients, il prend en charge des PC sous DOS, Windows pour Workgroups, Windows NT, OS/2 et des ordinateurs Macintosh sous MacOS. Grâce à la fonction peer-to-peer, ces ordinateurs peuvent également partager des ressources entre eux. Le pack OS/2 Warp Server combine le système d'exploitation OS/2 Warp avec OS/2 LAN Server et d'autres composants logiciels adaptés et actualisés ; son client idéal est OS/2 Warp Connect.
Système d'exploitation d'IBM. Voici les principales caractéristiques de la version 4 de Warp (voir OS/2) :
VoiceType sert à la navigation à commande vocale et à l'exploration du bureau, auxquelles s'ajoute une fonction dictée (dictaphone avec traitement de texte) ;
WarpGuide aide l'utilisateur à effectuer un ensemble de tâches avec des objets qui sont de véritables assistants intuitifs ;
WarpCenter est un objet du bureau qui permet de vérouiller ou d'arrêter le système, d'organiser les programmes, de contrôler l'activité du système et l'utilisation de l'espace disque ;
Multimédia prend en charge toutes les fonctions son, vidéo et image.
Warp supporte Java, Dos, Windows et le langage REXX. En ce qui concerne l'Internet et la connectique locale (LAN), tout est assuré pour une ouverture maximale.
C'est un système ou un composant qui revient régulièrement à certains états. Dans un ordinateur, ce terme désigne le plus souvent le quartz qui donne sa fréquence à l'horloge interne.
Voir fréquence d'horloge.
(Sigle de Open Software Fundation) L'OSF se forma en 1988 à la suite des limitations d'accès à la version V d'Unix imposée par AT and T. L'OSF regroupe IBM, DEC, Hewlett Packard, Siemens, etc. et prône un système qui respecte les standards Unix tout en s'affranchissant de la licence. Ainsi est né OSF/1. Voir aussi AIX, MACH, XENIX.
(Sigle de Open Systems Interconnection) Groupe de travail fondé en 1977 par l'ISO. Sa mission était d'élaborer des normes générales pour les systèmes ouverts (voir système ouvert), allant du PC au super-ordinateur. L'un des premiers et des plus importants résultats de ce groupe fut la publication du système de référence OSI pour les systèmes ouverts, également appelé modèle à couches OSI.
Abréviation, en jargon informatique, de "on the other hand" (par ailleurs, d'un autre côté).
Abréviation, dans le jargon informatique, de "on the top of my head" (ce qui me vient d'abord à l'esprit).
Mathématicien et théologien britannique (1575-1660), spécialiste des logarithmes, qui a inventé la règle à calcul moderne. Son principal ouvrage mathématique est "Clavis mathematicae". À la même époque, Wilhelm Schickard construisait le prototype d'une machine à calculer.
Un outil est généralement un programme d'aide qui, dans certains domaines, facilite le travail sur ordinateur (voir boîte à outils). Les outils jouent un rôle important dans le développement de logiciel.
Voir aussi outil CASE.
CASE est l'abréviation de "Computer Assisted Software Environment", atelier de génie logiciel assisté par ordinateur. Avec l'outil CASE, la programmation est maintenant assistée par ordinateur.
Il s'agit d'un progiciel tournant sur micro-ordinateur ou station de travail, permettant à l'utilisateur de suivre diverses méthodes (voir méthode) qui correspondent aux phases du cycle de vie du logiciel. Dans le cas des outils les plus évolués, on dispose d'une double représentation (graphique et textuelle) des objets informatiques. Visuellement, on identifie des "boîtes" et des "flèches" (voir SADT) interconnectées, qui forment habituellement le niveau d'une hiérarchie de diagrammes. La représentation textuelle est soit du code proprement dit (voir génération de programme), soit un pseudo-code (voir pseudo) en PDL.
L'ensemble des représentations a une cohérence (mise à jour globale, par exemple) assurée usuellement par une base de données relationnelle.
Ce terme désigne une "sortie" (voir ordinateur).
Voir aussi output port.
Voir port E/S.
Un utilisateur est souvent appelé à ouvrir une session sur son ordinateur, notamment s'il travaille en réseau ou dans le cas d'une connexion à distance. Pour cela, il est nécessaire d'entrer son nom d'utilisateur et le mot de passe correspondant, afin d'obtenir l'accès (même limité) aux données et aux programmes. L'ouverture de session est souvent appelée logon ou login. Le contraire est la fermeture de session (ou log off).
Composant hybride développé par Intel permettant d'augmenter la puissance d'un PC sans avoir à le changer.
Voir recouvrement.
Fondateur et responsable d'Iris Associates (né en 1955). Il créa Notes en 1984 (voir Lotus et groupware) et Symphony, le premier intégré. Il fut désigné comme "Person of the Year" par le magazine américain "PC Magazine" en 1995.
Il travaille depuis à l'élaboration d'un logiciel de cryptographie visant à protéger les utilisateurs de Notes.