Cette instruction désigne le lecteur de disquettes appelé
également unité a. Par exemple, sous le système d'exploitation
MS-DOS, l'instruction "dir a:" permet de lire le
répertoire racine du lecteur
de disquettes.
Moniteur Sony
Les moniteurs utilisant un tube à faisceau d'électrons
produisent, par définition, un rayonnement électrostatique
et électromagnétique pouvant aller jusqu'aux rayons X. De
tels champs de rayonnement peuvent exercer une influence sur le bien-être
et la santé de l'utilisateur. Le Conseil suédois des techniques
de mesure MPR et le syndicat d'employés
suédois TCO furent les premières institutions à exiger
la définition de valeurs limites pour ce rayonnement, qui sont depuis
devenues des normes quasi-internationales. Un moniteur
remplissant ces normes est dit "à basses radiations". Aujourd'hui,
tous les nouveaux moniteurs remplissent au moins la norme MPR II.
On appelle ainsi le multitâche
par cheminement.
L'appellation "a commercial" (angl. "at") réfère
au caractère "@" (Alt+64). Le caractère @ est, par exemple,
utilisé dans l'adresse Internet de ce mail
: user@computer.domain.fr.
CD-ROM qui offre un aperçu de la collection privée d'Albert C. Barnes, devenue une fondation à Meryon (Pennsylvanie). Il comprend quelque 2 000 reproductions d'oeuvres de peintres tels que Picasso, Monet, Seurat, Renoir ou Cézanne.
Ces reproductions sont d'une qualité graphique exceptionnelle et sont accompagnées de commentaires.
Ce CD-ROM comporte également
quatre présentations thématiques multimédias des oeuvres
de la collection.
Voir convertisseur
analogique-numérique.
On appelle "ABIOS" (abréviation d'"advanced BIOS"
: "BIOS évolué") une extension du BIOS ROM standard pour
les ordinateurs de la série IBM-PS/2
d'IBM. Elle sert à adapter le système aux exigences spéciales
du système d'exploitationOS/2.
Ce qualificatif, ajouté à "type", "machine", etc.,
indique que parmi le (très grand) nombre de propriétés
d'un objet, on ne sélectionne que celles qui ont un sens (on dit aussi
qu'elles sont "pertinentes") dans le contexte de l'application courante. L'opération
d'abstraction permet de définir un traitement (normalisé), qui
pourra servir dans de nombreuses applications, ou même de grands ensembles
de logiciels ayant également un intérêt
général. Elle est à la base du génie
logiciel : un type (comme en Pascal ou ADA)
est "abstrait" si ses valeurs sont bien définies et les opérations
qui l'utilisent sont identifiables, et de préférence en nombre
restreint. Une machine est "abstraite" si elle offre des services bien définis
à des clients, en fonction de "ressources" (espace mémoire, temps
de réponse, etc.) également bien définies.
Cabaliste et philosophe juif du XIIe siècle. Il découvrit une méthode pour amener tout homme vers la "vérité" du nom de Dieu. Pour cela, il entreprit de rassembler toutes les combinaisons possibles du mot "dieu" et en dressa une liste précise. Il affirmait que celui qui détecterait la bonne combinaison, détiendrait la puissance absolue.
Au delà du mythe, Abulafia est proche, dans sa démarche, de nombre de mathématiciens orientaux de cette époque, qui forgèrent les bases du raisonnement algorithmique.
Voir Al Kharizmi, Golem.
Abréviation pour Audio Coding No. 3. Procédé
de surround numérique à données réduites, utilisé
dans la conception des disques laser et vidéo DVD américains.
Pour plus d'informations et comparaison de procédés similaires,
voir Surround.
On dénomme "accès" les opérations se rapportant à des données situées dans une mémoire ou sur un support de données. On distingue, notamment, l'accès en lecture et l'accès en écriture. Certaines mémoires et certains supports de données ne permettent que des types d'accès particuliers (voir accès séquentiel et accès aléatoire). Cependant, on emploie aussi le terme "accès" pour un ordinateur, un réseau, un programme d'application, etc.
Voir aussi :
(angl. : "random access") Il est également appelé "accès direct".
L'accès aléatoire désigne l'accès direct à des données, dont on connaît l'emplacement (en mémoire RAM, sur un disque ou dans un fichier), à des secteurs (voir secteur) ou à des clusters (voir cluster) sur un support de données. Il s'oppose à l'accès séquentiel, qui exige la lecture des données qui précèdent (sur une bande, par exemple).
Ce type d'accès est très utilisé pour le
stockage de données n'ayant pas de relation directe avec les enregistrements
précédents ou suivants (voir base
de données).
L'accès au réseau est la possibilité sur
un réseau d'ouvrir une session en tant qu'utilisateur. Pour avoir accès
au réseau, les conditions techniques (réseau
et/ou modem) doivent être remplies. Lors de
l'ouverture de session sur un réseau,
l'utilisateur doit disposer d'un compte utilisateur
et du mot de passe correspondant (voir mot
de passe (généralités)).
On désigne généralement ainsi le fait d'ouvrir un fichier pour le lire ou pour y écrire.
Il existe plusieurs modes d'accès au fichier :
le mode séquentiel (accès séquentiel)
le mode direct ou random (accès aléatoire)
le mode séquentiel indexé : il combine les
avantages des deux modes précédents en utilisant une table
d'index. Le meilleur exemple est celui du répertoire téléphonique.
Les lettres se présentant sous la forme d'onglet (correspondant
à la table d'index) permettent d'accéder à la première
lettre du nom de l'utilisateur (l'accès est direct). Par exemple,
pour rechercher Dupont, on se place à l'onglet D. On lit ensuite
les noms commençant par D, les uns après les autres (séquentiellement),
jusqu'à ce que l'on trouve le nom recherché.
Offre de base de la gamme Numéris comprenant deux canaux
B et un canal D et permettant de connecter jusqu'à cinq terminaux. Pour
plus d'informations, voir caractéristiques
d'exploitation RNIS et Types
d'accès à Numéris.
Type d'accès à Numéris proposé
par France Télécom. L'accès de base isolé comprend
deux canaux B (voir canal B) et un canal
D. L'abonné dispose de deux lignes téléphoniques
avec le même numéro et peut donc établir deux communications
simultanées (par exemple, téléphoner et envoyer un
message électronique). L'accès de base permet de connecter
jusqu'à cinq terminaux (voir terminal),
analogiques ou numériques.
Voir direct memory
access.
On dit qu'un accès à l'antémémoire
est efficace (angl. "hit"), lorsque se trouvent parmi les données
placées par anticipation celles requises par le processeur.
Si les données recherchées ne figurent pas dans l'antémémoire,
on parle alors d'accès manqué ("angl. "miss").
Extension de l'accès
de base à Numéris. Il offre en outre deux canaux analogiques
permettant ainsi à l'utilisateur de garder son ancienne installation
téléphonique. Cet accès permet toujours deux communications
simultanées et offre trois numéros d'appel ainsi que deux
accès pour raccorder des terminaux analogiques. Pour plus d'informations,
voir caractéristiques
d'exploitation RNIS et Types
d'accès à Numéris.
Mode d'accès au réseau Numéris
proposé par France Télécom. Il comprend 30 canaux
B et un canal D plus performant à 64 Kbit/s, comme les canaux B.
Il existe un autre type d'accès primaire qui offre un débit
de 1 536 Kbit/s pour 23 canaux B et un canal D. Voir aussi Types
d'accès à Numéris pour plus d'informations et
comparaison avec d'autres accès.
Désigne l'accès à des données dont on ne connaît pas précisément l'emplacement (en mémoire RAM, sur un disque ou dans un fichier). Cet accès s'effectue par la lecture de l'ensemble des enregistrements depuis le début du fichier jusqu'à ce que soit trouvé l'emplacement de l'enregistrement recherché. L'écriture d'un nouvel enregistrement se fait systématiquement à la fin du fichier.
Voir aussi Accès
aléatoire.
Access 2.0
Logiciel de base de données pour Windows édité par Microsoft.
Access a la particularité de ne nécessiter qu'un unique fichier .mdb, qui contient les données, les requêtes, etc.
La version 7.0 (version 32 bits pour Windows
95) a été mise sur le marché à la fin de 1995,
peu de temps après le lancement du système d'exploitation. Une
nouvelle version est intégrée à la suite Office
97 Pro, mise sur le marché au début de l'année 1997.
Les différentes imprimantes disposent de différents équipements ou accessoires. Les imprimantes à aiguilles peuvent être équipées d'alimentations automatiques par feuille et de spooleurs, mémoires d'impression supplémentaires. Pour tous les types d'imprimantes, à l'exception des imprimantes laser PostScript, on fournit des polices supplémentaires, mais depuis le développement de Windows, elles ne sont plus installées par l'imprimante mais par Windows.
Comme les imprimantes restent des périphériques
relativement chers, il existe différentes solutions pour que plusieurs
ordinateurs puissent partager une imprimante. Pour ce faire, une imprimante
dispose de commutateurs manuels ou électroniques.
On appelle "accumulateur" un registre
du CPU destiné principalement à mémoriser
provisoirement les résultats des opérations logiques et arithmétiques.
Source d'électricité ou batterie rechargeable utilisée pour l'alimentation en électricité de toutes sortes d'appareils électriques (agenda, téléphone portable, lampe électrique, etc.). L'énergie électrique est stockée grâce à un procédé électrochimique. On distingue plusieurs types selon les matériaux utilisés pour les deux électrodes de l'accumulateur. Les durées de recharge, les capacités et la résistance aux erreurs de ces types diffèrent. Actuellement, les accumulateurs Nickel-Cadmium (NiCd), Nickel-Hybride métallique (NiMh) et Ions de Lithium (Li-Ion) sont les plus répandus.
Les électrodes de l'accumulateur doivent impérativement être séparées (isolées) les unes des autres pour éviter qu'un court-circuit ne transforme l'énergie électrique en chaleur. Un liquide électrolytique (conducteur grâce à des sels) assure l'équilibre de tension. Ces sels conducteurs se trouvent autour des électrodes et dans le séparateur : les accumulateurs au Nickel contiennent de la lessive de kali, les accus Li-Ion du sel de lithium. Ces substances contrôlent les processus électrochimiques de l'accumulateur. Tous les accumulateurs ont une différence de tension caractéristique ; celle des batteries au kali est de 1,5 V, celle des NiCd et NiMh est de 1,2 V et celle des Li-Ion est de 3,6 à 3,8 V. La quantité de charge électrique stockée représente la capacité d'un accumulateur : elle indique combien de temps le courant peut être fourni. Les NiMh et Li-Ion sont souvent préférés aux accumulateurs NiCd, notamment pour la nouvelle génération de téléphones portables, car ils sont plus puissants bien que plus petits et plus légers. L'accumulateur NiCd est en outre le seul à être sujet à l'effet de mémoire.
Un accumulateur Nickel-Métal hybride
pour un téléphone portable
Système de batterie très répandu
pour les téléphones portables. Voir batterie
pour plus d'informations.
accumulateur Nickel-Métal hybride
Système de batterie très répandu
pour les téléphones portables. Voir batterie
pour plus d'informations.
Lors d'une transmission
de données, le récepteur peut envoyer un "accusé
de réception" à l'émetteur pour confirmer qu'il a
bien reçu le paquet de données.
(Advanced Computing Environment) Accord conclu par plusieurs
grands noms de l'informatique, afin de
définir des spécifications pour chaque version de UNIX.
Société taïwanaise fondée en
1976 par Stan Shih. Elle s'est hissée progressivement à la
septième place des constructeurs d'ordinateurs et de périphériques,
avec un chiffre d'affaires de 5,8 milliards de dollars (soit une hausse
de 81 % en 1995). En 1993, elle lança le premier ordinateur multimédia
(modem, baffles, son, etc.).
Le simulateur de vol Aces of the Pacific place le joueur dans le cockpit d'un avion à hélice. Outre les différentes missions (voir mission), le joueur doit effectuer une campagne complète. Le jeu simule (voir simulation (jeu)) la guerre du Pacifique à partir de 1942. Les diverses missions sont intelligemment conçues et le mode de campagne offre la possibilité de faire carrière comme pilote lorsqu'elles ont été remplies avec succès.
Voir aussi Aces over
Europe.
Le simulateur de vol
Aces over Europe est en fait la suite de Aces
of the Pacific. Le joueur est placé dans le cockpit d'un avion
à hélice. Outre les différentes missions (voir mission),
il lui faut effectuer une campagne complète.
Le jeu simule (voir simulation (jeu))
la seconde Guerre mondiale. Les diverses missions sont intelligemment conçues
et le mode de campagne offre la possibilité de faire carrière
comme pilote lorsqu'elles ont été remplies avec succès.
éditeur français créé en 1984, qui réalise aujourd'hui un chiffre d'affaires de 40 millions de dollars. L'activité internationale représente environ 75% du revenu global.
Spécialisé à l'origine dans le système
de base de données relationelle 4D, ACI a récemment sorti
une nouvelle version 4D 6.0.
("Association for Computing Machinery") Association informatique
américaine. Tous les ans, elle attribue des prix aux réalisations
les plus remarquables dans ce domaine.
Éditeur allemand de logiciels pour RNIS
qui a participé de façon décisive au développement
du sous-système CAPI de Windows 95. Acotec propose également
des logiciels RNIS professionnels sous Windows 95 (ISDN for Windows 95)
et prévoit une version pour Windows NT 4.0.
édité par Adobe,
Acrobat permet de lire des documents multiplates-formes au format .pdf
sur du matériel divers (MacOS, DOS,
Windows et UNIX, ainsi
que sur un intranet et WWW).
Les ordinateurs dépourvus de programmes de création peuvent
ainsi utiliser des mises en page complexes, tout en conservant les polices.
Il est également possible de définir des liens hypertextes
(voir hypertexte) et d'inclure des animations
QuickTime, comme dans un intégrateur
multimédia. Grâce à un nouveau module, "Capture", Acrobat
se transforme en logiciel ROC, avec une innovation
: les caractères non reconnus sont stockés comme des images.
La simulation de football
Action Soccer a moins pour but de donner l'illusion de la réalité
que de développer l'action. Pour accroître la facilité
de manipulation et rendre le jeu plus fluide, la plupart des choix de l'entraîneur
ont été supprimés au profit des surfaces de réparation.
Le souhait de Microsoft
avec ce produit est d'accorder au bureau de l'interface Windows
(généralités), une liaison permanente avec l'Internet.
Nouveau standard multimédia sous Windows 95. Active
Movie prend en charge tous les codes vidéo de l'ancien lecteur multimédia
et est doté de la décompression Apple Quicktime. Il prend
également en charge le standard MPEG, qui s'exécute en 32
bits et utilise DCI ou son successeur Direct Draw.
C'est le standard élaboré par Microsoft
pour permettre à différents logiciels de communiquer entre
eux quels que soient le matériel ou le langage utilisés.
Afin que ce standard ne soit pas, dans l'avenir, sous la seule coupe de
Microsoft, de nouvelles normes seront établies par une organisation
comprenant de nombreux acteurs de la scène informatique. La présence
de ActiveX sur le Web permettra une plus grande
interactivité.
Langage de programmation évolué, qui a été baptisé ainsi en hommage à Ada Byron, comtesse de Lovelace et collaboratrice de Charles Babbage. On considère qu'elle fut le premier programmeur.
ADA a été défini en 1979 à la demande du ministère de la Défense américain pour remplir deux fonctions :
l'unification des variétés de langages de programmation, dont la maintenance est très onéreuse, dans le cadre de programmes (non-informatiques) d'une durée de vie dépassant très largement celle des innovations dans le domaine de la programmation (informatique) ;
la constitution d'une base méthodologique et technique pour supporter la création et la maintenance de volumes de plus en plus importants de code (n*10**6 lignes de codes, valeur typique pour le domaine militaire ou spatial).
Dans le cadre d'un appel d'offres international, la définition du nouveau langage a été emportée par une équipe française dirigée par Jean Ichbiah. La norme du langage et son implémentation (voir compilateur) ont vu le jour en 1983. Le langage était déjà caractérisé par la volonté de combiner la programmation "sûre" (voir Pascal) et la programmation "universelle" (voir PL/1). De plus, dans certains domaines, comme le temps réel, le langage prenait en charge des fonctionnalités normalement assumées par le système d'exploitation ; cette première version du langage a été largement utilisée dans le domaine militaire, mais aussi pour de nombreuses applications où la sécurité des systèmes l'emporte sur toute autre considération (contrôle aérien, programmation des nouvelles lignes de métro à Paris, etc.).
Parmi les causes qui ont empêché une diffusion
plus vaste du langage, on doit mentionner en premier lieu l'absence d'un
support complet pour la programmation
orientée objet (voir C++, Windev)
; depuis 1995, ADA 95 répond pleinement
à cette exigence, tout en renforçant son caractère
sécuritaire (grands systèmes temps réel).
Continuateur du langage ADA, conçu par Barnes et originellement développé par le Français Jean Ichbiah. ADA 95 supporte entièrement la programmation orientée objet, et offre en outre de nombreuses fonctions nouvelles, suggérées par les utilisateurs de ADA 83. Il est remarquable en ce que les domaines spécialisés (comme le temps réel) sont représentés non pas par une norme imposée à tous les compilateurs, mais par des directives normalisées adaptées aux domaines visés par chaque compilateur.
ADA 95 s'adresse surtout aux grands projets et de ce fait
sa diffusion est lente ; cependant, on dispose sur PC
d'un compilateur GNU à la portée
de tout utilisateur voulant profiter d'un langage qui permet une programmation
à la fois riche et rigoureuse.
Logiciel de base de données conçu au début des années 1970 par Software AG pour des calculateurs (voir calculateur) fonctionnant avec les systèmes d'exploitation OS/2 et UNIX. Au début des années 1980, cette entreprise allemande a commercialisé des calculateurs de taille réduite spécialement conçus pour le traitement de base de données.
Le terme général d'"adaptateur" est utilisé dans un sens très large, dans le domaine du matériel informatique pour désigner des éléments périphériques permettant le raccordement d'un appareil à l'ordinateur ou reliant celui-ci à un système de communication hiérarchiquement supérieur.
Ainsi, les cartes graphiques peuvent être, par exemple,
qualifiées d'adaptateurs écran, les cartes son d'adaptateurs
audio, les cartes réseau d'adaptateurs réseau, et les modems,
parfois, d'adaptateurs de transmission de données (voir DAA),
etc.
Désigne un périphérique externe pour brancher
un ordinateur à une ligne Numéris (voir RNIS).
Il est contrôlé comme un modem par l'interface série à
l'aide de commandes AT (voir. commande AT).
Ceci permet de continuer à utiliser les programmes de communication déjà
en service pour la ligne téléphonique analogique. Cependant, les
caractéristiques d'exploitation spécifiques du réseau numérique
ne peuvent pas être exploitées dans cette configuration. Des appareils
combinés réunissent un modem et un convertisseur
A/B branché en aval à un adaptateur Numéris. L'utilisateur
peut ainsi choisir d'utiliser des lignes analogiques ou numériques pour
accéder à des boîtes aux lettres ou des services en ligne.
Un adaptateur SIMM permet de monter les anciennes barrettes SIMM à 30 broches sur les cartes mères récentes à 72 broches avec des adaptateurs PS/2-SIMM (voir SIMM). Lors d'une mise à niveau de la carte mère, on peut ainsi conserver ses anciennes barrettes SIMM acquises au prix fort. Ces adaptateurs se présentent généralement en version 4:1, c'est-à-dire pouvant recevoir quatre SIMM conventionnelles. Le module entier est monté sur le banc de mémoire de la nouvelle carte mère par l'intermédiaire de 72 broches comme un SIMM PS/2. Étant donné que les chemins des signaux sur l'adaptateur sont rallongés, le temps d'accès est légèrement plus long (de l'ordre de 5ns). Ceci peut rendre nécessaire une augmentation des états latents lors de l'accès à la mémoire du processeur dans le BIOS. Pour éviter des problèmes de compatibilité, il est conseillé de n'utiliser que des adaptateurs SIMM offrant la possibilité de régler la vitesse d'accès sur celle des anciens composants SIMM à l'aide d'un commutateur DIP. Il est en outre fortement déconseillé d'utiliser, sur un même adaptateur, différents types d'anciens composants SIMM ou de monter des adaptateurs différents sur une nouvelle carte mère.
Le principal inconvénient de cette construction
adaptateur/composants SIMM est dû à la grande taille de l'ensemble.
Non seulement cela peut réduire la place, à l'intérieur
de l'ordinateur, nécessaire à d'autres composants, mais aussi
compliquer l'utilisation simultanée de plusieurs adaptateurs. Pour
des raisons de place, il est de toutes façons impossible de placer
deux adaptateurs orientés de façon identique l'un à
côté de l'autre. Ce problème peut être résolu
avec des adaptateurs spéciaux.
On appelle add-in des macros (voir macro)
ou fonctions toutes prêtes. Elles peuvent être livrées
soit avec certains programmes, comme Excel ou
Access de Microsoft,
soit par un éditeur indépendant ; elles peuvent aussi être
créées par l'utilisateur lui-même. Les fonctions add-in
ont souvent en charge l'importation ou l'exportation des données
(voir importation de données).
Créé en 1942. Fait partie du groupe Pearson.
ll s'agit d'un important éditeur de livres et de
supports multimédias à usage éducatif et pédagogique,
concernant aussi bien les professionnels de l'informatique que le monde
de l'éducation. Il a longtemps été le premier éditeur
des livres d'Apple, de Sun,
d'Unix et de la plupart des textes avancés
en matière d'IA.
Module présent dans une unité centrale et chargé d'additionner deux nombres sur ordre du processeur. Plus généralement, il s'agit d'un circuit capable d'additionner deux nombres binaires (voir binaire). Chacune des quatre opérations de base pouvant être décomposée en additions, l'additionneur est un élément très important du calculateur (voir CPU). Il peut additionner deux valeurs ou davantage.
Voir aussi demi-additionneur.
C'est un circuit intégré
qui additionne deux chiffres binaires en tenant compte de la position de
la décimale précédente, par exemple 1+1=10 (augmentation
d'une décimale). Les chiffres binaires à plusieurs décimales
se calculent grâce à l'utilisation conjointe d'additionneurs
et de demi-additionneurs.
Contrairement aux add-in, un
add-on n'est pas une macro ou une fonction prédéfinie, mais
un programme autonome. Il peut être lancé à partir
d'un autre programme d'application et fait souvent partie d'un progiciel.
Les programmes de visionnement permettant de regarder des fichiers image
ou vidéo intégrés dans des documents multimédias,
par exemple, sont des programmes add-on.
Collection de logiciels d'accompagnement scolaire (voir
logiciel éducatif). Les principales
matières du programme des classes de sixième/cinquième
et quatrième/troisième sont traitées avec sérieux
et rigueur, mais de façon simple et claire. Adi, le petit personnage
extraterrestre, vous sert de guide ou d'assistant quand les exercices ne
sont pas compris. Ce CD-ROM contient également
des activités de loisirs pour vous détendre entre deux cours.
Voir Adibou.
Logiciel d'accompagnement scolaire pour les enfants de
4 à 7 ans du groupe Coktail-Sierra. Une trentaine d'activités
intelligentes se proposent de développer le sens de l'observation
et la réflexion de l'enfant. Basé sur la recherche visuelle
et la logique, ce CD-ROM ne néglige pas
l'aspect ludique ni l'humour, ce qui en fait un produit de qualité.
Voir aussi logiciel éducatif.
On appelle "Adlib" (d'après le nom d'un fabricant de cartes son) un standard de cartes son maintenant dépassé (voir carte son) et remplacé depuis par le standard Soundblaster.
Le standard Adlib a surtout été utilisé pour des jeux sur PC, alors que le standard Soundblaster s'est imposé dans le domaine du multimédia.
On désigne par ce terme la personne qui gère les comptes utilisateur, le logiciel et les moyens d'exploitation d'un réseau.
Voir :
Chargé de la gestion d'un réseau, il est responsable de l'enregistrement des nouveaux utilisateurs et de la répartition des droits d'accès (voir droit d'accès) ainsi que de l'installation du système d'exploitation réseau et de la sécurité des données (voir aussi sécurité informatique) sur l'ensemble du réseau.
L'administrateur réseau peut accéder, une
fois qu'il est inscrit comme utilisateur privilégié du réseau,
à toutes les fonctionnalités du système (par exemple
accès en lecture et en écriture à toutes les données
ou bien modification du profil des utilisateurs).
Dans un réseau, l'administrateur système (superviseur) est responsable de la totalité de la gestion du système. Lui seul, par exemple, a la possibilité de mettre en place ou d'annuler des identifications d'utilisateurs. Les principales fonctions de l'administrateur système sont :
la mise en place ou l'annulation d'identifications d'utilisateurs,
l'allocation de leurs droits aux utilisateurs,
l'installation d'interfaces utilisateur,
l'installation de nouveaux logiciels d'application,
l'indication des tâches de gestion aux utilisateurs,
le contrôle de la sauvegarde des données,
la sauvegarde des données (déléguée),
le contrôle de l'utilisation du serveur,
le constat de l'utilisation des stations de travail,
le contrôle des capacités du disque dur,
la suppression des logiciels qui ne sont plus utilisés.
L'administrateur de système doit toujours être
une personne de confiance, qui connaît la complexité des réseaux.
Voir aussi SysOp.
Société américaine créée en 1982, Adobe occupe aujourd'hui le troisième rang mondial des éditeurs de logiciels. Ses fondateurs, Charles Geschke et le Dr John E. Warnock en sont respectivement le P-DG et le vice-président. Cette entreprise réalise un chiffre d'affaires annuel d'environ 760 millions de dollars grâce à son large éventail de logiciels d'aide à la création graphique.
Elle commercialise notamment le logiciel de traitement d'images PhotoShop et les logiciels de PAO PageMaker et FrameMaker, ainsi que le logiciel Adobe PageMill.
Sa bibliothèque de polices, Adobe Type Library, la place également parmi les principaux éditeurs de polices de caractères (voir police de caractères) conformes à la norme PostScript.
Adobe fut la première société à créer ce type de produits logiciels permettant de gérer l'affichage et l'impression des polices PostScript. Parmi ces logiciels, le plus connu est Adobe Type Manager pour Windows (généralités) (jusqu'à présent en version 16 bits) et pour OS/2 (en version 32 bits), composant essentiel de tout système d'exploitation.
Après plusieurs rachats d'entreprises (comme celui d'Aldus), Adobe se positionne aujourd'hui comme leader du secteur de la création de polices et de la PAO.
Parmi les dernières créations d'Adobe, citons
PageMaker 6.5, Persuasion 4.0 et Photoshop
4.0.
Il s'agit d'un éditeur
HTML permettant de réaliser facilement des pages Internet.
La dernière version est la 2.2.
(Abréviation : ATM) Gestionnaire de polices de
caractères permettant d'afficher et d'imprimer des polices PostScript
sous OS/2, Windows
(généralités) et Macintosh
(voir gestion de polices). Depuis
l'introduction de TrueType sous Windows, Adobe
Type Manager n'est plus très utile.
Par l'attribution d'une adresse, on accède à une valeur dans la mémoire de travail ou dans l'unité d'entrée/sortie. Il y a de nombreux types d'adressage :
1. Par l'adressage absolu, ou direct en mémoire, on définit l'adresse où l'on trouve le mot en mémoire de travail.
2. Par l'adressage indirect en mémoire, on définit la mémoire dans laquelle on trouve l'adresse du mot.
3. Par l'adressage direct en registre, on définit l'adresse d'un registre dans lequel on trouve le mot.
4. Par l'adressage indirect en registre, on définit l'adresse d'un registre dans lequel on trouve l'adresse mémoire du mot.
5. Par l'adressage relatif, on définit une adresse relative, qu'il convient d'ajouter au contenu effectif d'un registre pour obtenir l'adresse du mot.
6. Par l'adressage indexé, on définit un contenu relatif à l'adresse du mot, qu'il convient d'ajouter au contenu effectif d'un registre d'index pour obtenir l'adresse du mot.
Voir aussi adressage
des cellules.
Pour que le contenu d'une cellule puisse être utilisé dans des formules ou pour qu'il soit possible de calculer d'autres valeurs, chaque cellule a une adresse unique.
Il existe deux sortes d' adressage des cellules.
L'adresse est construite d'habitude par une combinaison
d'indicateurs de colonne (lettres de A à Z et ensuite des combinaisons
AA, AB, etc.) et de numéros de ligne (les lignes sont numérotées
à partir de 1). En outre, il existe un autre système d'adressage,
absolu, dit système L1C1 : ici l'adresse est construite à
partir de L + numéro de ligne et de C + numéro de colonne.
Dans un système informatique, valeur significative désignant un emplacement physique dans la mémoire de travail.
Pour que les données du CPU puissent être interrogées ou transférées dans un emplacement mémoire particulier, elles doivent tout d'abord être transférées à cette adresse par l'intermédiaire du bus d'adresse de la mémoire de travail ; tous les programmes informatiques peuvent alors interroger ou transférer des données à partir de cette adresse. Une adresse, désignant l'emplacement des instructions d'un programme, peut également être utilisée par ce programme comme une adresse de branchement.
Voir adresse de démarrage.
De même, la commande d'un dispositif d'entrée/sortie ou d'un autre composant d'un ordinateur s'effectue par l'intermédiaire d'une adresse (voir adresse de périphérique).
En plus de l'adresse physique, un gestionnaire de mémoire peut manipuler l'adresse relative d'une mémoire matérielle (voir transformation d'adresse, adresse logique). Les adresses relatives servent, notamment, à écrire des programmes, qui peuvent être chargés et exécutés à partir de leur emplacement de mémoire sans subir de modification (voir aussi adresse absolue).
Le système d'exploitation ou les programmes utilisent également souvent des noms comme adresses symboliques, pour simplifier les traitements (voir adresse symbolique).
Voir aussi :
En anglais : SI pour Service Indicator. Informations permettant
d'identifier les terminaux connectés à un accès RNIS
(téléphone, télécopieurs analogiques et numériques,
modem, etc.). Elles sont transmises par le canal
D ou canal de signalisation lors de l'établissement de la connexion
et servent à diriger les données transmises vers l'appareil
approprié (voir SDA).
Contrairement à une adresse
relative qui est définie par rapport à une référence
quelconque, une adresse physique ou
absolue est l'adresse réelle d'une zone de mémoire.
Adresse à laquelle
l'exécution du programme reprend après l'exécution
d'une instruction de branchement.
Lorsqu'un programme est chargé dans la mémoire
de travail pour être exécuté, l'adresse de démarrage
indique l'adresse à partir de laquelle
le processeur commence l'exécution
des instructions. Par conséquent, elle correspond au début
logique du programme.
L'"adresse de périphérique" (également appelée "nom de périphérique") est l'appellation logique, gérée par le système d'exploitation, des composants périphériques (voir composant) ou de périphériques comme les cartes d'extension ou les imprimantes (voir imprimante).
À l'aide de l'adresse de périphérique, ces dispositifs peuvent être pilotés sans ambiguïté en entrée ou en sortie.
Sous MS-DOS, COM1 et COM2 (voir Port
COM) pour les deux premières interfaces série (voir interface
série), de même que LPT1 (voir LPT)
ou PRN pour l'interface
parallèle (voir aussi adresse, port
E/S) sont des adresses standard de périphériques.
Dans un réseau ou une
messagerie, il s'agit du domaine privé où arrivent les messages
destinés à un utilisateur particulier. Chaque utilisateur
a une adresse e-mail unique, mais il peut en
ouvrir plusieurs.
IP est l'abréviation de "Internet-Protocol" (voir protocole Internet). L'adresse IP est celle que reçoivent tous les ordinateurs du monde, s'ils sont connectés à l'Internet. Elle consiste en une combinaison de quatre groupes de chiffres décimaux séparés par des points, par exemple 129.147.5.50. Pour plus de facilité, ces chiffres sont souvent représentés par des mots, eux aussi séparés par des points. Le premier nom est toujours celui de l'ordinateur lui-même, les autres sont ceux de divers réseaux partiels hiérarchisés, les deux dernières lettres désignent toujours le pays où se trouve l'ordinateur, par exemple "fr" pour la France.
Toutes les adresses IP sont gérées par le SRI Network Information Center (voir InterNIC), situé en Californie. C'est un DNS ("domain name server") qui se charge de traduire les noms symboliques en adresses IP.
Voir aussi : TCP.
Cette adresse mémoire, donnée directement par une instruction d'un programme machine, ne doit pas être confondue avec l'adresse physique ; la gestion de mémoire de l'ordinateur peut exécuter une transformation d'adresse pour muer une adresse logique en adresse physique.
Les adresses logiques permettent d'écrire des programmes pouvant être chargés par le système d'exploitation dans une zone de mémoire disponible et dispensent le programmeur de prendre en charge l'organisation de la mémoire. Dans ce contexte, on parle également d'adresse relative.
Les adresses logiques permettent également d'optimiser l'utilisation de la mémoire de travail d'un ordinateur et d'empêcher les conflits d'adresses, et les conflits d'accès qui en résultent, avec les zones de mémoire réservées aux autres utilisateurs dans un environnement multitâche.
À partir des adresses logiques, il est possible
d'accroître virtuellement la mémoire de travail d'un ordinateur
en étendant le contenu de la mémoire à la mémoire
de masse. Dans ce contexte, une adresse logique peut également s'appeler
une adresse virtuelle.
En programmation, on utilise fréquemment des adresses "mnémoniques" ou symboliques (par exemple des noms de variables, de champs), dont le nom renvoie à un emplacement dans la mémoire. Cette forme de description s'appelle l'adressage mnémonique.
Ainsi, un champ comportant des noms de famille peut être
décrit par "NAME".
Identification d'un poste dans un réseau.
Elle est utilisée pour la transmission de données à
l'intérieur du réseau afin d'en identifier l'expéditeur
et le destinataire.
Adresse réelle d'un emplacement mémoire
ou d'un des appareils composant le système.
Cas particulier d'adresse
logique. Son point de départ est variable, et peut être
par exemple l'adresse de démarrage
d'un programme. On utilise les adresses relatives pour écrire des
programmes que le système
d'exploitation peut ranger où il veut. Ainsi, le programmeur
n'a plus à se soucier de l'organisation concrète de la mémoire.
Pour pouvoir identifier de façon unique chaque ordinateur
d'un réseau et l'interroger, chacun
se voit attribuer une adresse réseau unique. Les adresses physiques peuvent
être définies dans la carte réseau (voir carte
réseau et carte Ethernet) ou réglées
par des cavaliers (voir cavalier). Par exemple,
l'IEEE attribue à toutes les cartes réseau
Ethernet une première partie de 3 octets
(voir octet) propre au fabricant. Celle-ci est ensuite
complétée par 3 octets supplémentaires formant une adresse
mondiale unique. L'adresse physique d'une carte réseau sert lors de l'adressage
dans la couche de liaison (voir modèle
à couches OSI), plus précisément dans la sous-couche
MAC (voir modèle IEEE-802)
; c'est pourquoi on l'appelle également adresse MAC. Étant donné
qu'il serait difficile de travailler avec de tels chiffres, ceux-ci sont remplacés
par des adresses logiques et des noms dans les hauts niveaux.
Nom ou symbole utilisé à la place de l'adresse
absolue pour faciliter la manipulation des données et la programmation.
Les données sont gérées par un système
d'exploitation appelé "unité
d'adresses". En langage de programmation, on utilise des adresses mnémoniques
(voir adresse mnémonique)
plutôt que des adresses absolues.
Cas particulier d'adresse
logique. Il en résulte une certaine lenteur due aux accès
répétés à la mémoire de masse. Elle
sert à l'adressage de la mémoire
virtuelle. On augmente en effet virtuellement la mémoire
de travail d'un ordinateur en déchargeant une partie de son
contenu dans une mémoire de masse.
(abréviation pour " Asymetric Digital Subscriber Liner", ligne asymétrique numérique) Cette technologie est expérimentée actuellement par le Cnet (Centre national d'études des télécommunications de Paris), parce que l'on a constaté que les lignes téléphoniques classiques peuvent transmettre des informations à très haut débit (+ de 1Mbit/s).
L' ADSL pourrait ainsi transmettre des données
à 4 ou même 8 Mbits/s. Cette nouvelle technologie utilise
une bande passante de signaux de 100 KHz à 1,1 MHz (contre 0 à
4 KHz pour le téléphone et un modem
ordinaire), qui multiplie par 100 la quantité d'informations que
l'on peut transporter.
Voir AT.
DSTN, parfois aussi appelé DTSN, est l'abréviation
de Double Super Twisted Nemantics. C'est le nom d'un procédé
de fabrication d'écrans plats pour les ordinateurs portables. La
production d'écrans DSTN est assez simple et peu coûteuse,
mais leur qualité n'atteint pas celle des écrans à
affichage TFT.
Carte graphique Winner 2000 Pro/x
(angl. TrueColor) Appellation
usuelle de l'affichage d'images avec jusqu'à 16 777 216 couleurs.
L'affichage écran est en effet réalisé au moyen d'un
nombre de couleurs utilisant 24 bits, ce qui donne 2 ** 24 soit 16 777
216 teintes possibles. L'oeil humain ne distinguant que quelques milliers
de nuances, les capacités de l'affichage en couleurs réelles
sont plus que suffisantes.
Dans l'affichage en niveaux de gris, les images en couleur
sont représentées de telle sorte que les différents
coloris sont rendus par des dégradés de gris (c'est-à-dire
différents degrés de luminosité). Cette forme d'affichage
est utilisée sur les écrans VGA monochromes.
Variante ancienne de l'affichage LCD,
dans laquelle la polarisation du liquide anisotrope est obtenue à
l'aide de circuits transparents verticaux et horizontaux. Il est dit "passif",
comparativement au mode d'affichage TFT
qui inclut des transistors LCD, permettant un affichage beaucoup plus rapide
grâce à des impulsions électriques.
Forme particulière d'écran LCD.
Les différents points de l'image sont pilotés par des circuits
à projection transparents horizontaux et verticaux. à certains
moments, les champs électriques déclenchent ou ferment les
transistors à film fin (TFT, sigle de "Thin-Film Transistor") placés
aux points d'intersection pour chaque pixel,
afin de polariser le liquide anisotrope.
Moniteur 17" GDM-17E40T
Technique d'affichage, aujourd'hui courante, consistant
à représenter images et textes sous forme de points (voir
pixel).
Fondée en 1980, l'Association française de télématique est l'organisation représentative des prestataires de services présents dans le monde de la télématique en France. Elle représente ses membres auprès des pouvoirs publics et de France Telecom, son principal interlocuteur. Elle siège ainsi notamment au Conseil Supérieur de la Télématique (CST). En outre, ses commissions de travail permettent à ses adhérents de nourrir mutuellement leur réflexion sur les évolutions de la télématique.
Pendant toutes les années 80, ce sont les membres de l'AFTEL qui ont contribué, à côté de France Telecom, à l'essor des services Télétel. Depuis 1994 et le début du succès de l'Internet en France, l'association a élargi sa vision de la télématique. C'est pourquoi elle a modifié son intitulé en "Association française de la télématique multimédia".
L'AFTEL a ainsi publié en octobre 1995 l'étude Internet, les enjeux pour la France et plus récemment un ouvrage consacré aux aspects juridiques de la discipline, Le droit du multimédia, de la télématique à Internet.
Henri de Maublanc est aujourd'hui le président de l'AFTEL.
Voir aussi : Minitel.
Cet économiseur d'écran, célèbre pour ses animations amusantes, a contribué à la popularité des économiseurs d'écran. L'animation la plus connue est celle qui représente des grille-pain volants. La première version du programme a été complétée par de nombreuses mises à jour (After Dark 2.0, More After Dark et After Dark 3.0) qui ont toutes été réunies sur le CD-ROM Complete After Dark.
Le dernier économiseur de la série, le Totally
Twisted After Dark, est d'une étonnante originalité.
Association Française des Utilisateurs d'UNIX et des systèmes ouverts. Les membres sont tous rassemblés en "groupes de travail" spécialisés (base de données, programmation orientée objet , sécurité, portabilité...). Agissant à la fois comme consultant et organisme de formation (entreprises et particuliers), son efficacité et sa maîtrise en font un acteur indispensable sur la scène Unix française.
Président : Pierre Faure.
Apple Newton
On appelle "agenda" (angl : "Notebook") la catégorie des PC portatifs qui peuvent fonctionner avec un accumulateur, des batteries ou une alimentation normale et qui disposent d'un écran LCD. L'agenda (format A4 et moins) est plus petit et moins lourd que le portable (ordinateur). Il pèse rarement plus de 3 kilos (accumulateur compris) et dispose d'un écran à cristaux liquides à représentation en noir et blanc ou en couleur. La souris est généralement intégrée dans la boîte sous forme de trackball.
La forme compacte du boitier rend impossible l'installation d'une carte enfichable, c'est pourquoi il intègre généralement des connecteurs PCMCIA. Cette norme permet la connexion de presque tout périphérique (par exemple, carte modem ou réseau). La station d'accueil représente une solution susceptible de remplacer l'extension par des cartes PCMCIA.
Le contact par fiche réalise la connexion entre l'agenda et la station d'accueil qui met à la disposition de celui-ci des connecteurs d'extension, des tiroirs enfichables supplémentaires pour les lecteurs et le plus souvent aussi la possibilité d'installer un moniteur.
Comme les agendas disposent d'interfaces série ou parallèles, les données peuvent être échangées par câble entre un agenda et une station de travail PC. Dans ce cas, on a besoin d'un programme qui travaille sur les deux appareils et permette à chacun l'accès à l'autre ordinateur.
Pour éviter les incohérences de données, Windows 95 offre la fonction "Porte-documents" qui rend possible une adéquation des données entre un agenda et une station de travail PC.
Apple offre également des agendas sous le nom de PowerBook. Les adeptes du Macintosh ont donc aussi leur portable.
à ne pas confondre avec agenda
électronique.
(ou organiseur) Ordinateur de la taille d'une calculatrice et possédant généralement les programmes de base d'un ordinateur tels qu'un agenda, une calculatrice et/ou un tableur, un éditeur voire un traitement de texte, et un langage simple de création de programmes (voir programme). Différents logiciels peuvent être insérés par ajout d'une cartouche, enfichable sur le côté de l'appareil et permettant d'utiliser différents programmes évolués. Les supports de stockage sont les mémoires interne et externe (cartouche).
Utilisés quand il est impossible de saisir les
données au moyen d'un clavier ou quand
les conditions de travail ne permettent pas de se servir d'un PC
normal ou d'un portable (ordinateur),
les agendas sont si petits que l'on peut les tenir dans une seule main,
tandis qu'on introduit les données de l'autre. Parfois aussi, ils
sont munis d'un écran tactile à cristaux liquides (voir LCD)
avec des menus. Le principal marché de ces ordinateurs est l'industrie,
où il faut effectuer des contrôles réguliers.
Cet utilitaire développé
par la firme Connectix est chargé de contrôler la mémoire
et les ressources système d'un ordinateur.
Composant de l'ensemble Plus!
pour Windows 95 de Microsoft. Il permet de programmer dans le temps le
démarrage de programmes tels ScanDisk ou Defrag.
Atelier de Génie Logiciel. Voir génie
logiciel.
(ang : Accelerated Graphic Port) Le port graphique accéléré, défini autour d'Intel est destiné à soutenir les très hauts débits nécessités par le graphisme et surtout la vidéo sur ordinateur.
Une fonction d'aide est diponible sur la plupart des logiciels commercialisés. L'aide présente les différentes fonctions du logiciel.
Elle peut être obtenue à partir de la touche "F1" du clavier, de la barre de menus ou d'un bouton spécial.
Une aide est également proposée dans la plupart des fenêtres de commande (voir aide contextuelle).
Dans une certaine mesure, un didacticiel
est une fonction d'aide.
Fonction d'aide sélective
d'un logiciel d'application.
Elle permet d'obtenir des informations relatives à une action que
l'utilisateur souhaite exécuter. Dans un traitement
de texte sous Windows (généralités),
par exemple, lorsque l'utilisateur appuie sur la touche "F1" alors qu'il
se trouve dans la fenêtre d'impression, il obtient directement le
fichier d'aide relatif à l'impression. L'aide contextuelle est l'une
des caractéristiques de la nouvelle génération des
logiciels d'application fonctionnant à partir d'une interface
utilisateur graphique telle que OS/2 ou Windows
(généralités).
Voir fonction d'aide.
L'aiguillage actif ou passif permet d'identifier les différents
types d'appels entrants, fax ou appel téléphonique, pour
les diriger vers le poste approprié. Il est nécessaire lorsque
plusieurs appareils (téléphone, télécopie,
répondeur) sont connectés à la même ligne ou
se trouvent réunis dans un seul appareil. L'aiguillage de télécopie
analyse la tonalité d'appel (voir signal
CNG) qui identifie généralement un télécopieur
appelant. Un aiguillage actif est capable de rediriger automatiquement
un appel sans qu'il soit nécessaire de décrocher. Inversement,
un aiguillage passif doit d'abord répondre à une conversation
entrante afin de vérifier qu'il s'agit d'une tonalité CNG.
Entre temps, une sonnerie artificielle fait croire à l'appelant
qu'aucun correspondant n'a décroché. Dans le cas d'un appel
téléphonique dirigé vers le téléphone
branché en parallèle, l'appelant doit payer au moins une
unité, même si personne ne répond, car l'aiguillage
doit décrocher pour vérifier.
(1900-1973) Mathématicien et informaticien américain. Entre 1939 et 1944, Howard H. Aiken, qui travaillait au service d'IBM, a mis au point, en collaboration avec C. D. Lake, B. M. Durfee et F. E. Hamilton, un des premiers "véritables" (c'est-à-dire dirigés par un programme) ordinateurs, le Mark I. Cet ordinateur, qui fut installé à Boston en août 1944, mesurait 16 mètres de long et 2,5 mètres de haut. Il comprenait plus de 700 000 composants et plus de 800 km de câbles électriques. Il pesait 35 tonnes et ses relais faisaient un bruit indescriptible.
Aiken a ensuite dirigé des projets qui ont donné
le jour aux ordinateurs Mark II, Mark III et Mark IV. Il fut longtemps
professeur d'informatique à Harvard
(de 1939 à 1961), où il fonda les Harvard Computer Laboratories.
Il en établit d'autres à Miami.
Société fondée en 1984 et spécialisée dans les logiciels (voir logiciel) d'aide au développement et à la programmation.
Parmi les produits Aimtech, il faut citer :
IConAuthor SE (développement d'applications multimédias) ;
Le système
d'exploitation AIX (abréviation de "advanced interactive executive")
est basé sur UNIX et a été
présenté pour la première fois par IBM
en 1986 avec ses premiers ordinateurs RISC. Il est maintenant disponible
pour les systèmes mini-informatiques (voir mini-informatique)
et les stations de travail. Il vise le domaine des applications scientifiques
et techniques. Sa clientèle est composée de réseaux
hétérogènes avec ordinateurs centraux, de systèmes
mini-informatiques et de stations de travail. Apple
utilise AIX dans le cadre de ses gros serveurs.
(Mohamed Ibn Musa Abu Djefar) Mathématicien arabe né en Iran qui rédigea vers 850 le "Kitab al Jabr" dans lequel il décrit les processus itératifs qui prirent ensuite son nom (Al Kharizmi a donné le mot "algorithme").
Notons que le mot arabe "al Jabr" a donné le mot "algèbre".
Le "Kitab al Jabr" s'inspire vraisemblablement des travaux d'Euclide et des Babyloniens qui, vers 2000 av. J.-C. déjà, notaient sur des tablettes d'argile des "recettes" numériques.
Voir aussi Abulafia.
Multinationale dont le siège social est situé en France. Spécialisée dans les activités de télécommunication (téléphonie, câbles, matériels...), de l'électronique et de l'électromécanique, elle est issue de l'éclatement de la Compagnie Générale d'électricité et considérée comme leader sur la plupart de ces marchés. Son capital est en partie détenu par l'état. Son P.-D.G actuel s'appelle Serge Tchuruk et remplace Pierre Suard (1986-1995).
Présente dans 20 pays, Alcatel Alsthom emploie
185 000 salariés, et a réalisé un chiffre d'affaires
de 160.4 milliards de FF en 1995.
Ingénieur américain, créateur de
jeux (Pong) pour Atari
notamment. Il développa à la fin des années 70, un
jeux holographique (3D) intitulé "Cosmos"
qui ne fut jamais lancé mais qui permit à l'industrie de
l'hologramme de se développer (CD). Après
un séjour chez Apple, il travaille actuellement
en indépendant.
Le producteur américain de logiciels "Aldus" s'est
fait connaître par ses programmes d'édition graphique (PhotoStyler)
et de publication assistée par ordinateur (voir PageMaker).
Aujourd'hui, Aldus fait partie de la compagnie Adobe.
Alerte Rouge est la suite de Command and Conquer, jeu de stratégie qui recontra un succès phénoménal lors de sa sortie car il mélangeait l'action et la stratégie. De plus, la réalisation était exemplaire, ainsi que les graphismes et la musique. Le système de jeu était parfait, et nombre de jeux du même type ont ensuite repris ce concept.
Alerte Rouge a été encensé à
sa sortie par la presse et les joueurs, qui se sont littéralement
précipités sur ce produit.
Forme particulière d'algèbre développée par George Boole au milieu du XIXe siècle et utilisée dans la création et la description de systèmes numériques (par exemple celles d'une puce). Les variables 1 et 0 représentent les positions "sous tension" et "hors tension". Un nombre est dit "booléen" lorsqu'il peut prendre la valeur 0 ou 1 ("vrai" ou "faux"). Fondée sur l'analogie avec les positions d'un interrupteur allumé ou éteint et avec le passage ou non du courant, l'algèbre booléenne joue un rôle très important dans le développement des ordinateurs et des programmes.
Les variables de l'algèbre booléenne sont
reliées par les opérateurs "et", "ou" et "non". Les résultats
des opérations sont représentés par des tables de
vérité (voir table de vérité).
Voir algèbre
booléenne.
(angl. "ALGOrithmic Language", "langage algorithmique") Ce langage de programmation algorithmique a été conçu pour la résolution de problèmes scientifiques et techniques. ALGOL est à l'origine du développement du langage de programmation Pascal.
Voir aussi ALGOL 60.
ALGOL 60 est le premier langage de programmation
fondé sur des procédures et des structures de commandes évoluées
pour la formulation d'algorithmes. Au cours des années 50, ses concepteurs
développèrent la forme
normale de Backus pour décrire la syntaxe d'ALGOL 60. ALGOL
68 est venu compléter ALGOL 60.
Voir ALGOL 60.
Succession finie d'actions élémentaires permettant de résoudre un problème. L'algorithme remonte à l'Antiquité : bien avant l'ère informatique, les mathématiques grecques, avec Euclide, proposaient des "recettes" (notamment pour trouver les nombres premiers). Son nom provient de celui d'un savant arabe né en Iran au Moyen Âge (natif du Khorassan) Al Kharizmi, qui, en tant que mathématicien, a contribué à la promotion du calcul algébrique.
Le développement d'un algorithme se passe ainsi :
1/ l'analyse du problème ;
2/ la conception d'un programme informatique. à ce stade, il n'est pas lié à l'utilisation d'un quelconque langage de programmation (ou le moins possible).
3/ la programmation proprement dite : les différentes actions élémentaires de l'algorithme sont définies par des instructions écrites dans le langage de programmation choisi.
On doit mentionner l'existence du langage de programmation
(interprété) APL, qui est une simple
notation (souvent à l'aide de caractères particuliers) des
algorithmes les plus généraux. Après une vogue, due
à la facilité de développement d'ébauches de
solutions ("prototypes"), et malgré certains essais de mise à
jour, ce langage a été abandonné à cause de
la difficulté de maintenir le code déjà existant (manque
de "lisibilité").
Développé par John Holland, au tout début des années 60 (université du Michigan), il tente d'expliquer deux principes :
le processus d'évolution et d'adaptation des systèmes naturels, par exemple l'évolution de l'homme ;
l'utilisation de ce processus pour la conception de systèmes artificiels (système complexe) perfectionnés et adaptatifs.
Ils obéissent aux principes de la recherche combinatoire basés sur la sélection naturelle néo-darwinienne en associant le hasard, la survie en milieu adapté... Certains virus informatiques, par exemple, suivent une courbe d'évolution qui les apparente à de la vie artificielle.
Les algorithmes génétiques nécessitent un traitement sous la forme d'un code : le plus simple comprend trois opérateurs qui sont la reproduction, le croisement (crossover) et la mutation. Le langage de programmation favori des développeurs en algorithme génétique est le LISP.
Les algorithmes génétiques, trop complexes pour de simples programmeurs, sont avant tout des méthodes d'optimisation basées sur un mécanisme de variation-sélection. Ils sont efficaces dans les domaines suivants : robotique, automatisme, recherche spatiale...
Voir aussi : robot, von Neumann.
Ce terme est utilisé pour désigner :
soit le mot qui est placé juste avant le signe @ dans une adresse e-mail (par exemple, robert@provider.com) ;
soit le mot qui fait référence à un compte particulier dans une URL (http://www.provider.com/robert).
Sous MacOS, un alias est un
fichier dupliqué placé dans la menu de lancement des programmes.
Le modèle "Alice" de Matra
Le modèle "Alice" de chez Matra fut commercialisé en 1984 au prix de vente de 1 200 francs. Il fut, à l'origine, conçu par Tandy aux états-Unis. Matra le fabriquait sous licence. Malgré ses atouts (dont son faible prix), Alice n'a pas rencontré un grand succès. En effet, Thomson fut finalement choisi pour fournir des ordinateurs à l'éducation nationale au détriment de Matra.
Les caractéristiques techniques du "Alice" comprenaient
un processeur 6803, une mémoire
4 Ko extensible à 16, une interface
cassette, et un affichage Péritel.
Les différents types de présentation des lignes d'un texte (aligné sur le retrait gauche, aligné sur le retrait droit, centré au milieu de la page, aligné sur les retraits droit et gauche, c'est-à-dire justifié) sont désignés par le terme générique "alignement" et constituent l'une des tâches de mise en forme de paragraphes.
Selon le type de présentation sélectionné,
le texte est "aligné à gauche", "aligné à droite",
"centré" ou "justifié".
alimentation feuille à feuille
Imprimante à aiguille
On appelle "alimentation feuille à feuille" (automatique) un dispostif permettant de sélectionner séparément des feuilles d'un casier pour les imprimer à l'aide d'une imprimante.
On utilisait autrefois du "papier en continu" dont les pages devaient ensuite être séparées au niveau des perforations correspondantes. Il était indispensable de créer un dispositif d'alimentation feuille à feuille pour rendre possible de traiter du papier machine.
La plupart des imprimantes jet d'encre actuelles, ainsi que toutes les imprimantes laser, disposent d'une alimentation feuille à feuille intégrée ; le gestionnaire d'impression de certaines imprimantes permet de traiter différentes sortes de papiers ou d'enveloppes tirés de chargeurs différents.
Voir alimentation
papier.
Imprimante à aiguille
On appelle "alimentation papier" l'avancement du support d'impression dans l'imprimante. Au moment de l'impression, l'alimentation papier s'effectue progressivement en fonction des lignes de points à imprimer ou des lignes de points isolés à composer sur le tambour d'image.
Sur les imprimantes à matrice, on peut aussi déclencher
l'alimentation papier directement (par étapes ou en continu).
Voir Lemmings.
Ingénieur américain. Cofondateur de Microsoft en 1975 avec Bill Gates. Il développèrent ensemble une forme évolutive du Basic pour l'ordinateur Altair 8800.
Paul Allen dirige le consortium Paul Allen Investment
qui regroupe des sociétés de recherche et développement
comme Asymetrix (qu'il fonde en 1985), qui
développe des outils de programmation
orientée objet, des interfaces graphiques et des équipements
multimédias (cartes vidéo, 3D, son...). Travaillant toujours
en symbiose avec Microsoft et Windows
(généralités), il lance en 1990 ToolBook,
un environnement de développement d'application. Dès 1992,
Asymetrix se tourne vers le développement d'outils pour lier l'Internet
et les bases de données, au nombre desquels SuperCedee qui s'appuie
sur des technologies RAD (Rapid Application Developpement).
Voir Panzer General.
Allocation de l'espace de stockage d'un périphérique (par exemple, un disque dur) à différents fichiers : il faut pouvoir déterminer où sont les données correspondant à un fichier, quelles sont les zones de stockage libres et celles qui sont occupées.
Pour les systèmes d'exploitation MS-DOS
et OS/2, ces données sont regroupées
dans une FAT.
Il existe deux méthodes fondamentales pour allouer
les ressources disponibles aux processus
demandeurs (l'allocation de ressources). D'une part, les processus peuvent
se partager les ressources de manière coopérative (voir multitâche
coopératif), d'autre part, l'allocation des ressources peut
être contrôlée de façon centralisée par
le système d'exploitation.
Cette méthode agit avec la demande ou la mise à disposition
de ressources par les processus ainsi que par leur attribution ou privation
par le système d'exploitation (voir multitâche
préemptif).
Alone est un jeu d'aventures
qui se déroule dans une ambiance fantastique. Le système
de jeu est révolutionnaire, et fut primé de nombreuses fois
en France et au Japon : il est basé sur un système de caméras
offrant, suivant différents angles de vue, la position du personnage.
Vous êtes dans la peau d'Edward Carnby, un étrange détective.
Dans la première version, il est confronté aux nombreux visages
des forces du Mal dans une maison où il est facile de pénétrer,
mais d'où il est diaboliquement difficile de ressortir. Dans la
deuxième version, Carnby se bat contre les pouvoirs du vaudou pour
libérer une fillette kidnappée par des contrebandiers. Dans
la troisième version, enfin, il affronte un ultime défi dans
la ville fantôme de Slaughter Gulch.
L'alphachip est un processeur RISC haute performance de
la société américaine DEC, travaillant avec un bus
interne de 64 bits.
On dit qu'un champ de
données est au format alphanumérique lorsqu'il peut contenir
un mélange de chiffres, de lettres et d'autres caractères
(il existe aussi des données
alphabétiques et des données
numériques). Le clavier normal d'un ordinateur s'appelle "clavier
alphanumérique", car il ne contient pas que des chiffres.
Ordinateur construit autour du microprocesseur 8080 d'Intel et considéré comme l'ancêtre du micro-ordinateur. Il était vendu 500$ en kit par MITS, un vendeur de calculatrice par correspondance.
Le succès vint grâce au magazine Popular
Electonics qui en fit sa couverture en janvier 1975.
La compagnie américaine AMD (abréviation de "Advanced Micro Devices") fut la première à briser le monopole de son ancien partenaire Intel, en produisant ses propres processeurs 286 et 386 pour PC. Après de longues péripéties concernant le microcode, elle produit aussi, depuis 1993, des processeurs 486. AMD réussit également très bien dans le domaine des mémoires flash et des processeurs RISC (voir processeur RISC) utilisés essentiellement pour l'impression laser.
AMD est également à l'origine d'une recherche constante de l'augmentation de la fréquence d'horloge des processeurs.
Voir AMD.
Ce logiciel permet d'aménager avec précision son cadre de travail sans perdre d'espace grâce à des fonctions de dessin faciles d'emploi. Il comprend plus de 400 symboles représentant mobilier et accessoires accompagnés de conseils précieux en matière d'ergonomie.
Voir Intérieur 3D.
"America Online" - abréviation "AOL" - est un service
en ligne utilisé par plus de trois millions d'Américains.
Ses principaux concurrents, sur le marché français, sont
CompuServe et Infonie.
AOL est plus particulièrement conçu pour l'utilisateur privé
et il est donc plus facile de se servir de son interface graphique (voir
GUI). Il offre des forums de communication et d'information
sur tous les sujets, des loisirs aux thèmes scientifiques. La grande
chaîne de télévision ABC, par exemple, a son propre
forum. On y trouve également les services en ligne habituels, tels
que le e-mail et le télé-achat.
En Europe, AOL vient d'ouvrir. Les utilisateurs de ces services sont principalement
des gens dont les revenus sont plus élevés que la moyenne,
d'un bon niveau d'instruction, et dont l'âge varie entre 18 et 45
ans. Pour ce type de service en ligne, contrairement à l'Internet,
une tarification horaire s'ajoute au prix de la communication et de l'abonnement.
Ainsi tarde-t-il à conquérir une vaste clientèle en
raison d'un prix des communications assez prohibitif.
AMI a été fondée en 1986. Cette société
est notamment connue pour sa conception de cartes mères (voir carte
mère) de grande qualité. Elle propose également
des produits d'aide au diagnostic des pannes sur les PC, comme la dernière
version de AMIDiag 5.0.
Cet utilitaire d'aide à la maintenance des PC est
le fruit de la société American
Megatrends. La première version est sortie en 1990 : ce logiciel
teste la plupart des périphériques et composants matériels
du PC, et établit également une base
d'informations.
Modèle d'ordinateur créé par la société Commodore (après que Jay Miner a conçu le modèle 1000), et mis sur le marché en 1985. Il repose sur l'utilisation d'un processeur de la série 68000 de Motorola. Amiga possède des processeurs spéciaux qui lui confèrent de bonnes capacités graphiques et musicales et qui en font le premier ordinateur "multimédia" avant la lettre (son stéréo, carte 4 096 couleurs, périphérique TV et VCR).
La tentative d'adaptation d'Amiga à des applications à caractère professionnel a échoué. Entre-temps, le Commodore d'Escom s'est massivement vendu.
Les PC (des "Amiga") continuent à être produits,
l'équipement ayant été adapté aux exigences
actuelles par le montage en série d'un disque
dur.
Logiciel de traitement de texte édité par
Lotus, filiale d'IBM,
AmiPro est l'un des principaux concurrents de Microsoft
Word pour Windows et Novell WordPerfect pour
Windows. Ce logiciel est disponible en versions Windows
(généralités) et OS/2.
Les prochaines versions porteront le nom de "Lotus Word Pro".
CD-ROM créé par le mouvement de défense des droits de l'homme Amnesty International. Il présente les trente articles de la Déclaration des droits de l'homme, lus et illustrés par des vidéos.
De plus, on y trouve des informations relatives à
l'histoire d'Amnesty International, des exemples de cas d'intervention,
ainsi qu'un atlas indiquant les pays dans lesquels les droits de l'homme
n'étaient pas respectés en 1994.
Voir Amnesty Interactive.
Ce programme, que l'on appelle aussi "programme de boot",
est la première partie du système
d'exploitation. Il est chargé dès que le BIOS
a fini ses tests et ses initialisations. Toute disquette formatée
(voir formatage) ou toute partition de disque
dur contient un secteur d'amorçage. L'amorçage consiste
à chercher les autres composants du système d'exploitation
qui se trouvent sur la disquette ou la partition, puis à les charger,
s'ils s'y trouvent, dans la mémoire
de travail.
Le CPC 464 d'Amstrad
(Abréviation de "Alan Michael Sugar Trading") Société britannique fondée et dirigée par Alan Sugar qui a, de 1984 à 1988, commercialisé avec un grand succès une gamme d'ordinateurs 8-bits avec le système d'exploitation CPM (clone de l'IBM-PC).
En France, la filiale fut dirigée par la dynamique Marion Vannier.
Amstrad a commercialisé des PC à moins de 5 000 F dès 1988 et a ainsi contribué à la baisse des prix sur les matériels et les logiciels, et à démocratiser la micro-informatique.
Aujourd'hui, après de sérieux revers financiers,
Amstrad vend des antennes et des kits satellites.
L'adjectif "analogique" est le contraire de "numérique".
Il signifie "qui se suit et se ressemble". Un signal analogique est une
quantité physique qui, à l'intérieur de limites données,
peut adopter n'importe quelle valeur, c'est-à-dire un nombre infini
de valeurs intermédiaires. Par exemple, les aiguilles d'une montre
à affichage analogique indiquent l'heure en passant par tous les
angles possibles entre 0 et 360 ; à chaque instant leur position
est différente. Une montre à affichage numérique
n'a pas d'aiguille et n'indique que des valeurs intermédiaires discrètes,
celles des différentes heures et minutes.
(ou analyse système) Elle consiste en l'analyse d'un problème complexe qui doit être résolu à l'aide d'une procédure de traitement des données. C'est la première étape logique du développement d'une solution au problème, par exemple par la création d'un programme (voir programmation) pour un ordinateur.
Voir analyse par blocs.
Examen des blocs logiques d'un texte de programme
qui sont exécutés pendant le déroulement du programme.
Voir analyse de problèmes.
Analyseur de la syntaxe du langage intégré
à un compilateur.
Interprète, compositeur, techno-artiste américaine.
Ses albums traduisent une vision très personnelle du cyberespace
et font appel à l'Internet. Ses spectacles
et ses CD-ROM (comme "Puppet Motel", réalisé
avec Peter Gabriel) présentent en avant-première des sculptures-lasers
et du son 3D.
Typographe et informaticien. Il a travaillé très tôt sur les polices de caractère appliquées à la PAO.
Voir infographie.
(né en 1970) Programmeur et concepteur du navigateur
de Netscape. Très précoce, il
commence dès l'âge de dix ans à programmer. En 1993,
il rencontre Jim Clark, alors P.-D.G. de Silicon
Graphics qui lui propose de devenir son bras droit dans l'un des plus
passionnants épisodes du cyberespace et de l'Internet
: la création de Netscape.
(gr. andros : "homme") Robot ou automate à forme humaine. Pierre Jacquet-Droz a atteint la perfection dans l'art des automates "androïdes". Un mécanisme réussissait même à reproduire les mouvements de respiration.
Les "androïdes" de Pierre Jacquet-Droz
Séquence d'images animées qui donnent à l'utilisateur l'illusion de voir un mouvement.
Création des dinosaures de "Jurassik Park"
Les animations sont utilisées dans les symboles
graphiques de certains programmes, dans certains éléments
des interfaces utilisateur graphiques et dans le domaine du multimédia.
L'annulation de données
consiste à supprimer supprimer ces données physiquement,
c'est-à-dire à les effacer ou les remplacer par d'autres
données, ou logiquement, c'est-à-dire à repérer
et écraser leur adresse en mémoire.
("American National Standards Institute") Comité américain de normalisation. Il a produit de nombreuses normes internationalement acceptées.
On retrouve dans les PC qui fonctionnent sous MS-DOS une norme ANSI datant de l'époque de l'ordinateur central et des terminaux (voir terminal) : c'est le driver ANSI.SYS. En normalisant les séquences contrôlant les fonctions des terminaux, l' ANSI a posé la base nécessaire à de nombreux fabricants pour réaliser leurs machines.
Les séquences de contrôle ANSI, également appelées séquences de contrôle-Escape car elles utilisent cette touche, gèrent des fonctions telles que le positionnement du curseur, le clignotement ou la couleur des caractères et l'effacement d'une partie ou de la totalité de l'écran.
Il existe toujours, dans le domaine de la transmission de données, une variante de ce contrôle d'écran. Elle s'appelle aussi norme ANSI et remonte à l'époque des terminaux.
Dans le domaine de la messagerie (voir e-mail), on a vu apparaître de nombreuses images ANSI qui se servent elles aussi des séquences de contrôle ANSI ou Escape.
Voir aussi : ASCII.
L'antémémoire accélère l'accès du processeur à la mémoire de travail. Pour cela, on stocke provisoirement les données qui seront le plus probablement utilisées dans une mémoire tampon interne au processeur : l'antémémoire.
L'accès à cette mémoire tampon peut se faire beaucoup plus rapidement que l'accès à la mémoire de travail normale. Outre l'antémémoire interne au processeur, la plupart des cartes mères disposent d'une antémémoire de second niveau sur la carte. Cette mémoire de 256 Ko ou 512 Ko est sensiblement plus grande que l'antémémoire interne (8 Ko pour les processeurs 80486, 16 Ko pour le Pentium).
Voir aussi :
L'antémémoire du lecteur ou antémémoire
disque est une mémoire intermédiaire qui est disponible directement
sur la carte du disque dur, sur le contrôleur
ou dans la mémoire de travail du PC (par exemple, Smartdrive). Lors
de l'accès au disque dur, les données sont lues dans la mémoire
intermédiaire, puis, par un nouvel accès, sont installées
dans la mémoire, qui est beaucoup plus rapide que le disque dur.
Lors de l'écriture des données sur disque, également,
l'écriture se fait d'abord dans l'antémémoire, suivie
par la procédure d'écriture sur disque, plus longue.
Unité de disque dur, intérieur
On appelle "antémémoire de matériel" l'utilisation d'une antémémoire de disque dur par des contrôleurs de disques durs spéciaux dotés d'éléments de mémoire propres.
Sur une antémémoire,
en revanche, un programme utilise une partie
de la mémoire de travail comme antémémoire (voir mémoire
de travail). Cependant, les écarts de performances entre les
deux procédés sont généralement faibles.
Processeur Pentium Pro
On désigne le plus souvent sous le nom d'"antémémoire
de processeur" la mémoire cache installée directement sur
le microprocesseur, avec son indispensable
contrôleur d'antémémoire, qui mémorise temporairement
toute une série d'instructions du processeur pour pouvoir y accéder
rapidement sans recourir à des accès isolés à
la mémoire de travail. Outre l'antémémoire intégrée
au processeur (antémémoire de premier niveau), une autre
antémémoire (de second niveau) assure généralement
l'accélération du travail de l'UCT.
On désigne sous le nom d'"antémémoire de second niveau" la mémoire cache installée à l'extérieur de l' UCT, sur la carte mère.
Depuis la sortie du 486, une antémémoire
de premier niveau est intégrée aux processeurs de la
firme Intel. Cette antémémoire
peut être complétée par une antémémoire
externe de second niveau, qui était jusqu'ici de type conventionnel
ou asynchrone. Pour travailler sur un Pentium
rapide, il est cependant recommandé d'utiliser une antémémoire
par rafales, ou mieux, une antémémoire par rafales et
pipeline.
Pour obtenir une antémémoire logicielle, un programme utilise une partie de la mémoire de travail comme antémémoire du disque dur (voir antémémoire de lecteur). Le plus connu des programmes de ce type est SmartDrive de Microsoft.
Certains systèmes d'exploitation (voir OS/2 Warp, Windows NT, Windows 3.11 et Windows 95) intègrent un programme d'antémémoire.
Une antémémoire matérielle est constituée
de composants mémoire à l'intérieur du contrôleur
du disque dur. Les performances de ces deux types d'antémémoire
sont en général quasi identiques.
On appelle "antémémoire par rafales" une
mémoire cache de second niveau située sur la carte mère
d'un Pentium et dotée du mode de transmission
par rafales. Celui-ci est fondé sur l'exécution de "rafales"
lors desquelles un nombre important de données peuvent être
transmises successivement, et à une très grande vitesse,
ce procédé se contentant de transférer l'adresse de
début et le nombre d'éléments des données au
lieu de transmettre chaque adresse individuellement. Le comptage des adresses
s'effectue à l'intérieur de la mémoire.
Voir antémémoire
par rafales.
En anglais, Anti-aliasing. Nom de la technique permettant
de supprimer le crénelage, notamment
en adoucissant les arêtes aiguës.
On désigne de la sorte certaines procédures
destinées à empêcher les copies (voir copier)
illégales de programmes (voir copie
pirate). Elles sont basées sur un composant matériel
(dongle) ou logiciel. C'est ainsi qu'un programme
d'installation spécial ne permet qu'un certain nombre d'installations
(voir installation). Mais ces mesures
logicielles peuvent souvent être contournées, et la plupart
des fabricants y renoncent, car elles sont onéreuses et difficiles
à manipuler.
On appelle "antislash" le caractère spécial "\", très utilisé dans le monde anglo-américain. Sous MS-DOS, Windows (généralités) et OS/2, l'antislash sert à distinguer les noms de répertoires dans le chemin d'accès (voir répertoire). UNIX utilise, au lieu de l'antislash, la barre oblique /, ou "slash".
Par exemple, le sous-répertoire "system" du répertoire
"Windows" sera indiqué par : "C:\windows\system" sous MS-DOS.
Voir programme antivirus.
Les 17 niveaux (voir niveau)
du jeu de rôles Anvil of Dawn comportent
plusieurs donjons. Le joueur peut choisir parmi
cinq personnages. En vision 3D, il doit alors faire remplir de nombreuses
missions (voir mission) à son personnage
pour mettre fin aux agissements d'un maître de guerre.
Service en ligne américain, qui permet un accès facile à l'Internet, en Europe également.
AOL, contrairement à CompuServe, ne cible pas les professionnels, mais des personnes qui utilisent l'ordinateur seulement comme un instrument de travail, et veulent employer un moyen de communication mondial rapide.
Voir America online.
Le simulateur de vol (jeu) Apache Longbow place le joueur dans le cockpit d'un hélicoptère. Même s'il est possible de régler les niveaux de difficulté et de simplifier les commandes complexes, Apache Longbow est une véritable simulation, contrairement à Comanche qui est davantage fondé sur l'action.
Au cours de ses multiples missions (voir mission),
le pilote doit par exemple escorter un avion, libérer des otages
ou bombarder des positions ennemies.
L'aperçu avant impression est une fonction proposée
par de nombreux logiciels, en particulier par les logiciels de traitement
de texte. Cette fonction permet de visualiser l'ensemble du texte à
l'écran tel qu'il sortira à l'impression pour en vérifier
la mise en page.
(angl. "Application Programming Interface" : "interface
de programmation d'applications") L'API est une interface
normalisée par l'intermédiaire de laquelle le programmeur
a directement accès aux fonctions d'un système d'exploitation
ou d'une interface utilisateur
(par exemple Microsoft Windows).
(angl. : "A Programming Language" : "un langage de programmation")
écrit en 1956 par Kenneth Iverson et normalisé par l'ISO,
ce langage est surtout utilisé par les mathématiciens. Il
possède une syntaxe algorithmique très concise et des variables
propres. Voir algorithme.
(Advanced Power Management, "Économiseur étendu
de l'énergie"). Standard qui règle la consommation ou l'économie
d'énergie d'un PC ou d'un portable (voir. économiseur
d'énergie). Si un PC est doté d'un BIOS
et d'un système d'exploitation
(par exemple Windows 95) compatible APM,
certains de ses composants (processeur, disque dur, écran) sont
mis, après un laps de temps paramétrable, en mode économique
avec une réduction de la puissance (en
attente). Dans ce mode, l'activité des périphériques
(souris, clavier)
et des interfaces est surveillée ; le PC est automatiquement réactivé
sur un signal correspondant. Un économiseur d'énergie sophistiqué
s'avère particulièrement nécessaire dans le cas des
agendas (voir agenda), en utilisation mobile,
pour ménager la capacité limitée de la batterie.
http:\\www.apogee1.com
éditeur américain de logiciels de jeux, leader depuis 1987 des jeux en shareware (voir logiciel partagé), cette société édite aussi bien des jeux développés en interne qu'en externe. 3D Realms Entertainment est un département d'Apogee, consacré au développement de jeux d'action en 3D temps réel.
Apogee Software a inventé une nouvelle stratégie marketing, qu'elle a employée pour la première fois en 1987 pour la sortie du jeu "Kingdom of Kroz", et qui consiste à distribuer gratuitement une version shareware (une partie du jeu) avant la sortie de la version complète, afin d'en faire la promotion. La version complète du jeu est ensuite disponible directement auprès de l'éditeur (un bon de commande étant inclus dans les versions shareware) ou dans les magasins.
Apogee a également popularisé le concept des modes Cheat (codes pour tricher, vies illimitées, invincibilité, etc. ; voir mode Cheat).
Ses jeux les plus célèbres sont : Kingdom of Kroz, Commander Keen, Duke Nukem, Wolfenstein 3D, Rise of the Triad, Terminal Velocity (premier jeu réalisé par 3D Realms), Duke Nukem 3D, etc.
Voir Apogee .
Les appareils de photo
numérique n'utilisent plus de pellicule. Il prennent des photographies
haute définition que l'on peut ensuite regarder sur un téléviseur,
un ordinateur, sur un lecteur CD photo ou,
bien sûr, sur papier. Les appareils photo numériques comprennent
un dispositif de numérisation de l'image (objectif et capteur numérique,
ou CCD) et un procédé de stockage
de l'image (une mémoire électronique
alimentée par une source d'énergie électrique).
(angl. "call") Dans un langage de haut niveau, le parcours linéaire des instructions peut être interrompu par l'appel d'une fonction ou d'une procédure (c'est un code qui peut être utilisé de la même façon à plusieurs endroits du programme). Au "retour" (fin de l'exécution du code appelé), le parcours linéaire est repris. Cette technique est préférable au saut (utilisé en assembleur), qui ne garantit pas le retour à l'endroit initial.
Le terme "appel" conserve son sens dans le cas de la communication entre deux tâches (appelante/appelée) du temps réel.
La programmation orientée objet généralise l'appel sous la forme du "message" : l'appel s'adresse à une famille de codes, apparentés mais distincts. Le bon code est choisi en fonction de la nature exacte du message.
Dans le cas où tout un ensemble de codes externes
est nécessaire (chaque sous-ensemble pourra être appelé
individuellement), la relation entre le code client et le code de service
est désignée par le terme "utilisation".
Apple Performa
La compagnie américaine Apple fut l'une des pionnières dans l'histoire du micro-ordinateur.
En 1976, Steve Jobs et Steve Wozniak mettent au point l'Apple I, dans un garage de Californie, un an après la création de Microsoft. L'année suivante est fondée la société Apple Computer Inc. Apple II sort la même année. L'Apple III sort en 1980, l'Apple Lisa en 1983.
300 000 Apple II ont déjà été vendus lorsque IBM lance son premier PC, équipé du logiciel de Microsoft MS-DOS, en 1981. En 1983, John Sculley est nommé président d'Apple. C'est l'année où est présenté le Lisa, le premier PC doté d'une interface graphique utilisateur (voir GUI) et d'une souris : ce sera un échec. Le Macintosh est lancé en 1984. En 1986, Steve Jobs quitte la société qu'il avait co-fondée. En 1990, Michael Spindler est nommé président et la société connaît de retentissantes pertes en 1995.
En 1991, Apple lance le Système 7 , les Mac Centris et Quadra et les portables de la série PowerBook. L'année suivante, Apple devient numéro un des portables. Depuis 1994, Apple inclut dans ses Mac des processeurs de la série PowerPC (à l'origine, les Mac utilisaient des processeurs Motorola 68000). Voir aussi AppleTalk.
En 1996, Gilbert Amelio remplace Michael Spindler à la tête d'Apple. La plate-forme Pippin est présentée, une console multimédia reliée à la télévision et équipée d'un modem pour se connecter à l'Internet (voir Network Computer).
Gilbert Amelio remplace Michael Spindler en 1996 ; il acquiert NeXT (voir ordinateur NeXT) et fait revenir Steve Jobs au conseil d'administration. Une baisse du chiffre d'affaires de 10%, une réduction des effectifs et des pertes en millions de $ sont à craindre en 1997.
Pourtant Apple a dominé l'industrie des ordinateurs personnels de 1977 à 1983. Aux états-Unis, la part de marché d'Apple est presque de 40 % ; en France, elle ne représente que 15 % du marché des micro-ordinateurs et semble en régression.
Cette désaffection du grand public et des PME-PMI (non impliquées dans la production graphique) a diverses origines :
le prix du matériel et des logiciels,
le manque de politique d'ouverture d'Apple vers les développeurs de shareware,
la concurrence acharnée d'Intel
face au PowerPC de Motorola.
Utilitaire fourni avec le Macintosh
permettant la compatibilité des disquettes PC
sous MacOS.
L'ordinateur Apple IIA
Ordinateur élaboré par Apple, commercialisé en 1980.
Ses caractéristiques techniques étaient les suivantes : un processeur MOS Tech 6502, 64 Ko de mémoire vive (RAM) extensible à 128, un connecteur d'extensions interne pour cartes additives (graphiques, disquettes...), et Microsoft Basic en mémoire morte.
Le successeur de l'Apple II, commercialisé en 1978,
fut plus puissant et plus rapide : une carte d'extension signée
Microsoft et bâtie autour d'un processeur
Z80 lui permettait de fonctionner avec CP/M et d'exploiter ainsi des disquettes
de 140 Ko.
Un ordinateur de type Apple III
L'Apple III fut mis en vente par la société Apple en 1980. Il n'était pas destiné à concurrencer l'Apple IIA, mais visait plutôt un public professionnel (d'où son prix : 28 000 francs).
Ses caractéristiques techniques étaient les suivantes : un ordinateur monobloc avec écran, clavier et lecteur de disquettes intégrés, un processeur MOS Tech 6502, comprenant 128 KO de mémoire vive (RAM) et extensible à 256, enfin un lecteur de disquettes 140 Ko. Un disque dur de 5 Mo était proposé en option.
Destiné à couvrir des besoins plus professionnels
que l'Apple II, l'Apple III fut un fiasco commercial pour deux raisons
: la première série était défectueuse et le
prix de vente n'était pas totalement justifié par rapport
à l'Apple II, avec lequel il était compatible.
Langage d'automatisation intégré au MacOS.
Il permet de programmer le Finder.
Une applet est un petit programme Java,
intégré tel quel dans une page HTML,
et qui accomplit une fonction. Ce programme tourne quelle que soit la plate-forme
qui le prend en charge.
Protocole de communication développé à l'origine pour les ordinateurs Apple, mais utilisé actuellement par d'autres constructeurs pour la mise en réseau de systèmes (voir Ethernet.)
Dans l'univers Apple, il est possible depuis longtemps de connecter à un ordinateur isolé des périphériques, une imprimante laser par exemple, par l'intermédiaire d'une interface réseau. L'imprimante, en tant que noeud de réseau, peut imprimer des comptes rendus de défaillances que le système d'exploitation présente sous la forme de comptes rendus logiques.
Apple Talk est particulièrement utilisé
dans le soho.
Le terme "application" est généralement employé pour désigner un logiciel d'application utilisé avec une interface graphique telle que Windows ou l'environnement de travail Shell de OS/2. On parle par exemple d'une "application Windows".
Voir par exemple applications
de PAO.
Outre les logiciels de PAO qui aident à produire des bulletins, des journaux ou des livres, il existe un vaste spectre d'applications de PAO, relatives à des domaines très spécifiques.
L'impression de cartes de visite en est un exemple typique : elle ne nécessite pratiquement pas que l'utilisateur en connaisse la structure, et propose en même temps une large gamme de modèles finis de cartes de visite attractives et individualisées.
De telles applications de PAO sont proposées dans
les domaines les plus divers, bien que très peu d'utilisateurs diposent
de la compétence nécessaire pour bien réaliser des
produits typographiques (voir macrotypographie,
microtypographie).
Logiciel de
base de données relationnelle édité par Lotus.
Il fait partie de la suite bureautique Smartsuite.
Renvoie aussi bien au procédé d'approximation
qu'au résultat de ce procédé. On a recours à
une approximation en informatique lorsqu'un algorithme
utilisé pour un calcul offre une précision limitée,
mais qui est compensée par une grande rapidité de traitement
ou un autre avantage (par exemple, l'économie de mémoire).
On appelle "arborescence", ou simplement "arbre", la structure
logique d'une quantité d'informations organisées de manière
hiérarchique et dont la représentation graphique ressemble
à un arbre avec ses branches. L'élément le plus élevé
dans la hiérarchie s'appelle la "racine"
("root"), les plus bas sont les "feuilles" (fichier),
ceux qui sont situés entre les deux sont les "noeuds" (répertoire,
noeud). On peut citer, à titre d'exemple,
les répertoires dans un support
de données : ils forment l'arbre
des répertoires. Dans le cas particulier d'un arbre binaire,
chaque élément est suivi par un maximum de deux autres.
Représentation d'un processus décisionnel
complexe par une structure arborescente (voir arborescence).
Les fichiers d'un support
de données sont généralement classés dans
le répertoire principal et dans des sous-répertoires. Ce
classement forme une structure arborescente (voir arborescence)
dans laquelle les fichiers (voir fichier) sont
autant de feuilles de l'arbre. On parle alors d'arbre de répertoires.
Logiciel de compression
de données édité par System Enhancement Associations
Inc.
"ARC" est l'abréviation d'"advanced RISC
Computing".
L'action de ce jeu se déroule sous l'eau, dans un futur éloigné où l'humanité s'est réfugiée au fond de la mer. Le héros est un mercenaire qui parcourt les villes aquatiques.
Le jeu possède un moteur graphique 3D
en mode SVGA 65 000 couleurs qui offre une qualité
d'image exceptionnelle et une simulation complète (allant même
jusqu'à recréer les courants sous-marins).
C'est un service de recherche célèbre sur
l'Internet. Il examine régulièrement
un grand nombre de serveurs FTP (voir FTP) et stocke
les informations qu'il y trouve dans une base de données. à
l'aide d'un logiciel approprié, l'utilisateur peut consulter cette
base de données chez lui : il va de mot-clé en mot-clé
ou de thème en thème pour trouver, dans la vaste gamme d'informations
disponibles au public, les données, programmes, etc. qui l'intéressent.
L'Internet comprend plusieurs serveurs qui offrent les services d'Archie.
Pour le matériel informatique comme pour le logiciel, on appelle "architecture" la structure ou le concept fondamental. L'architecture caractéristique des ordinateurs AT est celle du bus d'extension ISA (abréviation de "Industry Standard Architecture").
Voir :
Processeur Pentium Pro
Concept de base de l'UCT. L'architecture définit
ainsi les caractéristiques et les fonctions de l'UCT comme la longueur
des mots, le nombre des registres internes (voir registre),
le jeu d'instructions, le schéma d'adresse, etc. Elle détermine
donc de manière essentielle la structure matérielle et logicielle
du calculateur dans son ensemble.
On dit qu'un système informatique a une "architecture
ouverte" si cette architecture permet
d'ajouter facilement des composants supplémentaires que tous les
fabricants peuvent réaliser. Le terme peut s'appliquer aussi bien
au matériel informatique qu'au logiciel. Un des secrets de la réussite
du PC est son architecture ouverte : tous les fabricants
ont pu construire et distribuer des cartes d'extension et des logiciels
d'application qui leur convenaient.
Fichier contenant des données
protégées et parfois compressées (voir compression
de données).
("Attached Resource Computer Network") Réseau local (voir LAN) fonctionnant selon le même modèle que l'Internet ou Token Ring. Il a été développé en 1977 par Datapoint pour de nombreuses entreprises sous licence.
ARCnet se fonde sur une technologie réseau simple et bon marché et est destiné aux réseaux relativement peu étendus. Une commission internationale de constructeurs, l'"ATA" ("ARCnet Trade Association"), est chargée d'en définir les spécificités et d'assurer sa compatibilité avec différents produits.
Contrairement à Ethernet et à Token Ring, ARCnet n'a pas réussi à s'imposer comme norme internationale, mais il a obtenu en 1991 une certification auprès de l'ANSI, organisme de normalisation américain.
Les réseaux ARCnet sont généralement
formés à partir d'un câble
coaxial avec une architecture en étoile ou en anneau (voir réseau)
et fonctionnent avec un jeton. Les architectures à jeton composent
un anneau logique dans lequel un jeton est passé de noeud
en noeud pour éviter les collisions.
Pour se servir d'un "ordinateur à crayon" (angl.
"pen computer"), on n'utilise ni un clavier ni une souris,
mais un "crayon" qui effleure un écran
de format A4 servant en même temps d'écran de numérisation
et d'affichage. On peut écrire de brèves informations ou
inscrire ce que l'on appelle des "gestes" (angl. "gestures"). L'ordinateur
Newton de Apple utilise le procédé
de l'ardoise électronique.
Voir domaine
(base de données).
Voir Daggerfall.
Tous les moyens de paiement électronique de biens et services sur l'Internet. On parle aussi de "monnaie électronique" ou d'"E-cash". La carte bancaire peut-être considérée comme un moyen de faire circuler cette monnaie électronique.
Sur l'Internet, le fournisseur d'accès peut ouvrir
un compte en monnaie électronique qui permet à l'utilisateur
de régler ses achats dans des boutiques virtuelles.
Logiciel de compression
de données développé par Robert Jung.
(ou "arobase") Correspond au signe @ dans une adresse
e-mail.
En 1968, le groupe de recherche ARPA ("Advanced Research Projects Agency"), qui faisait partie du ministère américain de la Défense, publia un appel d'offres : il s'agissait de relier des ordinateurs situés à quatre endroits différents, de telle manière que le réseau pût continuer à fonctionner même en cas d'attaque nucléaire.
Les modèles précédents, développés pour la connexion des ordinateurs, avaient toujours exigé que ceux-ci restent tous en liaison permanente.
Parmi les concepteurs du nouveau modèle, retenons Vinton G. Cerf, figure aujourd'hui illustre du cyberespace.
Le nouveau système de transmission par paquet, mis au point pour le réseau "ARPAnet", présentait un grand avantage : les différents paquets de données du message pouvaient être expédiés séparément, emprunter des chemins différents, et être réassemblés ensuite.
Dans les années 70, l'ARPA a accordé son
soutien au développement de protocoles de transmission destinés
à relier différents réseaux. C'est ainsi que sont
nés les protocoles de la famille TCP/IP.
En ce sens, l'ARPAnet a été le point de départ du
réseau Internet, qui englobe le monde
entier, et la base de la technologie actuelle des réseaux.
(Automatic Repeat of Request, "demande de répétition
automatique"). Désigne une sorte de contrôle d'erreurs lors
de la transmission de données : si une erreur survient pendant le
transfert, le programme du poste destinataire demande une nouvelle fois
les données endommagées au programme de la source de données
; celles-ci sont ensuite réexpédiées automatiquement.
Effondrement total du système informatique. S'il
y a "arrêt fatal" ou blocage du système, l'ensemble des données
contenues en mémoire vive et n'ayant
pas été enregistrées sur un support de mémoire
morte sont irrémédiablement perdues.
1. Désigne les couleurs du fond de l'écran (angl. "background").
2. Exécution d'un programme en mode multitâche.
Le terme "art et ordinateur" est devenu générique après été employé pour la première fois par le français Abraham Moles dans son ouvrage Art et ordinateur (1971). Il recouvre toutes les formes créatives et artistiques faisant appel à l'ordinateur. Une connotation péjorative est, semble-t-il, attachée à l'expression américaine "Computer Art", pour la simple raison que le contenu bouscule le conformisme et l'establishment artistique du XXe siècle. On parle aujourd'hui plus volontiers d'infographie. La découverte de la fractale par Mandelbrot a contribué à l'enrichissement de l'art infographique. Aujourd'hui on parle même d'"art multimédia".
Parmi les grands artistes d'aujourd'hui, notons :
Aux états-Unis : April Greiman, John Landsdown, Georges Mallen, Alan Sutcliffe, Edward Ihnatowiicz, John Lifton, le MIT (MediaLab), Dan Foresta, etc.
En France et en Europe : René Berger , Edmond Couchot, Michel Bouvet, Michel Quarez, Alain Le Quernec, Philippe Apeloig, Maurice Benayoun, etc.
Et aussi Giorgo Moscati, Harold Cohen, Mario Borillo,
W. Cordeiro, etc.
Voir intelligence
artificielle.
Asap WebShow se présente sous la forme d'un CD-ROM
et est destiné à illustrer et organiser des pages sur l'Internet.
On peut insérer les créations dans une page HTML.
L'ascenseur est un élément de la fenêtre
(espace de travail) qui permet de faire défiler horizontalement
ou verticalement son contenu. Dans un traitement
de texte par exemple, l'ascenseur, qui se manipule à l'aide
de la souris, permet de descendre ou de monter
dans le texte.
(angl. "American Standard Code for Information Interchange" : "code standard américain d'échange d'informations") Code à 7 bits qui attribue un chiffre représenté par 7 bits (de 0 à 127, soit 128 possibilités) aux majuscules et aux minuscules, ainsi qu'aux chiffres et à quelques caractères spéciaux. Les 32 premiers codes sont réservés aux caractères de commande de saut de lignes, etc. Le code ASCII était initialement utilisé surtout par les micro-ordinateurs, mais est maintenant universellement pris en charge, même sur les grosses machines.
IBM a étendu le code ASCII
pour l'utiliser sur PC avec un codage sur 8 bits
(de 0 à 255, soit 256 possibilités) permettant de représenter
davantage de caractères spéciaux ainsi que des caractères
semi-graphiques. Il existe d'autres extensions (toujours sur 8 bits). Un
problème important, qui reste à résoudre, est l'existence
d'alphabets nationaux comprenant des caractères tout à fait
spécifiques (comme "i" sans point en turc), caractérisés
notamment par des signes diacritiques (multiples en vietnamien). Plus ardu
encore est le cas des écritures nationales qui n'utilisent pas un
alphabet d'inspiration latine, voire n'utilisent pas d'alphabet du tout
(chinois), sans parler des normes orthographiques qui varient sensiblement,
même entre langues proches. Il est curieux de constater que le traitement
informatique, après avoir fait barrière aux variations nationales
(les accents étaient ignorés en français !), s'ouvre
maintenant, grâce à l'explosion de la micro-informatique,
à pratiquement toutes les possibilités. Néanmoins,
l'inertie due à la difficulté de la maintenance logicielle
des produits courants fait que les majuscules accentuées du français
ne sont toujours pas traitées de la même façon dans
le monde "PC" et le monde "Macintosh", etc.
Société qui a conçu et commercialisé
le produit dBase auquel son histoire est étroitement
liée, avant d'être rachetée par Borland
en 1993.
Abréviation de Application Specific Integrated
Circuit. Terme générique désignant une puce
spécialement développée pour répondre à
des fonctions logiques spécifiques.
Voir Asimov's
Ultimate Robot.
CD-ROM qui a pour thème principal la robotique. Centré autour de l'écrivain et scientifique Isaac Asimov, il comprend au total 35 nouvelles et 16 essais sur la robotique. Il présente les fonctionnalités des robots et comprend des extraits de films mettant en scène des robots (par exemple, la "Guerre des étoiles" et "MondWest"). Voir science-fiction.
Asimov's Ultimate Robot est complété par
une multitude d'images, de vidéos, de sons et d'entretiens télévisés
avec l'auteur.
(abréviation de "Association of Shareware Professionals" : "Association des professionels du shareware").
Créée en Avril 1987, cette association internationnale
regroupe les auteurs et distributeurs du monde shareware. Elle promulgue
également une charte du logiciel
partagé et procure à ses membres une aide logistique
et juridique pour la distribution et la promotions des logiciels.
Abréviation de Automatic Send/Receive, "émission/réception
automatique". Désigne un mode de fonctionnement de modem qui permet
d'envoyer et de recevoir automatiquement des données lors d'un échange
avec un poste correspondant.
Consiste à traduire des routines et programmes,
écrits en code assembleur mnémonique,
en langage machine exécutable
(voir assembleur).
Programme qui permet de transcrire les programmes d'application (voir code assembleur) en langage machine. Cependant les assembleurs apportent quelque aide à la programmation et permettent par exemple les commentaires. Au lieu des suites de 0 et de 1 du langage machine, les instructions peuvent être entrées par des suites de caractères, faciles à comprendre et à mémoriser.
Voir assembleur croisé.
Environnement de développement qui peut traiter des programmes en assembleur et des programmes en language machine d'un ordinateur non compatible.
Un assembleur croisé est utilisé, par exemple,
pour développer sur un PC des programmes
destinés à un autre type d'ordinateur (voir assembleur).
Terme logique qui désigne le fait qu'une proposition
est présentée comme vraie. Les assertions jouent un rôle
important dans la vérification
de programme. Certains langages ou méthodes de programmation
utilisent des "pré-assertions" et des "post-assertions" : ce sont
des ensembles de conditions qui doivent être vraies avant/après
l'appel du code d'une procédure ou d'une
fonction.
La miniaturisation en électronique et le développement des réseaux d'informations (voir réseau informatique) rendent possibles des solutions très efficaces pour aider le conducteur :
niveau "statique" comprenant des plans à un degré de détail variable ;
niveau "dynamique" représentant en temps réel les encombrements, les solutions de remplacement, etc.
L'assistance à la conduite automobile connaît
un développement rapide au Japon. C'est en partie dû au fait
curieux que les rues japonaises n'ont en général pas de nom
: la désignation des adresses n'est pas linéaire mais concentrique.
Ensemble de programmes développés par Microsoft
et qui pemettent de transformer les documents créés à
partir d'un des logiciels de la gamme Microsoft
Office 95 en fichiers HTML, utilisables sur
l'Internet.
Voir OLE.
Constructeur informatique, filiale du coréen Samsung,
dont la stratégie commerciale pour les micro-ordinateurs (voir micro-ordinateur)
grand public repose sur un rapport qualité/prix compétitif
: le prix de vente moyen des machines est inférieur à celui
des grandes marques. Cette société a été fondée
en 1980 par Albert Wong, Safi Qureshey et Tom Yuen. Ellle fabriqua d'abord
des cartes améliorant les capacités des PC d'IBM,
avant de se mettre à construire, à partir de 1986, des ordinateurs
personnels. Son P.-D.G. est Young-Soo Kim. Le siège de cette société
est situé en Californie, à Irvine.
Caractère spécial (*) utilisé en
programmation comme opérateur de multiplication ou comme caractère
générique dans les lignes de commande d'un système
d'exploitation tel que DOS.
Société fondée et dirigée
depuis 1985 par Paul Allen.
Voir :
Initialement, les modems (voir modem)
de la compagnie Hayes étaient contrôlés au moyen de
commandes commençant par "AT" (abréviation d'"Attention !").
Appelées dès lors les "commandes AT", elles furent reprises
par presque toutes les sociétés et devinrent la norme de
cette industrie.
Toute une génération d'ordinateurs personnels
utilise le sigle AT (pour "Advanced Technology" ou "technologie de pointe"),
depuis qu'IBM a lancé les IBM-PC/AT.
La génération précédente était désignée
par le sigle XT (pour "Extended Technology" ou "technologie
améliorée") qu'elle devait aux IBM-PC/XT. Les ordinateurs
de la gamme AT sont construits autour d'un processeur Intel
80286 ou suivant (80386, 80486, Pentium...) et d'un bus d'extension ISA
de 16 bits (voir ISA). C'est pourquoi ce bus s'appelle
aussi Bus AT.
Le groupe AT and T (abréviation de "American Telephone and Telegraph Company") est une grande compagnie américaine de télécommunication, née d'ITT et qui s'est lancée dans la production de PC. Ses PC sont des systèmes complets, comprenant matériels et logiciels.
Les célèbres Bell
Laboratories, qui sont à l'origine d'un grand nombre d'inventions
informatiques, sont une filiale d'AT and T.
(né en 1903) Ingénieur américain qui, entre 1937 et 1942, conçut avec l'étudiant Clifford Berry un ordinateur : le Atanasoff-Berry Computer (ABC). Il comprenait plusieurs centaines de tubes à vide (voir tube à vide).
Ce proto-ordinateur qui, semble-t-il, inspira fortement John
Mauchly, ne fut jamais terminé. Destiné
à la résolution des équations linéaires, il fait
écho aux travaux de Charles Babbage
qui, en leur temps, cherchaient à résoudre des équations
différentielles et le calcul analytique.
ATAPI (sigle d'"ATtAchment Packet Interface") est le nom courant
du principe de base d'un disque dur à bus AT. La notion d'ATAPI est pourtant
utilisée le plus souvent pour désigner la connexion des lecteurs
CD-ROM à un contrôleur IDE
(voir lecteur CD-ROM).
Le 520STF d'Atari
Le constructeur américain Atari n'a pas eu beaucoup de succès en Europe dans le domaine des ordinateurs. Il voulait faire concurrence au Commodore C64 avec son Atari 800 XL. Le succès d'Atari sur le marché américain est principalement dû à ses jeux.
Pourtant, son histoire commence bien : créée en 1972 par le génial mais controversé Nolan Bushnell, la société domine l'industrie du jeu d'arcade pendant près de dix ans. Son rachat par la Warner puis par Jack Tramiel freinèrent considérablement son expansion promise pourtant à un brillant avenir.
En France, la série des PC "ST" connaît un certain succès auprès des jeunes grâce à sa facilité d'utilisation et à ses nombreux jeux, ainsi qu'à la possibilité de la raccorder directement à un téléviseur (voir Atari ST/TT).
Aux états-Unis, la plupart des pionniers de l'industrie informatique sont passés par ce vivier : Steve Jobs , Alan Kay, WarrenRobinett, ou Skip Paul aujourd'hui P.-D.G. de Sega et bien d'autres !
Voir aussi :
Le modèle 520STF d'Atari
Le modèle 520STF d'Atari fut commercialisé en 1985 au prix de 10 000 francs.
Les caractéristiques techniques de l'ordinateur étaient les suivantes : un processeur 68000, une mémoire de 512Ko, un lecteur de disquettes, et un affichage graphique sur moniteur (couleur en option).
Le 520STF était un ordinateur très complet,
qui disposait d'un système
d'exploitation propriétaire et d'une des premières interfaces
graphiques GEM, précurseur de Windows.
Le 520 STF d'Atari
La ligne "Atari ST" a été présentée
en 1985 par Atari et les "Atari TT" sont arrivés
sur le marché en 1990. Ces deux types d'ordinateurs utilisaient
un processeur Motorola 68000. Leur système d'exploitation s'appelait
TOS. Comme ils étaient équipés
d'une interface MIDI, ils étaient particulièrement
recherchés par les musiciens professionnels.
Ce CD-ROM édité
par Disney Interactive vous permet de vous replonger dans l'univers du
dessin animé Aladin. Ce jeu éducatif (voir logiciel
éducatif) fait uniquement appel à vos bons sentiments.
Les décors ont été particulièrement soignés
et sont à l'image du film de Walt Disney dont ils s'inspirent.
Ce CD-ROM contient 340 cartes
géopolitiques, 48 cartes en relief, 35 cartes thématiques,
plus de 1500 photos et plus de 16 000 articles. Les cartes peuvent être
consultées à l'aide d'un zoom. Un
index thématique et une liste alphabétique permettent à
l'utilisateur de trouver rapidement la carte qu'il cherche. Des articles
le renseignent sur l'histoire et la population d'un pays, la faune et la
flore d'une région du monde, etc. On peut enregistrer ses découvertes
dans un carnet de route et les imprimer. Enfin, un jeu permet de tester
ses connaissances sur les capitales, les drapeaux, la superficie ou la
population des pays.
1. Technique de transmission ("Asynchronous Transfer Mode", "Technique Temporelle Asynchrone" ou "TTA") encore au stade du développement mais qui constituera la base du futur RNIS large bande et des autoroutes de l'information.
2. Abréviation de Adobe
Type Manager.
(Adaptive Transforming Acoustic Coding). Désigne le procédé de compression audio-numérique développé par Sony au début des années 90, et utilisé pour réduire la quantité de données, c'est-à-dire augmenter la capacité de stockage des Mini-Discs (MD). ATRAC est en concurrence avec MPEG Audio, utilisé notamment par Philips pour la DCC (Digital Compact Cassette, "cassette compacte numérique") ou la radio à péage DMX. Sa qualité est toutefois supérieure grâce à des améliorations permanentes. Il atteint une compression des données par cinq. Ce procédé utilise une technique consistant à éliminer certaines données lors de l'enregistrement, par exemple des sons très faibles voisinant avec d'autres très forts ou des bruits se situant en dessous du seuil d'audibilité, (on parle ici d'effets psycho-acoustiques). ATRAC utilise une fréquence d'échantillonnage de 44,1 kHz ; la largeur des données utilisées pour la numérisation a été augmentée, passant des 18 bits initiaux à 20, puis à 24 bits.
La version ATRAC 1.0 introduite en 1992 (dont la qualité
était encore très médiocre) fut rapidement de ATRAC
2.0, 3.0, 3.5 et 4.0. La version 3.0 fut la première à atteindre
un véritable niveau Hi-Fi. En 1996, les premiers appareils MD d'autres
fabricants (Kenwood par exemple) ayant acquis la licence de Sony sont apparus.
Voir ATAPI.
Action de lancer un virus contre
un matériel informatique. Elles touchent de plus en plus de personnes
en France (voir SEFTI).
Unité de disque dur intérieur.
On appelle "atterrissage" le passage de la tête
de lecture/écriture d'un disque dur en position de repos, une
fois l'alimentation électrique coupée (voir aussi zone
d'atterrissage, effondrement de
tête, parcage, autoparcage).
Les "attributs de fichiers" peuvent désigner un
grand nombre de caractéristiques des fichiers, par exemple sous
MS-DOS : attributs fichier-archive (extension
.bak), fichier-système (extension
.sys), protégé en écriture,
caché, heure, dernier accès. D'autres systèmes d'exploitation
utilisent davantage d'attributs encore: types de fichiers, procédures
d'accès, utilisateurs ayant créé ou ouvert des fichiers,
mot de passe, date heure du dernier accès, etc.
Nouvelle norme de fabrication des cartes mères. (voir carte mère)
ATX propose un standard de positionnement des principaux
composants de la carte. Tous les emplacements d'extensions (slot)
accueillent des cartes d'extension (carte
enfichable) au format long. Les ports clavier, souris, parallèles
et série, sonores ou USB sont intégrés
directement sur le circuit imprimé. Afin de réduire la longueur
des nappes, les connecteurs IDE et floppy sont
logés le plus près possible des logements de lecteurs.
Logiciel éducatif
et culturel. à partir d'une toile de Seurat, on découvre
le monde artistique du cirque et l'univers de la peinture. Une grande originalité,
un graphisme élégant et un commentaire intelligent pour ce
CD-ROM qui propose une balade dans l'histoire
du cirque.
L'audiovision désigne la combinaison de sons et
d'images. Dans un ordinateur, cette combinaison est assurée par
l'utilisation d'une carte son et d'un moniteur
Association des Utilisateurs d'Oracle.
Voir mode réponse.
Cette expression signifie que l'utilisateur peut sélectionner
un numéro de téléphone qu'un programme d'application
appellera automatiquement chaque fois que le programme est lancé
ou que l'utilisateur le désire. Voir modem.
Logiciel de CAO conçu par Autodesk pour la conception de dessins techniques dans de nombreux domaines d'application.
Voir aussi AutoCAD LT pour Windows
95.
Logiciel de CAO développé par Autodesk pour Windows 95. Cette version fonctionne toutefois aussi sous Windows NT. Le logiciel peut envoyer et recevoir des dessins par e-mail.
Voir AutoCAD.
Cette société, créée en 1982 et spécialisée dans le design assisté par ordinateur et le traitement d'images, est particulièrement dynamique, son chiffre d'affaires s'élevant en 1995 à près de 460 millions de dollars. Autodesk est la quatrième entreprise mondiale de logiciels (voir logiciel).
Le logiciel 3D Studio
Max 1.1 est l'une de ses réalisations.
Fichier batch que le système d'exploitation MS-DOS exécute lors du démarrage d'un PC. Entre autres tâches, il définit les variables d'environnement et lance les programmes TSR (voir programme TSR, virus).
Il contient, de même que le Config.Sys,
des informations sur l'installation du matériel et du système
de l'ordinateur. En outre, on y définit des informations spécifiques
à l'utilisateur, telles que la couleur de l'écran, l'aspect
de l'invite et l'adaptation d'un clavier spécifique au pays d'utilisation.
De nombreux logiciels de traitement
de texte proposent des aides à la formation. La formation peut
être automatique (sans intervention de l'utilisateur) ou semi-automatique
(l'utilisateur choisit les domaines qu'il souhaite aborder).
Voir automapping.
La fonction automapping ou automap (mappage automatique) permet de représenter sur une carte l'environnement du jeu afin de faciliter l'orientation du joueur.
Pour manipuler plus facilement un automap, il est généralement possible d'agrandir ou de retourner la carte et d'y porter des inscriptions.
La fonction automapping est disponible dans de nombreux
jeux d'action (voir jeu d'action), tels
que Descent, Doom,
System Shock et Magic
Carpet, ainsi que dans des jeux de rôles (voir jeu
de rôles), tels qu'Ultima et Ultima
Underworld.
Automate (1560)
Mécanisme d'apparence humaine ou non, animé par des rouages entraînés par un système de ressorts ou de roulements.
Les premiers automates datent de la plus haute Antiquité. Apollonios de Rhodes décrit, au IIIe siècle avant notre ère, une création du sculpteur Dédale : Talôs, "robot" d'airain, gardien du palais du roi Minos et doué de vie. En égypte, certaines statues étaient animées pour impressionner les fidèles.
Au XVe siècle, le développement des techniques permet de créer des objets animés par des engrenages et des liquides.
Le chirurgien Ampère élabore dès le XVIe siècle une main articulée pour servir de prothèse aux mutilés. Augustin Ramelli utilisa la force de l'eau des fontaines pour activer ses automates.
Les XVIIe et le XVIIIe siècles
seront l'âge d'or des automates et de l'horlogerie (franc-comtoise
et neuchâteloise) avec le canard de Vaucanson et les merveilles de
la famille Jacquet-Droz. Leurs découvertes
conduisent, avec l'invention des machines à vapeur et la découverte
de l'électricité au XIXe, à la robotique
et à l'ordinateur.
L'automate cellulaire est une figure géométrique à développement variable. Les règles sont basées sur les principes de Von Neumann en matière d'algorithme.
C'est le mathématicien Stanislas Ulam qui, dans
les années 40, conçoit les premiers univers stylistiques
gouvernés par des règles simples (avancer, reculer, tourner...),
un peu comme un jeu de société. Les travaux d'Ulam ont fortement
inspiré ceux de Stephen Wolfram.
Des appareils sont dits "autonomes" ("stand alone") s'ils
peuvent fonctionner indépendamment d'une connexion à un réseau.
C'est le cas de l'ensemble des micro-ordinateurs. Le terme semblait dépassé
avec l'avènement des PC ; mais il reprend toute sa signification
en opposition aux NC (voir Network Computer),
qui ne peuvent fonctionner sans être connectés au réseau
Internet ou .à un intranet,
car ils n'ont pas de système
d'exploitation propre.
Une unité de disque dur
Sur un lecteur de disque dur, la fonction, aujourd'hui
courante, d'"autoparcage" place automatiquement les têtes de lecture
et d'écriture (voir tête
de lecture/écriture) en position de parcage, sur le bord des
disques de mémoire, lorsqu'on éteint l'ordinateur. Aucune
donnée n'étant stockée à cet endroit, un éventuel
contact des têtes avec la surface (l'effondrement
de tête) n'aurait pas de conséquences pour les données
stockées.
Logiciel développé par Microsoft
pour Windows 95. C'est la nouvelle version
de son atlas routier interactif. Il contient environ 2,4 millions de kilomètres
de routes et 800 illustrations.
Terme imagé, utilisé pour décrire la future interconnexion assistée par ordinateur des informations à travers le monde.
Voir information
highways, WWW, village
global, ATM.
Le système informatique et ses différents
composants procèdent à un autotest lors du démarrage,
pour vérifier qu'ils sont bien fonctionnels. On peut citer, à
titre d'exemple, le "Power-On Self Test" (voir POST)
que le BIOS d'un PC effectue
sur tous les composants essentiels de l'ordinateur avant de faire démarrer
le système d'exploitation.
Abréviation de "auxiliary" ("auxiliaire"). Terme
générique désignant des fonctions ou des éléments
d'aide. Il est par exemple utilisé dans le domaine de l'informatique
et de la Hi-Fi pour désigner des connecteurs supplémentaires
sur des amplificateurs ou des cartes d'extension. La prise AUX d'un ampli
peut par exemple servir à brancher un magnétoscope.
Aux sources de l'égypte ancienne
Ecran thématique
Aux sources de l'égypte ancienne est une encyclopédie
multimédia de la civilisation égyptienne.
Ce CD-ROM, très riche et très
complet, couvre sept domaines, comme la religion ou la vie intellectuelle.
Les articles comportent des liens hypertextes et des illustrations. Un
dictionnaire est consacré aux hiéroglyphes.
(angl. "backward"/"forward") On qualifie de la sorte le
sens d'une opération ou d'une stratégie.
En intelligence artificielle,
le chaînage arrière désigne le calcul d'un but à
partir d'un ensemble de résultats.
Désigne un être virtuel représentant
le joueur d'un jeu d'aventures ou d'un
jeu de rôles. Le joueur se crée
une identité virtuelle (voir réalité
virtuelle) ayant un nom, un âge et une fiche de caractéristiques.
(angl. "Audio Video Interleaved" : "audio vidéo
entrelacés") Extension des fichiers associant des données
vidéo et audio qui peuvent être lues avec MediaPlayer sous
Windows (généralités)
ou Video pour Windows. Voir vidéo
numérique.
Fabricant de cartes RNIS actives et passives. Leurs produits
les plus connus sont probablement la carte
RNIS passive Fritzcard et la carte
RNIS active AVM B1. Voir aussi carte RNIS.
Langage de programmation sous Unix
qui tire son nom de ses trois inventeurs : Alfred Aho, Peter Weinberger
et Brian Kernighan (1977). Il permet d'exécuter des tâches
courantes de transformation de données à l'aide de courtes
routines (32 caractères) ou de variables système (OFS, FNR,
etc.). La nouvelle version nawk (1985) est ouverte sur d'autres langages
et la commande oawk permet d'accéder à l'ancienne version.
Il correspond (sauf dans les histogrammes) à l'axe
Y d'un graphique à courbes,
par exemple.
L'une des plus importantes SSII
française. Ce nouveau groupe, formé en octobre 1996, pèse
6 milliards de FF et emploie 8 500 employés. Il décline son
activité autour de l'infogérance et de l'intégration
de système. Leader en France du service informatique et leader européen
du service au secteur bancaire, le P.-D.G. en est Bernard Bourigeaud.
Nom du clavier de langue française.
Ce nom est formé des six premières lettres de la première
rangée du clavier. Il s'oppose au QWERTY
(clavier) qu'utilisent de nombreux autres pays dont les pays de langue
anglaise.
Jeu d'aventures et jeu d'action en 3D SVGA temps réel. Le scénario, très riche, vous emmène à la recherche du Saint-Graal. Les graphismes sont étonnants et les bruitages très réalistes, mais ce jeu nécessite un Pentium assez puissant (8 Mo de Ram) et le mode graphique SVGA.