Abréviation de "entrée/sortie". Elle correspond à l'abréviation anglaise I/O ("input/output"). L'interface parallèle permettant de relier une imprimante à un PC est un exemple typique d'interface E/S.
Sigle désignant l'"Enseignement Assisté par Ordinateur". Méthode pédagogique qui consiste à mettre les possibilités graphiques et sonores de l'ordinateur au service de l'enseignement. Né aux états-Unis, cet enseignement, qui exploite l'aspect ludique de l'ordinateur, commence à se développer en France. Il connaît des résultats souvent extraordinaires auprès des enfants qui sont fascinés par l'écran et par cette approche nouvelle des connaissances. Utilisé ponctuellement jusqu'alors (colonies de vacances), l'EAO commence à être utilisé dans les écoles. Les programmes pédagogiques se multiplient dans tous les domaines, comme les langues, les mathématiques ou l'informatique. Ils permettent de rendre l'enseignement plus attractif (voir aussi multimédia) et par conséquent plus efficace.
Le jeu de plates-formes Earthworm Jim, destiné à l'origine aux consoles de jeu, est disponible depuis le début de1996 en version PC pour MS-DOS (Parties 1 + 2) et Windows 95.
Dans les deux parties, le joueur incarne un ver de terre en tenue de combat, qui doit affronter de nombreux adversaires répartis selon plusieurs niveaux (voir niveau).
(1854-1932) Il fonda la société Kodak. Suite à un voyage avorté à Saint-Domingue, pour lequel il avait préparé des émulsions et des plaques photographiques intransportables, encombrantes et chères, il se lance en 1880 dans la recherche de gélatines et fait protéger sa découverte. Puis, il invente le film photo à émulsion retardée (1885), et lance Kodak qui se charge de développer les prises de vue avec cette invention.
C'est cette invention qui permettra au cinéma (voir Edison) mais aussi au premier ordinateur d'apparaître (concept de bande déroulante : voir ENIAC).
En 1888, il invente l'appareil photo portable et le fameux slogan "You push the Button, We do the rest !" qui reste un modèle pour tous les prestataires de services d'aujourd'hui.
("European Backbone", "colonne vertébrale de l'Europe") Nom d'un réseau européen permettant aux réseaux de chercheurs du monde entier d'entrer en communication.
Les points individuels (voir pixel), qui constituent l'image, sont obtenus à travers un masque à trou ou à bande par le tube cathodique Trinitron. La qualité de la représentation dépend de la taille des points et de leur écartement. Les bons tubes cathodiques actuels proposent un "écart entre pixels" de 0,25 mm ; cependant, une telle valeur ne peut être atteinte que pour une taille de moniteur inférieure à 17 pouces. Les moniteurs plus grands présentent actuellement des écarts plus élevés.
Voir argent électronique.
Au sens strict, il y a échange de données entre des composants, des périphériques ou des systèmes.
Au sens large, l'échange de données est l'un des principaux processus de traitement électronique des données (voir traitement des données).
Comme un seul programme ne peut pas tout faire, les différentes tâches sont assumées par des logiciels spécialisés. Cependant, on a besoin de plus en plus, par exemple, de statistiques des ventes produites par un tableur dans un document édité par un traitement de texte ; les données doivent donc être échangées entre les deux programmes.
Pour l'"échange de données", on dispose d'une part des possibilités de conversion, d'autre part des fonctions dites OLE sous Windows. Tandis que, dans le cas de la conversion, les données sont transformées et ne sont plus disponibles pour un traitement par le programme d'origine, OLE offre la possibilité d'un traitement ultérieur par ce programme à n'importe quel moment.
Outre l'échange de données entre programmes, existe l'échange entre différents ordinateurs ou différents types d'ordinateurs. Pour l'échange de données entre ordinateurs compatibles, on peut utiliser des logiciels comme Laplink, qui permettent l'échange par câble. Pour la transmission de données entre différents types d'ordinateurs (par exemple Macintosh et PC), on installe des programmes qui formatent les disquettes ou convertissent les formats de fichier de manière adéquate.
En général, la forme, le procédé et le déroulement de l'échange sont sans importance pour l'échange de données ; en revanche, lorsque ces trois caractéristiques sont primordiales, on emploie alors les expressions transmission de données et exportation de données.
(en angl. "sampling") Méthode qui consiste à prélever des extraits (échantillons) au cours d'un processus continu.
Dans le domaine du traitement numérique, l'échantillonnage consiste à prélever et à numériser des signaux analogiques (numérisation d'images avec un scanner ou une caméra vidéo, de sons, de la parole, etc.). La qualité des informations échantillonnées est fonction de la fréquence d'échantillonnage et de la profondeur d'échantillonnage.
Un "échantillonneur" désigne généralement un appareil ou un composant qui recueille des signaux pour les convertir en données numériques pouvant être ensuite traitées par l'ordinateur. Cependant, la notion d'"échantillon" est surtout utilisée en relation avec la numérisation de signaux acoustiques.
On a longtemps rêvé d'une machine qui parvienne à maîtriser le plus noble des jeux de stratégie.
Ce rêve est maintenant devenu réalité, mais à deux niveaux très différents :
le jeu "mécanique" : l'ordinateur mémorise et effectue le calcul de toutes les combinaisons possibles aboutissant au gain ou à la perte d'une pièce de valeur définie. De ce point de vue, face à un simple joueur, n'importe quel micro-ordinateur dispose de ressources importantes, car il envisage la totalité des solutions avec la profondeur d'anticipation que lui permet sa structure. Ce genre de jeu est un bon instrument d'initiation ou d'entraînement ;
le jeu des "grands maîtres" : pour le contrer, l'imiter ou le dépasser, la machine doit obéir à d'autres règles ; l'analyse ne porte pas sur des pièces individuelles, mais sur l'ensemble dynamique d'une situation "classique" ou nouvelle. Ici, l'intelligence artificielle se fonde sur des constatations déjà anciennes : le grand maître ne regarde pas les pièces, mais les endroits ayant la plus grande signification stratégique dans l'échiquier. Sa vision s'apparente à une perspective à quatre dimensions : souvenez-vous du livre Le Joueur d'échecs de Stefan Zweig. Les différentes étapes du jeu à venir s'inscrivent les unes sur les autres et dans le temps. La conjecture est alors hautement périlleuse.
Fortement encouragés par IBM, les systèmes spécialisés et très puissants consacrés aux échecs peuvent déjà mettre en déroute un grand maître. Kasparov a cependant eu le dernier mot lors d'un match retentissant qui s'est tenu aux Etats-Unis en 1996.
Le processus "écho", encore appelé "échoplex", est la méthode la plus simple pour effectuer la détection d'erreurs : le récepteur retransmet à l'émetteur tous les caractères qu'il lui a envoyés.
(1919-1995) Ingénieur américain, co-fondateur avec John Mauchly de l'ENIAC, premier ordinateur américain.
Située à Paris XIIIe, elle forme à la typographie, à la PAO et aux métiers du livre.
Voir aussi école Nationale Supérieure de Télécommunication.
école
Nationale Supérieure de Télécommunication
Située rue Barrault à Paris, elle forme des ingénieurs de haut niveau (admission sur concours après BAC+1). Elle a participé avec France Telecom au lancement de nombreux projets (minitel, Wanadoo...).
(Voir aussi Henri Maitre).
En France, il n'existe pas vraiment d'école qui forme aux métiers de l'informatique. Outre les grandes filières sur concours "X-Mines-Ponts", l'étudiant dispose des formations suivantes :
le CNAM forme des milliers d'étudiants chaque année, issus de l'université à BAC+2/3 et délivre des diplômes d'ingénieurs ;
l'Université, elle, possède un cursus menant jusqu'au doctorat en sciences de l'informatique ;
l'IUT offre des formations courtes pour les diplômes "management des réseaux" ou "base de données", très spécialisées donc, et adaptées à ce secteur qui change vite ;
des écoles privées, reconnues par l'état comme l'EPITA (Paris), délivrent le diplôme d'ingénieur spécialisé à l'issue d'un cursus de 4/5 ans après le BAC.
Enfin, tout utilisateur peut aujourd'hui, quels que soient sa formation et son âge, acquérir par le biais de la formation continue un bon niveau en informatique.
Capacité qu'a un processeur de baisser sa fréquence horloge lorsque la puissance de calcul totale n'est pas nécessaire ou lorsque le travail s'arrête (par exemple lors des pauses en écriture avec un traitement de texte). L'économie d'énergie joue un rôle important, en particulier dans les agendas (voir agenda), parce que ceux-ci doivent travailler longtemps sans être connectés au réseau.
Logiciel fonctionnant à l'arrière-plan pour surveiller l'activité du clavier et de la souris. Si ces périphériques d'entrée sont inactifs pendant une durée prédéfinie, l'économiseur désactive l'écran ou affiche une image animée.
Les économiseurs d'écran étaient indispensables sur les écrans monochromes, car les textes affichés trop longtemps s'imprimaient de manière indélébile dans la couche phosphorisée du moniteur.
Avec les écrans couleur et les systèmes et logiciels graphiques, le rôle des économiseurs d'écran a évolué : il ne s'agit plus véritablement de prolonger la durée de vie de l'écran mais plutôt d'afficher une image distrayante pendant une pause, ou encore de mettre le moniteur en veille afin de réduire la consommation électrique.
Voir aussi économiseur d'énergie.
Radiographie d'un portable
Logiciel ou ensemble de fonctions logicielles qui permettent d'augmenter l'autonomie d'un portable (ordinateur). Pour ce faire, il déconnecte en particulier, l'éclairage en arrière-plan, le moteur d'entraînement du disque dur et il diminue la fréquence d'horloge du processeur automatiquement, dès qu'il détecte la non-utilisation de l'ordinateur par l'utilisateur.
Voir économiseur d'écran.
Abréviation de Extended Capability Port. Nom d'un standard étendu de l'interface parallèle, également appelée LPT, permettant des taux de transfert de données plus élevés et le branchement de plusieurs périphériques. Pour plus d'informations et comparaison avec l'EPP, voir mode du port parallèle.
Moniteur Elsa GDM-17E40T
(angl. "screen", "display") L'écran est un périphérique de sortie affichant des textes et des graphiques traités par un ordinateur. Les écrans se divisent en écrans à tube cathodique (tube d'image), écrans à cristaux liquides (voir LCD) et écrans à plasma, chacun de ces types existant en mode couleur ou monochrome.
Voir écran multifréquence.
Ecran couleur Miro
L'écran couleur standard possède un tube image avec trois sources de faisceaux électroniques pilotant des points lumineux phosphorescents selon le principe du mélange additif des couleurs. Par le mélange de trois couleurs, le rouge, le vert et le bleu (voir RVB) avec des intensités différentes, il est possible de produire toutes les couleurs intermédiaires. En raison de ses performances, l'écran couleur est très dépendant de l'électronique interne et de la commande par la carte graphique.
Il s'agit de l'autre appellation pour un terminal.
Cet écran monochrome pouvait afficher avec une résolution de 700 x 348 points à l'aide de la carte graphique d'Hercules.
Le Pro Lite de Texas Instruments : premier ordinateur portable avec écran à cristaux liquides monochrome.
Sur un écran monochrome, le texte ou les illustrations sont affichés en une seule couleur, sur un fond de couleur différente (par exemple blanc, orange ou noir). L'écran monochrome a été utilisé comme écran de texte sur les premiers PC, lorsque les graphiques et l'affichage couleur étaient encore loin de s'imposer en raison de leur coût très élevé. Aujourd'hui, les écrans monochromes ne sont plus utilisés que pour des applications spéciales (par exemple, les terminaux de caisses).
Sur certains écrans monochromes, il était possible de convertir des couleurs en échelles de gris (un peu comme sur les écrans LCD).
Moniteur (NEC)
En raison de leur structure technique, les écrans multifréquence peuvent réaliser plusieurs fréquences horizontales et de renouvellement d'image. Sur les versions les plus simples, ces fréquences doivent être produites par l'appareil ou par un programme ; les écrans multibalayage, qui peuvent se régler sur n'importe quelle fréquence (dans la limite de leurs capacités) leur sont pourtant supérieurs (voir moniteur multibalayage).
L'écran plasma (également appelé PDP pour Plasma Display Panel) n'a pas de tube cathodique, mais se compose de deux plaques en verre contenant un mélange gazeux néon-argon. Dans chaque plaque de verre sont intégrés des fils métalliques disposés en lignes parallèles. Les deux plaques superposées forment ainsi un quadrillage. En envoyant du courant électrique dans un fil horizontal et un fil vertical, un champ électrique se forme à chaque intersection et crée, à l'aide d'une décharge gazeuse, un point lumineux à l'écran. D'une épaisseur maximale de dix centimètres, les écrans plasma produisent une image nette et sans scintillement, en revanche ils ne sont que monochromes et leur production est très onéreuse. Consommant beaucoup d'électricité, ils ne conviennent qu'aux ordinateurs alimentés par secteur.
Moniteur (Sony)
(angl. "flat screen") C'est un écran qui ne possède pas, contrairement aux tubes images traditionnels, une vitre bombée, mais une vitre plate. Apparu avec les montres à affichage digital, il est aujourd'hui utilisé dans un grand nombre de produits électroniques et informatiques tels que les ordinateurs portables (voir portable (ordinateur)).
L'image, parfaitement plate, est d'excellente qualité et la surface d'affichage est augmentée. La technologie du plasma couleur rend possible la fabrication d'écrans 16/9 épais de dix centimètres que l'on accroche au mur comme des tableaux.
On appelle "écran tactile" un écran comportant à sa surface ou sur son cadre des capteurs (voir capteur) qui reconnaissent le contact d'un crayon ou d'un doigt, l'interprètent comme la commande de fonction d'un programme et peuvent déclencher cette commande (à la manière d'une souris ou d'un crayon optique).
à la différence de l'écriture imprimée, l'écriture manuscrite est, à cause de son caractère irrégulier, très difficile à reconnaître, surtout lorsque les caractères ne sont pas séparés. Le degré de difficulté est le même que celui de la reconnaissance vocale, lorsque les mots ne sont pas séparés en entrée. Il s'agit d'un problème d'intelligence artificielle.
Avec la mondialisation de l'économie (ou dans le cadre d'une Europe élargie), il est intéressant de pouvoir gérer des bases de données contenant des adresses ou d'autres informations en écriture nationale.
Les problèmes qui se posent se situent à trois niveaux :
certains caractères manquent dans les polices courantes (elles ont été conçues uniquement pour l'Europe occidentale, en oubliant de grands pays comme la Pologne ou la Turquie), mais il est très facile de se procurer de nouvelles polices et de les employer ; certaines écritures nationales (Russie, Grèce...) utilisent des caractères différents mais les principes de leur emploi sont les mêmes que pour les caractères latins ;
les caractères sont nouveaux, de même que leur assemblage : en arabe les caractères initiaux/finaux peuvent avoir une forme particulière et le sens de l'écriture est normalement inversé ; en coréen les caractères doivent être réunis dans des syllabes ; dans les écritures indiennes les groupes de caractères successifs peuvent avoir une représentation simplifiée ; dans ce cas l'acquisition d'une police doit s'accompagner de celle d'un logiciel d'exploitation ;
les caractères sont très complexes et leur nombre dépasse largement les possibilités d'expression d'un clavier normal (4 000 à 5 000 caractères pour le japonais, davantage encore pour le chinois). Dans ce cas, il faut se procurer un traitement de texte adéquat (Word (traitement de texte) existe en version nationale) ou, au pis, traiter un nombre restreint de caractères comme des images.
Abréviation de Electronic Data Interchange. Il s'agit d'une norme pour l'échange électronique de données, en particulier de documents. L'échange de documents selon EDI est aujourd'hui monnaie courante dans de nombreux domaines, où les standards ISO sont appliqués.
(1847-1931) Inventeur américain qui créa, notamment, le phonographe, le microphone, l'accumulateur, les premières caméras, etc. (il déposa environ 1400 brevets d'inventions).
C'est grâce à sa découverte de l'émission d'électrons que le tube électronique et le tube cathodique ont pu être créés par la suite.
Citation :
"Le génie représente un pour cent d'inspiration et quatre-vingt-dix-neuf pour cent de transpiration."
(Interview, 1931)
Dans le domaine de l'informatique, un éditeur est un logiciel d'application plus ou moins complexe qui permet de traiter des fichiers texte ou des fichiers graphiques.
On peut donc en conclure que la plupart des logiciels d'application sont des éditeurs.
Ce terme est également employé pour désigner plus particulièrement les logiciels de traitement de texte qui ne permettent pas de faire de mise en page.
Ces éditeurs de texte sont utilisés pour développer des programmes ou pour modifier les fichiers de configuration, tels que autoexec.bat.
Voir :
Logiciel permettant de gérer, de modifier ou de présenter des polices de caractères (voir police de caractères).
Programme qui relie les modules objets structurés par un compilateur avec des bibliothèques d'objets, des fonctions et des procédures pour que les programmes soient exécutables. En général, les éditeurs de liens sont commercialisés avec les compilateurs.
Entreprise qui développe des logiciels (voir logiciel), les commercialise et/ou les loue.
Un éditeur de niveau ou éditeur de mission est un programme qui permet de définir différents niveaux (voir niveau) ou différentes missions (voir mission) d'un jeu. Généralement, les éditeurs de niveau sont intégrés au jeu. Si tel n'est pas le cas, ils peuvent être téléchargés à partir de l'Internet ou achetés dans les magasins spécialisés.
Il existe des éditeurs de niveau pour Doom, Descent ou Command and Conquer.
Dans le domaine des jeux de stratégie (voir jeu de stratégie), les éditeurs de niveau, en tant qu'extension des missions prédéfinies (voir mission), permettent d'atteindre d'autres environnements de jeu.
Utilitaire permettant d'écrire ou de modifier du texte. Peu sophistiqué, il est notamment utilisé en programmation pour écrire, modifier ou lire le code contenu dans un fichier.
Il permet de travailler confortablement sur les documents HTML car il les présente déjà tels qu'ils apparaîtront sur l'écran du navigateur Web (voir Web-Browser). Les documents html ne sont pas composés uniquement de signes ASCII et ne peuvent donc pas être exploités par n'importe quel éditeur de texte. Mais les signes-textes eux-mêmes sont très difficiles à interpréter et utiliser. C'est pourquoi il est recommandé de se servir d'un éditeur HTML ou d'un convertisseur HTML.
(angl. "full screen editor") C'est un éditeur autorisant le traitement d'un texte sur l'ensemble de l'écran (contrairement à certains éditeurs qui n'autorisent que le traitement d'une ligne à la fois).
Un véritable éditeur syntaxique ne travaille pas sur des caractères, mais sur des arbres (voir arbre) qui représentent un "langage", en particulier de programmation. L'avantage premier d'un tel éditeur est que l'on ne peut saisir que des programmes "corrects" (bien sûr par rapport à un langage donné).
Plus généralement, un éditeur syntaxique permet de créer un langage (par exemple pour la documentation, voir plan type) ou de modifier un langage existant, soit par ajout (le cas le plus intéressant est celui des commentaires structurés ; voir PDL), soit par suppression, en éliminant certains traits indésirables dans un contexte donné (voir règle de programmation).
Il existe également des éditeurs pseudo-syntaxiques (voir pseudo), qui ne traitent des arbres que lorsqu'ils sont actifs, tandis que le stockage se fait sous forme de texte.
Voir RAM-EDO.
Protocole du canal D utilisé sur le réseau numérique européen Euro-ISDN en voie de remplacer le protocole LAPD du RNIS national.
La différence fondamentale entre l'ancien et le nouveau protocole est la façon dont ils adressent les terminaux (voir terminal), comme les téléphones, les télécopieurs, modems, etc.
E-DSSI permet d'appeler chaque terminal par son propre numéro : c'est la SDA (sélection directe à l'arrivée) qui est chargée de l'aiguillage.
Pour l'utilisation de RNIS sur un ordinateur, il faut faire attention à l'interface logicielle CAPI entre le PC et le matériel Numéris (par exemple une carte Numéris). Alors que l'ancien protocole CAPI 1.1 était conçu pour l'ancien protocole national, le nouveau CAPI 2.0, principalement utilisé sous Windows 95, a été développé pour les nouvelles fonctions de E-DSSI. Beaucoup de cartes et de logiciels Numéris reconnaissent actuellement encore les deux. Si c'est le cas, il faut indiquer lors de l'installation lequel vous souhaitez utiliser.
Voir Softkey.
(Electronic Discrete Variable Automatic Calculator) John von Neumann participe, en compagnie de Mauchly et Eckert, à la conception de l'EDVAC, l'ordinateur successeur de l'ENIAC.
L'EDVAC I était équipé d'une mémoire pouvant contenir 1000 mots. Il pouvait effectuer les opérations arithmétiques de base, mais ne pouvait pas, en revanche, effectuer de contrôle d'erreurs.
EDVAC II pouvait exécuter les opérations arithmétiques de base à une décimale avec virgule fixe et effectuer automatiquement le contrôle d'erreurs.
EDVAC III incluait en outre le calcul automatique à virgule flottante. Sa mémoire passait à 4000 mots.
(angl. "Electrically-Erasable Programmable Read-Only Memory") Forme particulière de mémoire morte.
Contrairement à l'EPROM, qui ne peut être effacée qu'au moyen d'appareils produisant des ultraviolets, il est possible d'effacer une EEPROM à l'aide d'une tension différente de celle utilisée dans un ordinateur ou un périphérique.
Ces éléments de mémoire morte sont également désignés sous le nom de "mémoire flash".
Le BIOS du PC, alors appelé "BIOS flash", est un des domaines d'utilisation de l'EEPROM.
Voir Eurofighter 2000.
Voir Electronic Frontier Foundation.
(angl. : "memory effect") Cet effet se produit uniquement avec les batteries au nickel-cadmium (voir batterie) si elles sont rechargées avant d'avoir été complètement déchargées. Dans ce cas, de petits cristaux se forment sur l'électrode. à la longue, les cristaux forment des couches sur l'électrode, entraînant une diminution de la performance de l'accu. La différence de tension peut monter jusqu'à 300 mV, ce qui signifie que la tension minimale de fonctionnement d'un appareil est rapidement atteinte. La seule solution consiste à décharger systématiquement l'accu avant une recharge.
Voir crénelage.
effets spéciaux
du traitement vidéo
Il est de plus en plus fréquent d'insérer des effets spéciaux numériques dans une vidéo préalablement numérisée (voir traitement vidéo) à l'aide de logiciels spécialisés (par exemple Adobe Premiere ou Ulead Media Studio). De nombreux effets sont prêts à l'emploi et faciles à insérer. Quelques effets simples consistent par exemple à créer un fondu entre deux séquences ou à incruster un titre. Mais des effets plus complexes sont également possibles : on peut faire en sorte que l'image apparaisse sur l'écran comme si elle "volait" du bas à gauche vers le haut à droite.
Les logiciels spécialisés dans les effets vidéo comme Ulead Media Tools permettent de monter des vidéos et de les enrichir d'effets spéciaux.
Unité de disque dur
On appelle "effondrement de tête" le contact involontaire de la tête de lecture/écriture d'un disque dur avec la surface du support de données. En raison de la vitesse élevée de rotation du disque (de 4500 à 7200 tours/min), un effondrement de tête provoque inévitablement la destruction de la surface (et des données qui s'y trouvent), ainsi que, le plus souvent, de la tête de lecture/écriture elle-même.
La tête d'écriture/lecture est portée par un coussin d'air à quelques fractions de millimètre seulement au-dessus de la surface des disques, sans les toucher.
(angl. "enhanced graphics adapter" : adaptateur graphique amélioré) Mode graphique qui a succédé au CGA.
Il permettait l'affichage simultané de 16 couleurs différentes tirées d'une palette de 256 couleurs. La résolution maximale atteignait 640 x 350 pixels. L'affichage texte nettement amélioré constituait une autre force du mode EGA.
Ce mode se maintient encore sur certaines cartes graphiques (carte graphique) comme mode d'exploitation possible.
("European Home System") Réseau comportant les normes internationales appliquées à la domotique pour la gestion électronique et informatique des habitats de demain.
Contrôleurs de disque dur
"EIDE" (abréviation de "enhanced-IDE", "IDE amélioré") est une version améliorée de la norme IDE (voir aussi disque dur à bus AT), due en particulier à la firme Western Digital, et qui a rencontré un grand succès sur le marché des PC à partir de 1994 pour devenir la norme effective d'aujourd'hui.
L'amélioration des performances a été rendue possible (et nécessaire) par la généralisation des nouveaux processeurs (Pentium) et systèmes de bus (voir bus local VESA, PCI).
EIDE a introduit les innovations suivantes :
utilisation de disques durs pouvant atteindre 8,4 Mo de capacité ;
gestion de deux canaux de commande pour la connexion de 2x2 disques durs maximum ;
vitesses de transfert de données améliorées (11 Mo/s ou 16,6 Mo/s) ;
possibilité de transfert DMA (voir direct memory access) ;
possibilité de connecter d'autres périphériques (lecteur de CD-ROM ou dévideur) , à condition toutefois que ceux-ci utilisent l'interface correspondante (voir ATAPI).
Il n'y a pas actuellement de définition unanime de la norme étendue, certaines firmes, comme Seagate, utilisant leurs propres spécifications (fast IDE, fast ATA).
EIDE est compatible avec IDE, de sorte que d'anciens disques durs IDE (voir disque dur IDE) peuvent fonctionner avec de nouveaux contrôleurs EIDE, de même que les disques durs EIDE avec d'anciens contrôleurs IDE (mais bien sûr sans bénéficier des caractéristiques EIDE).
Pour pouvoir exploiter toutes les possibilités d'un disque dur EIDE, un contrôleur approprié est nécessaire et l'ordinateur doit disposer d'un BIOS pouvant adresser des disques durs d'une capacité supérieure à 528 Mo (1024 secteurs). La méthode utilisée est alors la LBA pour Large Block Adressing ou Logical Block Adressing. Sur d'anciennes versions de BIOS, on peut aussi utiliser des programmes spéciaux comme le Diskmanager de la firme Ontrack, afin de pouvoir quand même gérer les disques plus gros.
Ce CD-ROM retrace la vie du grand scientifique à l'aide de 2h30 de récits et de plus de 1300 illustrations. Il couvre quatre parties :
une histoire de la physique ;
les découvertes fondamentales d'Einstein ;
la théorie de la relativité restreinte et générale ;
une biographie détaillée d'Einstein.
à cela s'ajoute encore une encyclopédie de la première moitié du XXe siècle de plus de 1000 pages (200 documents). Les faiblesses de cet ouvrage extrêmement bien documenté sont le manque d'interactivité et d'originalité, la passion faisant défaut à l'évocation de ce personnage passionnant.
(sigle de "extended ISA", "ISA" étendu) Système de bus à 32 bits (voir largeur de bus, bus) utilisé surtout depuis l'apparition des processeurs 386, donc sur des ordinateurs à UCT de 32 bits (voir CPU).
Le bus EISA était une extension directe du bus ISA 16 bits, qui, contrairement au microchannel de l'IBM-PS/2, acceptait les anciennes cartes ISA et impliquait donc quelques compromis techniques.
Développeur, éditeur et distributeur de logiciels de divertissement pour PC, Macintosh, mais aussi pour console de jeux, comme la PlayStation de Sony ou la Saturn de Sega. Fondé en 1982, implanté en France depuis 1993, EA a réalisé en 1996 un chiffre d'affaires de 130 millions de francs.
Ses titres vedettes sont : Fifa Soccer, NBA Live, NHL Hockey, PGA Tour Golf, Strike Commander, Wing Commander, Magic Carpet, etc.
Electronic Frontier Foundation
(EFF) Organisme créé en juillet 1990 par John Perry Barlow et Mitchell Kapor. Il vise à résoudre les problèmes juridiques et sociaux, divers conflits liés à l'Internet et la libre circulation transfrontalière de l'information tout en garantissant les libertés civiques et le respect de chacun.
L'électrophone est un appareil destiné à la restitution électromécanique d'enregistrements sonores analogiques, gravés mécaniquement sur un disque sous forme de sillons.
Le CD a entraîné la disparition presque complète du disque vinyle, si bien que les électrophones (ou "tourne-disques") ne sont plus guère achetés que par les nostalgiques et les mélomanes, réunissent des collections complètes et souvent coûteuses de disques "à l'ancienne".
Société allemande qui occupe une position de leader sur le marché de la transmission des données et systèmes graphiques. Ses filiales en Californie et à Taïwan contribuent à la commercialisation mondiale de ses produits. Les systèmes graphiques d'ELSA sont mis en œuvre dans les domaines des cartes graphiques et des moniteurs. Alors que les systèmes de moniteurs sont principalement conçus pour la CAO et la PAO, la palette des cartes graphiques couvre toute la gamme des cartes accélératrices jusqu'aux cartes play-back pour les jeux et la vidéo.
Les produits les plus connus dans le domaine de la communication sont les modems MicroLink (voir modem) et le dispositif de communication ISDN (voir RNIS). Le site Internet d'ELSA (http://www.elsa.com) est riche en information et en pilotes. Les téléchargements peuvent également s'effectuer à partir du serveur FTP du même nom.
La page d'accueil de la société ELSA.
Voir e-mail.
De même que vi ou TeX, emacs est un éditeur de texte utilisé sous UNIX. De nombreuses fonctionnalités sous la forme de macros peuvent être ajoutées grâce à l'utilisation du langage de programmation LISP.
Le terme général "e-mail" ("courrier électronique") désigne les messages expédiés électroniquement à une adresse d'un réseau local ou global (par exemple Internet). Le message est alors stocké jusqu'à ce que son destinataire le récupère.
Il est possible d'envoyer non seulement des textes, mais aussi d'autres fichiers : images, graphiques, vidéos, sons, programmes, etc. L'avantage principal du "e-mail", par rapport au courrier postal ou "snail mail" ("courrier escargot") est sa rapidité.
Un message électronique parvient n'importe où dans le monde en quelques secondes ou minutes. à cet avantage s'ajoute le fait que le destinataire n'est pas obligé d'être présent pour recevoir le message ; de plus, sa boîte aux lettres étant consultable à partir de n'importe quel endroit dans le monde entier, il n'est même pas obligé d'être chez lui pour lire ses messages.
L'e-mail est généralement signé avec plus ou moins de brio graphique à partir de code ANSI. L'émoticon sert aussi beaucoup, essentiellement à respecter la "Netiquette", sorte de code moral que les internautes s'imposent.
Chaque abonné d'un service en ligne e-mail dispose de sa propre et unique adresse e-mail.
La Délégation générale à la langue française (DGLF) recommande l'utilisation du mot "courriel".
Voir e-mail.
Gestionnaire de mémoire qui administre une extension de mémoire d'après les procédures EMS. Voir EMM386.EXE.
Le gestionnaire de mémoire EMM386.EXE est intégré à MS-DOS et Windows (généralités) sur les PC dotés d'un processeur 386 ou supérieur. Il donne accès à davantage de mémoire de travail en plaçant dans la mémoire haute des pilotes et d'autres programmes TSR (voir programme TSR).
Par conséquent, Emm386.exe est destiné à aider le gestionnaire de mémoire Himem.sys qui donne accès aux zones de mémoire supérieure (voir UMB).
Emm386.EXE est également utilisé pour simuler la mémoire étendue, conformément à la spécification EMS.
Un "émoticon" (abréviation d'"emotional icon", "signe d'émotion") est un signe permettant de symboliser une émotion dans le courrier électronique. Comme les "emoticons" sont composés de signes ASCII, on peut les inclure dans un fichier texte. La joie s'exprime par " :-) " c'est-à-dire "tête inclinée vers la gauche". On peut aussi les combiner pour composer un petit visage avec toutes sortes d'expressions et représenter toute la gamme des émotions possibles (et impossibles).
Quelques exemples d'émoticons :
: -) émoticon qui exprime la joie
8-(( Grande colère
: - ( Tristesse, déception
(- : Interlocuteur gaucher
: - Interlocuteur vient de faire une remarque diabolique
: - 0 Interlocuteur ébahi
% - <| Fou rire
: - # Mes lèvres sont scellées (ou censurées)
: - D Dit avec le sourire
; -) Clin d'oeil
* : o) Bozo le clown
C | : -= Charlie Chaplin
Petits traits sur des caractères d'imprimerie. Il existe des polices de caractères (police de caractères) à empattement (polices serif) et sans empattement (police sans serif). Les polices à empattement sont généralement utilisées dans le corps d'un texte car elles sont plus lisibles, alors que les polices sans empattement sont utilisées pour les titres ou les textes courts (comme les slogans publicitaires).
La norme "EMS" (sigle de "expanded memory specification", "spécification de mémoire étendue") est un procédé visant à éviter la limitation de la mémoire de 640 Ko du DOS et à utiliser la mémoire RAM au-delà de la limite du Mo ; il a été créé conjointement par Lotus, Intel , Microsoft (d'où l'appellation parfois usitée de LIM/EMS).
Le procédé fonctionne avec des cadres ou des fenêtres de pages mémoire (64 Ko, angl. "page frame") issus de la division de la mémoire de travail située au-delà du Mo.
MS-DOS peut accéder à toute la mémoire EMS, car une fenêtre de page est insérée dans la mémoire encore gérée par DOS. à l'origine, on pouvait utiliser un ordinateur à processeur 8086 doté d'une carte principale correspondante et d'un pilote adéquat pour l'exploitation de l'EMS. à partir du processeur 386, un EMM (gestionnaire de mémoire étendue) peut simuler la configuration EMS de la mémoire de travail.
EMS n'est significatif que pour les programmes DOS, Windows (généralités) suivant déjà le procédé XMS.
Cette abréviation d'"electronic-mail standard identification" ("identification standard pour le courrier électronique") désigne un protocole souvent utilisé dans le réseau Fido pour l'identification de l'utilisateur, c'est-à-dire généralement son mot de passe.
C'est un composant matériel ou logiciel qui veille à ce que le fonctionnement d'un système soit semblable à celui d'un autre. Un émulateur de logiciel, par exemple, permet d'utiliser sur un PC ou un Amiga des programmes écrits à l'origine pour le C64, mais avec une certaine perte de vitesse. On se sert très souvent d'émulateurs d'imprimante pour obtenir qu'un modèle d' imprimante se comporte comme un autre (émulation Epson, HPGL ou LaserJet).
Voir aussi émulateur de terminal.
Il s'agit d'un programme permettant sur un ordinateur de reproduire le mode de fonctionnement d'un autre ordinateur.
On appelle ainsi un programme qui exécute, sur l'ordinateur local, toutes les tâches liées à la transmission de données. Il envoie à l'interface série les données saisies au clavier ; il reçoit aussi celles que l'interface envoie, les interprète et les présente à l'écran. Au bout de l'interface en série se trouve un chemin de transmission menant à un ordinateur distant, l'hôte. Grâce à son émulateur de terminal, l'ordinateur local simule l'existence d'un terminal de l'hôte. L'hôte lui-même doit posséder un programme spécial permettant le dialogue avec ce terminal. Ce programme permet par exemple au terminal de demander l'envoi de données. Il est exécuté en mode hôte. De nombreuses fonctions secondaires ont été intégrées dans les émulateurs de terminaux :
1) installation des paramètres de l'interface série et de ceux du modem ou de la carte ISDN ;
2) exécution des initialisations nécessaires ;
3) choix d'une émulation de terminal appropriée ;
4) choix d'un partenaire de communication dans un carnet d'adresses ;
5) établissement, contrôle et interruption de la transmission par modem, ISDN, etc. (voir auto dial) ;
6) déroulement du dialogue avec l'opérateur (voir SysOp) de l'hôte ou avec d'autres participants ;
7) établissement d'un protocole de transmission pour le transfert de données ;
8) établissement et contrôle de la transmission en direction de l'hôte (upload) ou en provenance de lui (download).
Les émulateurs de terminal les plus connus sont Telix, Procomm Plus ou encore l'excellent ZOC pour OS/2.
Terme désignant en général l'imitation du comportement d'un composant matériel ou logiciel par un autre périphérique, programme ou ordinateur. Avec un utilitaire approprié, il est par exemple possible d'utiliser un programme conçu pour un ordinateur A sur un ordinateur B, même si celui-ci exécute un langage machine ou système d'exploitation différent. Pour faire fonctionner des programmes d'application Windows sur un Macintosh, celui-ci doit être équipé d'une émulation Windows.
Capacité d'une imprimante à se comporter comme une autre.
En dépit du grand nombre de constructeurs d'imprimantes, des normes ont été établies rapidement dans le domaine PC ; elles leur servent de guide. Ces normes datent d'une époque où il fallait une programmation coûteuse pour adapter une imprimante à un programme d'application. Comment expliquer la tendance des imprimantes à être mutuellement compatibles ?
Pour les différentes techniques d'impression, les produits concurrents ont imité (émulé) chaque fois l'implantation des normes choisies. Dans le cas de l'imprimante à aiguilles, ce fut le cas d'abord de la Proprinter d'IBM, et plus tard de la commande de l'imprimante d'Epson utilisant des séquences dites Escape.
L'imprimante à jet d'encre, modèle de toutes les autres, est la DeskJet de Hewlett Packard. Dans le cas de l'imprimante laser, Hewlett Packard a établi avec son langage pour imprimantes laser HPPCL une norme obligatoire, à côté de PostScript. HPPCL a connu d'importants développements ces dernières années, ce qui fait que l'émulation typique est celle de HPPCL 5.
Ce mode ("stand-by" en anglais) permet d'économiser l'énergie : tous les composants du système qui ne sont pas utilisés, sont mis en attente automatiquement ou grâce à une commande et peuvent être réactivés à tout moment. Certains périphériques des PC actuels (en particulier l'écran et l'imprimante) se mettent automatiquement en mode "en attente".
Voir économiseur d'énergie.
La notion "en ligne" signifie qu'il y a connexion entre un modem et un autre système de communication (voir service en ligne, boîte aux lettres). Aussi longtemps que le modem est "en ligne", il faut payer la taxe téléphonique. Le contraire de "en ligne" est "hors ligne" : il n'y a alors aucune connexion avec un autre système de communication et aucune taxe à payer.
Par économie, on peut exécuter "hors ligne" certaines fonctions, par exemple la création ou la consultation de messages. En revanche, on réalise très rapidement "en ligne" l'envoi ou la réception de ces messages. Les messages sont alors envoyés ou reçus en une seule fois. Comme le modem peut envoyer des données beaucoup plus vite que l'entrée manuelle du message, l'économie est très significative.
En informatique, ce terme signifie généralement "qui se déroule en même temps". On dit qu'une transmission de données est en parallèle quand plusieurs données peuvent être transmises en même temps (voir interface parallèle). Le contraire est en série.
Cette expression signifie généralement "exécutés l'un après l'autre". On dit qu'une transmission de données est "en série" si les données doivent être transmises l'une après l'autre (voir modem ; interface série). Le contraire est en parallèle. La transmission en série est huit fois moins rapide que la transmission parallèle de données.
Cet adjectif qui signifie "activé" désigne les options et les processus activés ou permis. Citons à titre d'exemple l'activation de certaines fonctions dans le Setup du BIOS de l'ordinateur. Le contraire est disabled.
Encyclopedia of Science Fiction
Encyclopedia of Science Fiction est un CD-ROM qui comprend environ 4 000 articles sur le thème de la science-fiction présentant des livres, des films, des séries télévisées ainsi que de nombreuses biographies d'auteurs. Les articles sont complétés par des couvertures de livres et de magazines ainsi que par quelques vidéos.
Voir science-fiction.
Cette encyclopédie multimédia sur CD-ROM est divisée en dix domaines (la société, la philosophie, la terre, etc.). Les outils de recherche et les liens hypertextes vous permettent de naviguer d'un domaine à l'autre. Une connexion à l'Internet est proposée sur le CD-ROM.
Norme américaine destinée à doter les écrans d'ordinateurs d'un interrupteur automatique de mise en veille. Cette norme a été mise au point en 1994, après la grande campagne d'économies d'énergie sur l'ensemble du territoire américain. Ce logo est apparent lors du lancement de BIOS de la plupart des ordinateurs (si l'ordinateur est à la norme Energy Star).
Voir aussi : DPMS.
Logo de l'agence Américaine pour les économies d'énergie (EPA) qui normalise la consommation électrique des unités centrales et des moniteurs. Ce logo est apparent lors du lancement du BIOS de la plupart des ordinateurs, si toutefois l'ordinateur est à la norme Energy Star).
à l'origine du concept d'interconnexion de systèmes informatiques hétérogènes, il a joué un rôle important dans le développement du réseau ARPAnet. Mais il a également inventé la souris et les interfaces graphiques (voir interface utilisateur).
Le logiciel d'apprentissage de l'anglais English Plus 1 est doté d'un dictionnaire de 2500 mots et 1500 expressions pouvant être complété. Pour faciliter l'assimilation des connaissances, English Plus 1 offre des options modulables pour l'apprentissage du vocabulaire, afin de répondre au mieux aux besoins de l'utilisateur.
Le logiciel comporte également un petit jeu dans lequel l'utilisateur joue le rôle de Bill Clinton tentant de se faire élire président des états-Unis. Les événements se déroulent au fil de courtes séquences vidéo ayant trait aux dernières élections présidentielles.
ENIAC (1945)
("Electronic Numerical Integrator and Computer") Premier ordinateur électronique américain. Il fut fabriqué en 1945 par John P. Eckert et John W. Mauchly. L'ancien P-DG d'IBM, Thomas Watson suivit de près le projet. Il contenait 18 000 tubes électroniques, pesait 30 tonnes et occupait une surface de 140 m².
Machine conçue par le chiffre allemand servant à crypter les messages entre nazis, utilisée de 1937 à 1945. Les Anglais, pour la contrer et déchiffrer ses émissions, firent appel à Alan Turing.
ENIGMA utilisait deux machines à écrire électriques. Un message clair était tapé sur la première ; une clef était implémentée, puis le message codé était tapé sur la deuxième machine. Il existait environ 1 trilliard de possibilités de code.
Dès 1943, les Anglais ripostent en créant COLOSSUS, capable d'interpréter jusqu'à dix messages en même temps. COLOSSUS était unifonctionnel, utilisait 3 000 tubes à vide mais ne peut être considéré comme le premier ordinateur (voir ENIAC).
Voir aussi cryptographie.
Une énigme correspond au but d'un jeu d'aventures ou, au sens strict, d'un jeu de rôles.
Pour résoudre une énigme, le joueur doit réunir des objets (par exemple : une clé, un marteau, une canne à pêche, etc.) au cours du jeu (ces objets figurent dans l'inventaire) et les placer à un endroit logique pour faire progresser le jeu. Par exemple, une clé permet d'ouvrir une porte, un marteau permet de casser une vitre, une canne à pêche permet de pêcher un poisson, etc. Pour résoudre une énigme, il faut souvent utiliser deux objets ensemble pour en créer un seul (par exemple il faut assembler une baguette et un fil pour obtenir une canne à pêche).
(né en 1948) Musicien britannique, auteur, compositeur, interprète, et producteur. Son travail a beaucoup influencé la musique pop et rock de la fin du XXe siècle. Ses recherches expérimentales en rock progressif l'ont amené à travailler avec Roxy Music (Brian Ferry), David Bowie, les Talking Heads (David Byrne) ou encore U2 et Laurie Anderson. Ses compositions, mélanges de nappes de synthétiseur, de paroles mystérieuses et de choeurs lointains ("samples" avant l'heure provenant de la rue ou d'Afrique) sont à l'origine de l'ambient ("musique d'ambiance").
Albums :
1973 : Here Come the Warm Jets ;
1975 : Discreet Music ;
1977 : Before and After Science ;
1978 : Ambient 1, Music for Airports ;
1980 : My Life... (avec David Byrne) ;
1986 : Desert Island Selection ;
1992 : Nerve Net ;
1993 : Box I, Box II .
Voir aussi musique électronique.
Voir :
Unité fermée dans une base de données. Elle constitue un ensemble de champs de données liés les uns aux autres par leur structure. Voir type.
Chaque enregistrement de données est différent des autres et il est identifié par une clé.
Dans un fichier d'adresses, un enregistrement peut être composé par les champs "Nom", "Prénom", "Rue", "Code postal" et "Localité".
On désigne par cette expression ou "enregistrement magnétique" la sauvegarde de données audio ou vidéo sur le disque dur ou la mémoire de masse d'un micro-ordinateur.
Grâce à la croissance de la vitesse de traitement, de la capacité de mémoire et de la qualité de numérisation des cartes enfichables (voir carte son, carte vidéo), le PC est devenu un système flexible de numérisation de données audio et vidéo. Comme les disques durs actuels ont une capacité supérieure à un Go, l'enregistrement de l'intégralité d'un CD audio (environ 680 Mo) ou de séquences vidéo ne représente plus un problème d'ordre technique.
Par rapport aux supports classiques (généralement des bandes magnétiques), le PC présente l'avantage de fournir un accès plus rapide aux données, mais aussi de pouvoir traiter les données audio et vidéo à partir de logiciels spéciaux.
Le traitement numérique de données audio et vidéo sur ordinateur est de plus en plus répandu autant dans les milieux professionnels que chez les amateurs.
L'enregistrement, le stockage rapide ou non de données ou de fichiers (voir fichier) dans la mémoire de travail ou sur un support de données, est une opération essentielle dans le traitement des données.
Un ensemble logiciel regroupe plusieurs logiciels de nature différente mais complémentaires. En général, l'achat d'une suite logicielle est plus économique que l'achat séparé des différents logiciels.
Les ensembles logiciels les plus connus sont les suites bureautiques Microsoft Office (incluant notamment le traitement de texte Word pour Windows et le tableur Excel) et Lotus SmartSuite (qui comprend le traitement de texte AmiPro ou Word Pro et le tableur 1-2-3). Voir suite bureautique.
Nombre qui n'a pas de chiffres après la virgule.
Les nombres entiers sont utilisés en programmation (voir variable).
Imprimante à aiguille
Contrairement au tracteur, doté de rouleaux à picots, l'alimentation feuille à feuille introduit les pages dans le mécanisme au moyen d'un "entraînement à friction", utilisant le frottement de rouleaux en caoutchouc.
(angl. "input") Les entrées sont des procédés permettant d'entrer des données dans un ordinateur.
Dans un PC, les entrées se font le plus souvent à partir du clavier ou de la souris, qui sont des périphériques d'entrée. Mais les données peuvent également être entrées dans un PC à partir de mémoires externes (telles une disquette).
La sortie de données est effectuée à partir de périphériques de sortie, tels qu'un moniteur, une imprimante ou une mémoire externe. Voir I/O.
à l'époque où on ne pouvait utiliser une carte graphique d'un prix abordable, ni de moniteur suffisamment performant à un coût raisonnable, le procédé de "demi-image" ou d'"entrelacement" était une méthode usuelle d'affichage. La carte graphique transmettait à tour de rôle les lignes paires et les lignes impaires sous forme de demi-images. Malgré une fréquence élevée de renouvellement d'image (voir fréquence du moniteur), on observe suivant l'angle de vue et les sensations subjectives un très net scintillement.
Sur les systèmes actuels, on peut obtenir des fréquences de renouvellement d'image élevées avec des procédés non entrelacés (voir non entrelacé).
environnement de programmation
L'environnement de programmation offre, en plus du système de programmation, d'autres composants destinés à la programmation, tels qu'un ordinateur conçu à cet effet, des outils d'analyse de la problématique, plusieurs langages de programmation (avec leurs outils spécifiques : compilateurs, analyseurs de complexité, bibliothèques spécialisées), des outils de test et de documentation, etc. Dans le cas des grands systèmes industriels, on parle volontiers d'environnement ou d'atelier de génie logiciel (AGL, voir génie logiciel) ; il s'agit d'un changement d'échelle dû à la taille des logiciels à produire : des opérations (conception, tests, etc.), qui peuvent rester manuelles lorsqu'il s'agit de la production d'un simple programme, doivent elles-mêmes être soutenues par des logiciels d'aide appropriés. Dans ce cadre, la gestion des configurations (matérielles, logicielles, en particulier, les versions) revêt une importance primordiale.
Imprimante à aiguille
(angl. "end of transmission" : fin de transmission) Sigle surtout employé lors de la transmission de données à une imprimante, pour indiquer la fin de la transmission.
Abréviation de Environmental Protection Agency, Organisme Américain pour la protection de l'Environnement. En 1993, l'EPA a défini des normes relatives à l'économie d'énergie pour les ordinateurs, aujourd'hui respectées dans presque tous les cas. Selon ces normes, un ordinateur ou moniteur en mode économique (voir gestion d'alimentation) ne doit pas consommer plus de 30 watt. Si cette valeur est respectée, la machine est dotée du label "Energy Star". Ce signe, ainsi que le logo de l'EPA, s'affichent quelques instants lors du démarrage (voir booter) de l'ordinateur.
(Enhanced Parallel Port) Interface parallèle qui permet d'atteindre des débits de l'ordre de 1 Mo/s.
(angl. "erasable programmable read only memory" : mémoire morte effaçable et programmable) élément de mémoire morte effaçable et programmable.
L'effacement s'effectue généralement par rayons ultraviolets. On peut ensuite à nouveau enregistrer sur l'EPROM.
Le processus d'effacement dure plusieurs minutes, parfois une heure ; la durée de l'enregistrement varie, selon la capacité de mémoire de l'élément, entre quelques secondes et plusieurs minutes.
Un EPROM effaçable électroniquement est appelé "EEPROM".
("Encapsulated PostScript", "PostScript encapsulé") Format de fichier graphique enregistré dans le langage de description de caractères. PostScript. La différence avec les fichiers PostScript non encapsulés réside dans le fait que le code PostScript des fichiers EPS se trouve entre un prologue et une fin.
Le prologue indique le nom du logiciel d'application ayant servi à réaliser le fichier et le nombre de caractères du fichier, ainsi que les coordonnées du parallélépipède englobant permettant de calculer la taille de l'image. Si le fichier EPS a été conçu à partir d'un logiciel d'application graphique, le prologue comporte également un petit fichier TIFF (fichier image) qui décrit le contenu du fichier graphique. Les fichiers EPS ne peuvent pas être ouverts sans le logiciel correspondant.
Fabricant de matériel informatique solidement implanté depuis plusieurs années. Alors que cette société fabriquait encore des PC dans les années 80, elle se concentre aujourd'hui principalement sur le marché des imprimantes et des scanners. Son dernier développement, l'imprimante à jet d'encre à technologie Piézo (Epson Stylus), a remporté un grand succès. L'imprimante à jet d'encre quatre couleurs Epson Stylus 500 atteint presque la qualité photo, avec une résolution de 720 dpi et du papier spécial. Sur le site http://www.epson.com, vous trouverez d'autres informations ainsi que des mises à jour de pilotes ; vous pouvez également contacter la société directement par e-mail.
Abréviation de Electronic Payment Terminal, en français : terminal de paiement électronique. Désigne l'appareil électronique utilisé pour l'enregistrement, la saisie et la vérification des cartes de crédit. Ce terminal possède un clavier, un écran à cristaux liquides et une fente destinée à recevoir la carte de crédit (voir carte à puce).
Terme composé des mots grecs ergon ("travail", "œuvre") et nomos ("loi") désignant la science des conditions de travail et leur meilleure adaptation possible en faveur de l'homme. Les lignes directrices de l'ergonomie préconisent de concevoir les machines et les outils en respectant les conditions anatomiques, physiques et physiologiques de l'utilisateur.
Les postes de travail avec écran sont particulièrement visés, car ils induisent une position du corps défavorable à l'organisme. Un lieu de travail ergonomique suppose des propositions sur la technique, la conception, la hauteur et l'orientation du bureau, du siège, de l'éclairage et de l'écran. Les directives de l'Union Européenne, en vigueur depuis le 1/1/1997 sur l'aménagement ergonomique de tels postes de travail, prévoit également une certaine régulation des horaires. Un employé peut maintenant exiger un poste de travail conforme aux directives européennes.
Certains périphériques d'entrée connaissent en la matière un grand développement (voir clavier, souris). Le clavier ergonomique, comme le Natural Keyboard de Microsoft, est légèrement arrondi, ce qui correspond à la position anatomique des mains lorsque l'on écrit. Cette position naturelle est censée prévenir les maladies connues sous le nom générique de RSI (Repetitive Strain Injury), provoquées par une surcharge des nerfs, des muscles et tendons de la main.
L'ergonomie du clavier Natural Keyboard de Microsoft s'adapte à la position
naturelle des mains.
Outre le matériel, les logiciels sont eux aussi considérés de plus en plus d'un point de vue ergonomique (les mots-clés sont : convivialité et facilité d'emploi). Les critères sont ici la possibilité d'une utilisation intuitive, l'emploi de couleurs, l'automatisation de certaines tâches, la durée de l'apprentissage et la tolérance aux pannes avant d'éventuelles pertes de données.
On désigne généralement par ce mot tous les types de fautes et de problèmes dans le système d'exploitation ou dans l'exécution des programmes.
Voir aussi :
Une erreur bénigne (angl. "soft error") est une erreur qui se produit parfois et sans raison apparente. Il ne faut pas la confondre avec une erreur dans le logiciel lui-même. Elle peut être causée, notamment, par la température ou par une mauvaise connexion.
Ce sont les fautes que l'utilisateur commet lorsqu'il ne respecte pas la structure et l'organisation correcte des données. Certaines d'entre elles, par exemple celles qui concernent les transmissions par ligne, peuvent causer la perte d'information ou l'interruption d'un programme (voir erreur).
Coupe d'une unité de disque dur
Erreur survenant lors d'une transmission de données d'une mémoire externe vers la mémoire de travail. Parmi les autres causes d'erreur de lecture, on peut citer le défaut du support de données ou du câble. Comme les erreurs de lecture produisent des données inconnues, des méthodes très élaborées de détection et de correction d'erreurs sont souvent utilisées. L'erreur de lecture peut notamment être constatée au moyen d'un procédé d'identification d'erreur utilisant la somme de contrôle.
Erreur syntaxique ou erreur logique.
Une erreur de syntaxe est une violation des règles de formulation d'un langage de programmation (par exemple une faute concernant un mot-clé, l'absence d'un séparateur, etc.).
Une erreur logique est une erreur de raisonnement lors de la conception ou de la traduction d'un algorithme par le programmeur.
Les erreurs syntaxiques sont généralement localisées par un éditeur spécialisé, contenu dans l'interprète ou le compilateur, et sont résolues au cours de la programmation. En revanche, les erreurs logiques sont beaucoup plus difficiles à localiser et à résoudre (voir erreur d'exécution). Il faut remarquer que la frontière entre ces erreurs dépend beaucoup du langage de programmation utilisé. En effet, les langages comme PASCAL, ou apparus à sa suite, comme ADA, imposent des contrôles syntaxiques non seulement aux traitements (par exemple la cohérence d'une formule de calcul), mais aussi aux données, qui doivent nécessairement appartenir à un type. La programmation avec types est sensiblement plus sûre ; elle est actuellement continuée et enrichie par la programmation orientée objet.
Dans le meilleur des cas, une erreur de programmation empêche l'exécution d'une fonction particulière. Le concepteur en avertit généralement l'utilisateur par un compte rendu des erreurs. Une erreur de programmation peut également entraîner une perte de données ou un dysfonctionnement général du programme ou du système.
En raison de la complexité des logiciels et de la multitude des instructions, les erreurs de programmation ne sont jamais totalement exclues. L'éditeur procède donc à de nombreux tests (phase bêta) pour réduire au minimum le nombre des erreurs qui resteront dans le logiciel commercialisé. Le cas extrême est celui des systèmes informatiques (dits "embarqués") qui se retrouveront chacun dans des situations difficiles à prévoir complètement (systèmes militaires, d'exploration cosmique, de protection nucléaire, etc.). Il est évident que dans ce cas les dégâts provoqués par une simple erreur risquent d'être immenses, voire irréparables.
Erreur provoquée par une mauvaise écriture des instructions (voir syntaxe).
Erreur qui se produit durant l'exécution d'un programme.
On peut citer à titre d'exemple la division par 0 lors de calculs complexes, qui n'est pas toujours décelée par le compilateur.
Terme désignant généralement les erreurs produites par l'utilisateur. Des études ont démontré que la plupart des erreurs survenant en informatique sont plus souvent dues à une mauvaise manipulation qu'à un matériel ou des logiciels défectueux. Les raisons de ces erreurs sont diverses : ignorance, négligence, mauvaise compréhension, etc. Elles peuvent être considérablement réduites par une plus grande facilité d'emploi du matériel et des logiciels (usability). Les erreurs d'utilisation proviennent donc souvent indirectement de la conception d'un logiciel. Les programmes de pointe devraient donc être programmés de façon à pouvoir empêcher et/ou corriger les erreurs d'utilisation.
Voir séquence d'échappement.
Un appareil ou un ordinateur est dit "esclave" s'il est dirigé par un autre (voir maître).
Escom est l'un des plus grands fabricants allemands de PC La société a attiré l'attention en rachetant Commodore qui avait fait faillite. La majorité des PC d'Escom sont destinés à une distribution massive et rapide. En baissant ses prix, en offrant des produits à la mode et en donnant en prime de nombreux logiciels lors de l'achat, Escom espère obtenir d'importantes parts de marché. Les filiales d'Escom produisent maintenant en coopération avec Siemens Nixdorf des systèmes informatiques de plus haute qualité, tandis que les systèmes AMIGA repris à Commodore sont surtout destinés à l'utilisation domestique et aux jeux.
Voir Escom.
(angl. "enhanced small device interface") Interface de disque dur. Présentée en 1983 par le fabricant de disques durs Maxtor (disque dur, interface), elle était destinée à des micro-ordinateurs comme les PC.
Comparée à des interfaces plus simples (le standard ST-506 défini en 1980 par Seagate par exemple), ESDI permettait une transmission plus rapide des données vers le disque dur et à partir de celui-ci, le disque dur prenant en charge un certain nombre de tâches jusque-là accomplies conjointement par le PC et le contrôleur de disque dur. ESDI permettait un débit des données pouvant atteindre 3 Mo par seconde.
Support pour modules de mémoire RAM-EDO
On appelle "espace d'adressage" la taille maximale de la mémoire de travail, ou encore le nombre maximal d'adresses que l'unité centrale peut attribuer à des composants (voir adresse, adressage).
On distingue l'espace d'adressage logique ou virtuel et l'espace d'adressage physique. Dans le cas d'un mode d'adressage sur 16 bits, l'espace adresse mesure 65 536 octets (voir octet) , soit 64 Ko (voir Ko) ; dans le cas d'un mode d'adressage sur 32 bits, en revanche, il mesure 4 096 Mo, soit 4 Go.
("high-memory area" ou "HMA") L'espace de mémoire haute est le segment de mémoire de 64 Ko directement situé au-dessus des 1024 premiers Ko de la mémoire de travail, et utilisable par MS-DOS depuis la version 5.0 sur les ordinateurs équipés de processeurs 80286 et au-dessus (voir processeur). Cette zone de mémoire est adressée par le gestionnaire de mémoire Himem.Sys de DOS. Certaines parties du système d'exploitation peuvent ensuite être déchargées dans la zone supérieure de la mémoire par l'instruction "DOS=HIGH", de sorte que la mémoire de travail conventionnelle (les 640 premiers Ko, voir mémoire conventionnelle) est laissée libre pour l'exécution de programmes (voir programme et UMA).
Désigne la sortie (le plus souvent imprimée) des données d'une base de données. Le terme est notamment utilisé dans le programme Microsoft Access, mais aussi parfois dans certains tableurs (voir tableur). Pour créer un état, les données organisées en tables sont préalablement extraites à l'aide d'un filtre, d'une requête et/ou d'un calcul. Elles peuvent ensuite, selon le programme, être mises en page comme dans un traitement de texte : l'utilisateur peut, dans certaines limites, modifier leur présentation par le choix du type de caractères, leur taille ainsi que leur couleur. Le résultat est envoyé à l'imprimante ou exporté dans un autre programme pour y subir d'autres modifications.
Processeur Pentium Pro
Un état latent est la transmission de données non significatives.
Un processeur rapide doit intercaler un ou plusieurs états latents entre des éléments périphériques lents (notamment entre des éléments de mémoire ou des bus lents), afin d'éviter des pertes au moment de la transmission de données.
Réseau utilisant la technique de la commutation par paquets et fondé sur le cable coaxial et une topologie bus. Le transfert de données s'effectue à la vitesse de 10 Mb/s ; la nouvelle version désignée sous le nom de Fast Ethernet a un débit largement supérieur. Ce protocole LAN a été développé par Xerox en collaboration avec Intel et DEC, en 1976.
Voir Fast Ethernet
(angl. "tag") Signe qui peut être ajouté à une donnée ou à un fichier lors du stockage en mémoire. Il peut aussi être utilisé comme "drapeau" ("flag") et indiquer le statut d'un élément de donnée. Cela permet de le reconnaître et de le tester plus rapidement.
Les étiquettes peuvent indiquer l'état d'un secteur de la mémoire cache de 1er niveau : si un élément a été changé, mais que le secteur correspondant dans la mémoire cache n'a pas été mis à jour, une "dirty tag" ("étiquette sale") y est attachée pour montrer que ce secteur n'est pas valable.
Voir aussi étiquette de volume.
Cette expression (angl. "volume label") désigne le nom donné par MS-DOS et OS/2 à chaque unité logique d'un disque dur ou à chaque support de données échangeable (voir étiquette).
Le terme "étoile" est employé dans le contexte de la topologie des réseaux. Dans un réseau en étoile, tous les câbles de liaison passent par un nœud central. En tant que station principale, celui-ci gère l'échange des données entre les différentes stations. Comparé au réseau en anneau, le câblage et l'administration sont plus complexes, ce qui explique qu'il soit plus rarement employé dans les réseaux locaux.
("European UNIX Network", "réseau UNIX européen") Groupement de systèmes UNIX européens sur l'Internet.
"Eurêka ! le laboratoire du savant fou" propose une initiation simple et amusante aux sciences. Ce logiciel éducatif permet aux enfants de créer leurs propres inventions, mais aussi d'en mettre certaines en pratique grâce aux éléments fournis.
Le simulateur de vol (jeu) Eurofighter 2000 place le joueur dans le cockpit d'un Eurofighter, projet auquel participent différents pays européens.
En tant que pilote, le joueur doit remplir une multitude de missions (voir mission) afin d'empêcher des nationalistes russes d'envahir l'Europe occidentale en passant par la Scandinavie.
Ses missions intelligentes, son mode de campagne et son réalisme en ont fait l'un des meilleurs simulateurs et l'un des plus appréciés.
Le protocole utilisé dans le canal D diffère en fonction des réseaux RNIS nationaux. En ce moment, le protocole LAPD des canaux D est mis en conformité avec le standard E-DSSI utilisé par le réseau numérique européen (Euro-ISDN). Ce dernier propose en outre des fonctions supplémentaires, comme Euro-File-Transfer commercialisé par France Télécom sous le nom de Télédisquette.
Certains accès à Numéris (option Entreprise), permettent d'avoir un minimum de 5 numéros de téléphones, extensibles par fraction de 5 numéros supplémentaires. Dans les deux versions de RNIS (Euro-ISDN et RNIS national), l'emploi simultané multiple d'une même ligne est possible grâce à la fonction de signalisation transmise par le canal D.
On appelle "EuroNet" ou "European network" le réseau européen privé permettant d'exploiter les bases de données de DIANE.
Europe Online (également appelé EO) était destiné à devenir, début 1996, l'un des grands services en ligne (voir service en ligne) en Europe après AOL et CompuServe. De nombreuses sociétés comme le groupe allemand Burda, l'opérateur téléphonique américain AT&T, ainsi que les maisons d'édition anglaise et française Pearson et Hachette, sont à l'origine de cette initiative. Alors que plusieurs sociétés (comme Pearson) se retirèrent dès le début du projet et de l'essor de l'Internet, EO se transforma en service en ligne entièrement intégré à l'Internet et basé au Luxembourg (voir provider Internet). L'offre d'accès était accompagnée d'un ensemble de logiciels comprenant Trumpet Winsock et Netscape Navigator comme web-browser.
L'abonnement était relativement bon marché (environ 35 FF avec deux heures de connexion gratuites), le contenu diversifié et trilingue (allemand, anglais, français). Certains contenus étaient également accessibles aux internautes non membres, mais la plupart étaient réservés aux abonnés.
Malheureusement, ce fournisseur d'accès ne devait pas rencontrer le succès : après que le principal bailleur de fonds Burda s'est subitement retiré en été 1996, Europe Online dut déposer son bilan.
Cependant, à l'automne 1996, on apprit que le nom de Europe Online n'était pas mort. L'ancien provider s'est reconverti en association autofinancée au moyen d'un mélange de publicité, d'informations et d'hébergements payants de sites Web commerciaux. Europe Online offre donc toujours un contenu attractif accessible à tous sur l'Internet sous l'adresse http://www.europeonline.com.
La page d'accueil de Europe Online
EurOSInet signifie "European OSI-Net". C'est une association de fabricants et d'utilisateurs européens, dont le but est de promouvoir les normes de systèmes ouverts (voir système ouvert) établies par le comité OSI.
Depuis 1968, cette société conçoit, construit et commercialise différents matériels et applications axés autour du graphisme 3D et de la réalité virtuelle.
Evidence est un jeu policier entièrement en images de synthèse (voir image de synthèse). La présentatrice vedette de Channel 7 a été assassinée. Collègue de la défunte et journaliste d'investigation, vous êtes le principal suspect. Votre enquête pour démasquer le coupable va vous confronter à une organisation criminelle et à un trafic de drogue. Avec ses excellents graphismes, Evidence est un savant mélange d'action et de réflexion.
Excel (ou MS-Excel) est le tableur le plus connu de Microsoft. Il a été lancé sur le marché en 1985 en version Macintosh et n'a été proposé en version Windows (généralités) que quelques années plus tard. Depuis 1994, il est proposé en version 5.0 pour Windows (généralités) 3.x et Windows NT. La version 7.0 pour Windows 95 est disponible depuis l'automne de 1995. Une nouvelle version est intégrée à la suite Office 97, sortie au début de l'année 1997.
Avec sa version 4.0, Excel s'est imposé face à ses concurrents Lotus 1-2-3 pour Windows et Quattro Pro pour Windows.
Terme propre au langage ADA désignant une issue de traitement différente de celle qui était attendue. On n'utilise pas le terme "erreur", parce que dans certains cas l'issue exceptionnelle est aussi probable que la normale. Ce qui compte est d'assurer un traitement approprié (voir traitement d'erreurs).
Exchange est le client de courrier électronique livré avec Microsoft Windows 95 (voir Windows 95). Il sert de centrale de communication pour les différents services e-mail (Internet mail, CompuServe, réseau, MSN) et pour la fonction de télécopie de Windows. Exchange se démarre à l'aide de l'icône Boîte de réception située sur le Bureau et offre de nombreuses fonctions confortables pour créer, envoyer, recevoir et gérer messages électroniques et fax. En outre, de nombreux éditeurs (comme Acotex ou RVS-COM) proposent des programmes de communication qui s'intègrent à Exchange par l'interface de programmation MAPI et y ajoutent des fonctions spécifiques comme Euro-File-Transfer ou un répondeur téléphonique pour RNIS. Le CD de Windows 95 contient en outre un programme permettant d'envoyer et de recevoir des e-mails CompuServe avec Exchange.
Actuellement, le nom Exchange est également utilisé pour un serveur de courrier électronique sous Windows NT : Exchange Server. Ce serveur possède des fonctions bien plus étendues que son homologue pour Windows 95. Il est conçu pour l'élaboration d'un serveur de messagerie sur une plate-forme Windows NT. L'ensemble (plutôt cher) est fourni avec des clients Exchange spécialement adaptés au DOS, à Windows 3.1 et Windows 95 ; ceux-ci ressemblent toutefois fortement à la version d'origine pour Windows 95, autant par les fonctions que par la conception graphique.
Le futur client de courrier électronique livré avec Windows 95 (ou son successeur) ne s'appellera très probablement plus Exchange, ne serait-ce que pour éviter la confusion avec Exchange Server et ses propres clients. Les signes précurseurs de ce changement de nom ont pu être observés dans Windows NT 4.0, où le serveur d'e-mail équivalent à Exchange s'appelle Windows Messaging. Mais le programme n'a pas seulement changé de nom, il a aussi connu une modification de ses fonctions.
Depuis la sortie de Microsoft Office 97 (voir Office 97), il existe une extension supplémentaire : le programme Outlook. Non seulement il reprend la nouvelle interface utilisateur d'Office 97, mais aussi un agenda et un carnet d'adresses.
Outlook réunit plusieurs fonctions : courrier électronique, agenda
et carnet d'adresses.
(angl. "EXEcutable") Extension qui caractérise les fichiers comportant un programme exécutable.
Sous MS-DOS, il existe deux types de programmes exécutables qui peuvent être chargés et lancés par l'interprète de commande Command.com lorsque leur nom a été saisi : les programmes .exe et les programmes .com. Alors que les programmes .com sont limités à 64 Ko et que toutes les entrées d'adresse renvoient à l'adresse de démarrage, les fichiers .exe peuvent être beaucoup plus volumineux.
Un programme .exe est une routine qui peut être déplacée dans la mémoire. Par conséquent, toutes les adresses absolues d'un programme doivent être calculées sous DOS avant le démarrage par rapport à l'adresse de démarrage des segments du programme.
Elle repose sur le chemin d'accès logique entre ses différentes étapes. Dans le cadre de la programmation, l'analyse de l'exécution d'un programme constitue une étape importante.
("sortie") Une des commandes les plus fréquemment utilisées sous DOS pour terminer un programme d'application ; sous Windows (généralités), elle permet de sortir du mode Windows si une commande MS-DOS est exécutée.
Voir EMS.
C'est un aspect de la complexité : lorsque le nombre de chemins à explorer (voir stratégie) augmente de manière non linéaire (exponentielle par exemple), le problème ne peut pas être résolu, même avec des ressources de calcul exceptionnelles. Il convient donc de le reformuler.
L'exportation de données consiste à fournir un document réalisé par un logiciel à un autre logiciel d'application.
L'insertion d'un graphique produit par un tableur dans un texte édité par un traitement de texte en est un exemple.
Un programme de conversion ou "filtre d'exportation" est généralement nécessaire pour que le document exporté puisse être lu par le logiciel cible.
L'échange de données entre des logiciels développés par des éditeurs différents est souvent difficile, car les éditeurs n'incorporent pas toujours à leurs logiciels des fonctions d'exportation vers des logiciels concurrents.
Elle peut être constituée de lettres, de chiffres ou d'un "underscore" que l'on ajoute après le nom d'un fichier sous MS-DOS. Les noms de fichier et de répertoire doivent être composés de huit lettres au maximum, suivies d'un point puis d'une extension, pour DOS et Windows 3.x. Cette dernière indique généralement le type ou le format du fichier concerné : ainsi, Document.txt correspond au fichier "document", de format texte. La limitation à huit caractères n'existe plus sous Windows 95 qui grâce à sa FAT virtuelle, gère les noms de fichier. Bien que cela fasse partie de l'usage, il n'est pas nécessaire de donner une extension à un fichier. Sous Windows (généralités), les extensions permettent de lier le fichier au programme d'application : ainsi, lorsque l'on appelle le document à partir du gestionnaire de fichier, l'application dans laquelle il a été créé s'ouvre généralement aussi.
Voir aussi extension de mémoire.
Voir extension.
Tour aux rayons X
On regroupe sous le terme générique "extension de mémoire" tous les procédés permettant d'augmenter la capacité mémoire d'un ordinateur.
La plupart du temps cependant, le terme désigne plus spécialement l'extension de la mémoire de travail déjà présente pour des éléments de RAM. Sur les PC modernes, on utilise habituellement, pour étendre la mémoire, des modules " SIMM", constitués de puces de RAM réunies sur une petite carte et dotés d'un total de 1, 4, 8, 16 ou 32 Mo de mémoire. Ainsi, la mémoire de travail d'un PC doté de 2 connecteurs libres de 2 x 16 Mo de SIMM peut être étendue à 32 Mo supplémentaires. La taille de la mémoire de travail est déterminante pour la vitesse du système, car les systèmes d'exploitation modernes avec interface graphique (comme Windows ou OS/2) ont besoin, pour travailler correctement, de 8 Mo minimum de mémoire de travail.
Recherche qui s'étend sur une ou plusieurs table(s) (fichiers) d'une base de données et qui est formulée sous forme de requêtes (SQL). Voir extraction de texte.
Recherche d'extrait de textes dans un gros volume de données. Outre la recherche dans une base de données structurée, les différents systèmes d'extraction de texte autorisent également la recherche textuelle qui permet de trouver très rapidement des extraits de texte dans un ensemble de données non structuré.
Boîtier de bureau de PC (ou d'autres appareils) qui a la particularité d'être plat. Les boîtiers PC de la catégorie "Pizzacase" ("boîte à pizza") représentent des améliorations de l'extraplat.
Dans les boîtiers plats, les cartes d'extension ne peuvent être disposées qu'à l'horizontale. Pour cette raison, il faut intégrer une carte mère spéciale ainsi qu'un adaptateur d'angle pour les niches d'extension.
Il s'agit de magazines électroniques ("electronic magazines") disponibles sur l'Internet et sur d'autres service en ligne, tels que CompuServe ou America Online.