(Forum des Arts de l'Univers Scientifique et Technologique) Il a lieu tous les deux ans au Parc des Expositions de la ville de Toulouse. Le prochain se déroule au mois d'octobre 1998.
Cette exposition s'articule autour de cinq grands thèmes :
l'image
la musique et le son
le langage
les arts du spectacle
le multimédia
Leurs implications dans les nouvelles technologies seront notamment à l'ordre du jour.
Voir Formula One Grand Prix.
La fabrication des composants (voir composant) d'ordinateurs implique des unités de production très sophistiquées.
Pour assurer une qualité constante de processeurs à la structure toujours plus complexe, la fabrication des puces fait de plus en plus appel aux automates. Leur précision est le fondement le plus sûr du fonctionnement sans erreur des puces (voir puce). De plus, cette fabrication s'effectuant dans des salles blanches (voir salle blanche), la présence humaine a été supprimée pour limiter les intrusions de poussières (combinaisons stériles).
Imprimante BJ 330
(angl. "face vers le bas") Nom du tirage de pages avec l'image tournée vers le bas, la pile de feuilles étant alors placée dans l'ordre approprié.
Cette conception est devenue la norme sur l'imprimante laser et l'imprimante à jet d'encre.
Faces est un jeu de réflexion à mi-chemin entre Tetris et Pac man, mais créant un principe nouveau et original. Il vous faudra faire un effort de réflexion pour atteindre un bon score. Une programmation très réussie et quelques effets graphiques amusants font de Faces un jeu fort prenant.
(angl. "visage vers le haut") Nom du tirage de pages avec image tournée vers le haut, la pile de feuilles se trouvant dans l'ordre inverse.
Voir bande magnétique.
Il s'agit d'un ensemble de câbles isolés (voir câble) et reliés entre eux, d'où partent des terminaisons de câbles, semblables à des branches. Les faisceaux de câbles étaient courants dans les anciens appareils et ordinateurs. Aujourd'hui, ce sont les câbles plats qui prédominent.
La société française Fantôme a été créée en 1985. Elle est spécialisée dans la conception d'images informatiques en 3D ou en 2D pour la télévision et le cinéma.
Programme travaillant en arrière-plan, tel qu'un programme TSR, pendant que les autres programmes sont exécutés normalement.
Abréviation de Fabrication Assistée par Ordinateur, en anglais : CAM (Computer Aided Manufacturing). Il s'agit du contrôle de machines par des moyens informatiques. La FAO nécessite, outre un ordinateur très puissant, des interfaces spécifiques capables de piloter les machines de production à l'aide de programmes extrêmement spécialisés. Dans le monde du micro-ordinateur, cette application commence à acquérir une certaine importance.
Abréviation de "frequently asked questions" ("questions les plus fréquentes"). Il s'agit de présentations qui aident à résoudre les problèmes les plus fréquents des utilisateurs de réseaux (voir réseau informatique) et de messageries. Les réponses sont généralement très complètes et abordent tous les sujets : éléments matériels, programmes, méthodes, etc. Par ailleurs, un "FAQ" contient d'ordinaire des forums (voir forum) de discussion : en les lisant, on trouve souvent la réponse à son problème sans avoir besoin d'entrer dans une longue conversation par e-mail. En français, l'acronyme FAQ a été transcrit par "foire aux questions".
Nouvelle version de l'Ethernet actuellement reconnue par l'IEEE, sous le nom d'Ethernet 100 Base-T et le regroupement des grands constructeurs de la Fast Ethernet Alliance (FEA). Le taux de transfert des données est de 100 Mb/s.
La "FAT" (abréviation de "File Allocation Table", "table d'allocation de fichiers") est un des éléments les plus connus du système de gestion des données de MS-DOS.
Il s'agit d'une sorte de table des matières pour les disquettes et les disques durs : il y a un enregistrement dans la FAT pour chaque cluster du support de données. Un code spécial dans l'enregistrement correspondant indique si le cluster est libre, réservé ou bloqué. Tous les autres enregistrements de la FAT représentent les références chaînées aux clusters par des segments de données.
Un enregistrement renvoie d'abord au premier cluster qui renvoie au suivant et ainsi de suite jusqu'à ce que l'on parvienne à la fin du fichier, indiquée par un code spécial. DOS essaie d'écrire l'ensemble d'un fichier dans des clusters voisins. Si le manque de place l'en empêche, il se peut que les clusters du fichier soient très éloignés les uns des autres. C'est ce que l'on appelle la fragmentation, un des principaux inconvénients de l'utilisation d'une FAT.
Elle présente un autre désavantage : toutes les données du support peuvent être perdues si la FAT est endommagée. DOS met donc, par mesure de sécurité, deux exemplaires de FAT en mémoire au début de chaque support. En outre, les dommages causés à la FAT sont souvent réparables à l'aide de programmes spéciaux, comme le Norton Utilities.
Ce système permet également d'annuler une suppression ("undelete") : lors de la suppression d'une donnée sous DOS, l'enregistrement conserve uniquement un code indiquant que la donnée est effacée et que les grappes qu'elle occupait sont maintenant libres. Tant que l'on n'a rien écrit dans ces grappes, l'effacement est réversible grâce à certains utilitaires (voir undelete).
Jusqu'à l'apparition de Windows 95, le système de gestion de fichiers n'était pas en mesure de gérer des noms de fichier de plus de 8 caractères et des extensions de plus de 3 caractères.
Nouveau système de fichiers livré depuis l'automne 1996 avec la nouvelle version de Windows 95 (appelée Windows 95B ou OEM-Service-Pack). Pour l'instant, il ne peut être lu par aucun autre système, même pas Windows NT. FAT32 permet pour la première fois de gérer sous Windows 95 des partitions de disque dur supérieures à 2 Go (jusqu'à 2 To). De plus, la taille des clusters (voir cluster) a été considérablement réduite. Il n'existe, hélas, aucun moyen de mise à niveau depuis l'ancien système FAT 16 bits. Pour passer à FAT32, il faut partitionner le disque dur à l'aide du nouveau FDISK fourni avec le système, puis le formater entièrement en FAT32. Toutefois, des problèmes ont déjà été signalés avec certains ordinateurs portables : la réactivation d'un disque dur en mode économique peut prendre un certain temps et entraîner des pertes de données. Conseil : le programme Partition Magic 3.0 de PowerQuest permet non seulement de gérer, agrandir, déplacer et supprimer des partitions mais également de formater un disque FAT16 en FAT32 et vice versa, le tout sans perdre une seule donnée. C'est magique !
Abréviation du mot "fac-similé" (reproduction à l'identique). On parle également de "téléfax" et surtout "télécopie". Procédé de transmission de l'ensemble d'un texte écrit, ligne par ligne. À cet effet, le texte à transmettre est inséré dans le fax et balayé ligne par ligne. Les données sont transmises par ligne téléphonique à un autre fax, qui transforme le signal en image de l'original.
Les fax externes sont généralement des appareils mixtes, composés d'un scanner qui saisit l'original, d'un modem qui en envoie la copie et d'une imprimante qui sort sur papier les fax reçus. Les fax incorporés aux ordinateurs, sous forme de carte-fax ou de fax-modem, ne requièrent pas de papier, car la transformation de l'original en sa reproduction graphique a lieu via un driver d'imprimante spécial, qui dirige le fax-modem sans intermédiaire.
Il existe pour l'échange des fax des normes internationales : la plupart des fax stationnaires travaillent selon la norme G3, qui prévoit une transmission à 9 600 bps par le réseau téléphonique analogique. La transmission d'une page A4 prend donc environ 50 secondes. Les fax-modems peuvent même communiquer dans le cadre de la norme G3 à 14 400 bps, ce qui accélère la transmission. La définition est de 200x100 ou de 200x200 dpi. Les fax ISDN, qui suivent la norme G4, acheminent une page en 6 secondes environ. Il s'agit d'une transmission numérique par ISDN qui permet une définition de 400x400 dpi.
Il s'agit d'un modem qui peut servir tant à la transmission de données qu'à celle des fax. En mode fax, le modem utilise le protocole de transmission CCITT V.29 ou V.17 dont le taux de transfert peut s'élever à 14 400 bps. Un programme spécial est nécessaire au fonctionnement du fax-modem. Sous un système d'expIoitation récent, comme OS/2 ou Windows, il est possible de recevoir ou d'envoyer des données et des fax alors que d'autres programmes sont activés (voir programme d'arrière-plan).
Également appelé "Fax on demand" (télécopie sur demande). Procédé permettant d'accéder à une base de données et de se faire envoyer des documents par fax. La communication avec le fournisseur est établie grâce à un télécopieur approprié (voir codage par tonalités) ou un téléphone branché parallèlement au télécopieur. Le demandeur se laisse ensuite guider par une boîte vocale jusqu'au document désiré. Pour effectuer une sélection, il convient d'appuyer sur la touche correspondante du téléphone ou du fax. Le fournisseur envoie ensuite le document choisi par fax.
("Fiber Distributed Data Interface", "interface de données transmises par conducteurs optiques") Technologie de réseau à grande vitesse pour réseaux locaux, fondée essentiellement sur le procédé du bus à jeton ("token ring" en anglais) d'IBM.
L'interface FDDI, présentée pour la première fois en 1986, était une innovation destinée principalement à porter la vitesse de transfert de données des technologies LAN de 16 Mbit/s à 100 Mbit/s. Outre IBM, de nombreux fabricants (Rockwell, Fibronics, AMD entre autres) ont pris part à son élaboration et à sa standardisation définitive par le comité ANSI.
Cette interface peut utiliser, outre la topologie en anneau analogue à la topologie de bus à jeton, la topologie de bus ou la topologie en étoile. Elle s'avère fiable et flexible grâce à des éléments coupleurs différents, disposant de fonctions de sûreté intégrées.
Le "feature connector" (également appelé connecteur de sortie VGA) est une interface de connexion à 26 broches destinée au branchement de cartes graphiques et multimédias. Relié par un câble approprié, il sert à la transmission des données entre une carte vidéo overlay et une carte graphique par exemple, et permet la visualisation à l'écran d'une image vidéo. Le procédé utilisé est semblable au blue-boxing fréquent à la télévision : l'image de fond de couleur unie de la carte graphique est remplacée par l'image de premier plan de la carte vidéo.
Les feature connectors sont de moins en moins utilisés car leurs spécifications techniques sont très limitées.
Le feature connector sur une carte graphique
Imprimante à aiguille
Terme anglais désignant le dispositif d'alimentation feuille à feuille (automatique).
Voir fenêtre.
Ce terme (angl. "window") désigne un espace de travail rectangulaire délimité par un cadre, qui apparaît à l'écran. Le logiciel Windows (généralités) de Microsoft porte ce nom car il utilise des fenêtres pour présenter les surfaces de travail dans les programmes, les documents et les éléments de commande tels que la boîte de dialogue. Les fenêtres sont caractéristiques des interfaces utilisateur graphiques (voir GUI). La souris permet de les déplacer et de les redimensionner : l'utilisateur a ainsi l'impression de travailler sur un bureau avec ses documents et ses différentes surfaces de travail. Cette technique permet d'utiliser simultanément l'écran pour plusieurs éléments ou tâches (voir multitâche). L'utilisateur voit plus clairement les différentes étapes de son travail et peut les organiser à sa guise. En outre, l'emploi de fenêtres accélère l'échange de données entre les programmes et les documents.
Élément graphique qui se présente sous la forme d'un encadrement (visible ou non) enfermant différents éléments, tels que des images ou un texte. Les fenêtres jouent un rôle important dans les logiciels graphiques et de PAO.
Cette expression désigne la fenêtre d'une GUI (interface utilisateur graphique) dans laquelle il est possible d'exécuter une application.
Il est souvent possible d'ouvrir d'autres fenêtres dans une fenêtre d'application. Ainsi, l'application Word pour Windows permet l'ouverture de plusieurs documents.
Cadre affiché à l'écran, dans lequel l'utilisateur peut entrer des instructions relatives à l'exécution d'un logiciel, en sélectionnant par exemple différentes configurations.
Il désigne la fermeture d'une application ou d'une fenêtre de dialogue. Voir aussi QUIT.
(angl. "log off") Action de mettre fin à un travail sur ordinateur. Cette expression est également utilisée dans le domaine de la transmission de données pour désigner la déconnexion d'un réseau local ou mondial ou d'un ordinateur distant.
L'opération inverse s'appelle "ouverture de session" (en anglais "log on" ou "log in").
La feuille de calcul d'un tableur se présente généralement sous la forme d'un tableau composé de lignes et de colonnes.
Permet de présenter les informations d'une base de données sous la forme d'un tableau. Ainsi, les enregistrements de données apparaissent dans les lignes et les champs dans les colonnes (voir enregistrement de données).
Sélection de données extraites à partir d'une base de données. Elle se présente sous la forme d'une table ou d'une liste. Pour obtenir cette feuille de réponses, il faut avoir préalablement défini une requête (base de données) qui permet de sélectionner les données en fonction de critères prédéfinis.
Les lignes et les colonnes du tableur se trouvent sur une "feuille de travail". Les programmes de calcul modernes peuvent gérer jusqu'à 256 feuilles de travail dans un fichier. Les feuilles de travail facilitent le travail structuré avec les différents calculs. Les références (voir référence (programmation)) dans les formules de calcul peuvent également se reporter à d'autres feuilles d'un même dossier de travail ou à des feuilles d'autres fichiers.
(angl. "form feed" : avancement de page) Signal de commande déclenchant le processus d'avancement de page dans une imprimante. Voir aussi form feed.
Technique mathématique qui estime quantitativement la confiance à accorder à un système. La fiabilité matérielle est mieux maîtrisée que celle du logiciel, qui dispose pourtant de certains "modèles". Dans tous les cas, la mesure se fait à partir du temps moyen de fonctionnement correct (c'est-à-dire entre deux "pannes").
Un fichier (angl. "file") est un ensemble de données ayant un rapport entre elles. Le système d'exploitation le considère comme une seule entité (ainsi, il lui attribue un nom spécial), la mémoire de travail permet de le transformer et il est possible de le stocker sur un support de données, par exemple une disquette ou le disque dur.
Le contenu du fichier est très variable : il peut s'agir d'un ensemble de données ayant la même structure (par exemple un fichier client, qui contient des noms, des numéros, etc.), d'un groupe de commandes ou d'un texte avec spécificateurs de format.
Voir aussi :
fichier de commandes différées
fichier de traitement par lots
Fichier auquel on peut avoir accès de manière aléatoire (voir accès aléatoire). Il s'oppose au fichier à accès séquentiel. Il est possible d'accéder en lecture et en écriture à ce type de fichiers à partir d'un emplacement quelconque ; il n'est donc pas nécessaire de les lire en commençant par le début.
Fichier qui peut uniquement être traité à partir du début, et enregistrement par enregistrement. Pour la lecture d'une donnée se trouvant au milieu du fichier, il faut lire toutes les données qui figurent entre le début du fichier et la donnée recherchée. Un fichier séquentiel est opposé à un fichier à accès aléatoire. Le dévideur sert de support de stockage.
Voir fichier de commandes différées.
(angl. "hidden files") Il s'agit de fichiers (voir fichier) que MS-DOS et OS/2 indiquent par un attribut de fichier particulier et qui ne sont pas toujours pris en compte (par exemple lors de l'appel de la commande DIR).
Il sert à enregistrer des procédures et des fonctions auxquelles plusieurs programmes ont accès, procédure, fonction, DLL).
fichier de commandes
différées
Aussi appelé " BAT ". Il s'agit d'un fichier texte contenant une suite séquentielle de commandes, à savoir les commandes internes de l'interprète de commandes ou les noms de programmes exécutables. Il facilite la tâche de l'utilisateur qui peut appeler une série de commandes en indiquant seulement le nom du fichier qui les contient (il fait donc office de macro). Les commandes contenues dans un fichier de commandes différées sont exécutées l'une après l'autre par l'interprète de commandes. L'utilisateur n'a pas besoin d'intervenir, contrairement à ce qui se passe en mode dialogue (voir traitement par lots). Autoexec.bat constitue un exemple de fichier de commandes différées.
Lors de l'enregistrement d'un fichier traité (voir enregistrement de données), la version précédente est enregistrée sous un autre nom, afin qu'il soit possible de la récupérer plus facilement en cas d'erreur.
fichier de traitement par lots
Sous MS-DOS, les fichiers de traitement par lots (angl. "batch") sont des fichiers constitués de suites d'instructions destinées au système d'exploitation et d'instructions de démarrage pour les programmes d'application. Lors de leur appel, ces fichiers sont traités ligne par ligne. Ils sont appelés par leur nom et sont reconnaissables à l'extension .bat.
Ce type de fichier contient une suite d'instructions exécutées par le processeur pour lancer une application. Ces instructions sont chargées par le processeur dans la mémoire de travail. Le BIOS et le système d'exploitation sont constitués de suites de fichiers exécutables et de programmes.
Sous MS-DOS, il existe deux types de fichiers exécutables portant les extensions .exe et .com.
Un fichier imbriqué contient différents éléments extraits d'autres fichiers et exécutés à partir de plusieurs logiciels d'application. Ils sont utilisés notamment par les logiciels de présentation pour réunir des informations prélevées dans une base de données, un tableur, un éditeur de graphiques ou un traitement de texte.
Fichier contenant des INFormations nécessaire à l'installation d'un programme ou d'un pilote.
Un fichier d'initialisation (appelé fichier INI à cause de son extension .ini) comprend les paramètres (voir paramètre) et les procédures d'installation d'un ou plusieurs logiciels (voir logiciel).
Un fichier LOG contient des données utilisées durant l'exécution de certaines procédures.
Une base de données a souvent recours à un fichier LOG pour décrire toutes les modifications de l'enregistrement de données qui ont été effectuées pendant une session. Il permet de corriger des erreurs éventuelles.
Un fichier patch ou un patch est un programme qui permet d'éliminer les bogues (voir bogue) d'un logiciel.
Les patchs sont disponibles sur l'Internet ; il est également possible de se les procurer gratuitement auprès de l'éditeur du logiciel.
Voir fichier source.
Un fichier source est un fichier texte comportant des codes de programmation. Selon le langage de programmation utilisé, le fichier source est traduit par un compilateur ou un assembleur en un programme machine exécutable ou bien il est traduit et exécuté interactivement par un interprète.
La plupart des ordinateurs utilisent des fichiers temporaires, appelés également fichiers temp. Il s'agit de fichiers créés lors d'une session de travail, le plus souvent dans un dossier spécifique et configurable, en vue du stockage temporaire d'informations. Des programmes de traitement de texte comme Word stockent régulièrement de tels fichiers lors d'une session de travail. Le système d'exploitation peut lui aussi créer des fichiers temporaires. Ils sont généralement reconnaissables à l'extension .tmp. Le nom attribué au fichier par le programme consiste la plupart du temps en un numéro. Normalement, tous les fichiers temp sont détruits à la fin de la session de travail.
Pour l'utilisateur, les fichiers temporaires jouent plusieurs rôles. Il peut par exemple arriver qu'ils ne soient pas supprimés après une panne du système. Si cela se produit souvent, un nombre considérable de fichiers temp peut s'accumuler sur le disque dur et prendre de l'espace. De plus, ils constituent souvent le seul moyen de récupérer des données perdues lors d'un dysfonctionnement du système. À titre d'exemple, Word enregistre une ou plusieurs copies du document en cours de traitement sous forme de fichier temp. Ils permettent éventuellement de reconstruire le texte perdu.
N'importe quel gestionnaire de fichiers montre qu'à la longue de nombreux
fichiers temporaires s'accumulent dans le dossier Temp
La présence de fichiers temp est une des principales raisons pour laquelle un ordinateur, même doté de beaucoup de mémoire vive, accède régulièrement au disque dur lors d'une session de travail, ce qui est un facteur de ralentissement non négligeable. Il est donc possible d'augmenter considérablement les performances en exportant les fichiers temp vers un lecteur virtuel (appelé également disque RAM). Sous DOS et en partie sous Windows, les variables d'environnement Temp et Tmp définissent, pour beaucoup de programmes, l'emplacement de stockage des fichiers temporaires. Elles sont configurables à l'aide de la commande Set dans le fichier Autoexec.bat (p. ex. set temp = c:\temp). La plupart des programmes récents pour Windows offrent la possibilité de définir le dossier Temp par une boîte de dialogue.
Il s'agit d'un réseau privé couvrant le monde entier et géré par des amateurs. Il sert surtout à l'échange de messages publics ou privés. Les messages privés n'ont qu'un seul destinataire, les messages publics s'adressent à des groupes de discussion (Échos) organisés par thèmes et tous les membres du réseau (appelés "points") y ont accès. Il est facile de devenir membre du réseau Fido et beaucoup de messageries (voir serveur télématique) le sont.
Le réseau Fido fut fondé en 1984 par les Américains Tom Jennings et John Madill. Il porte le nom du chien de Jennings. Il compte aujourd'hui 35 000 noeuds (noeud) et un très grand nombre de points.
Voir FIFA Soccer.
Dans la simulation de football FIFA Soccer, le joueur peut choisir d'être entraîneur, de disputer un match amical ou un championnat. Outre le jeu proprement dit, FIFA Soccer offre de nombreuses options.
La mise à jour FIFA Soccer 97 comprend un graphisme SVGA, des images 3D en temps réel, un câble de liaison "Serial Link" pour les consoles de jeu afin de jouer à plusieurs et la participation de David Ginola et de Thierry Gilardi. Voir Electronic Arts.
Le "fil" ou la "filière" désigne la plus petite unité exécutable dans un processus multitâche. Chaque fil comporte ses propres compteurs de programme, sa propre mémoire de traitement par lots, etc. Un processus est composé d'au moins un fil et peut à tout moment en produire d'autres. Sous OS/2 et sous Windows 95, le mode multitâche vaut pour les filières.
(angl. "dossier", "classeur", ou "fichier") Voir file access et file allocation table.
Voir aussi : file d'attente.
(angl. "accès au fichier") Il s'agit du fait d'ouvrir un fichier pour lire ou taper des données.
Voir FAT.
Procédé d'enregistrement dans une mémoire tampon selon le principe FIFO ("first in, first out" ; voir mémoire tampon FIFO).
Une file d'attente se forme lorsque les producteurs de données sont plus rapides que les consommateurs de données. C'est le cas lors d'une impression, par exemple.
Lors de la commande de plusieurs tâches d'impression (voir tâche), le système d'exploitation gère une file d'attente des tâches, classées par ordre d'arrivée.
Voir transmission de données.
Utilisé lorsque l'on veut visualiser uniquement un sous-groupe déterminé à l'intérieur de la base de données. De ce fait, le filtre travaille de manière analogue à une requête (base de données), mais il n'y a pas de mémorisation.
La fin d'un fichier est souvent signalée explicitement par une indication telle que le caractère de commande EOF (abréviation de "End of file", "fin de fichier"). Mais le système d'exploitation peut, grâce au gestionnaire de fichiers, connaître la taille d'un fichier sans avoir à "dérouler" celui-ci jusqu'à l'EOF, ce qui pourrait être extrêmement long.
Composante de l'interface standard Macintosh, permettant de voir le contenu, de copier ou de supprimer un dossier et de lancer les applications. Il a été le premier système à icônes. Voir GUI, MultiFinder.
Commande originaire du monde UNIX (et disponible sur la plupart des ordinateurs reliés à l'Internet), FFINGER permet de connaître l'adresse électronique (voir e-mail) d'un correspondant. Cette commande est envoyée avec le nom réel à l'hôte concerné, par exemple FINGER Jean Dupont@hôte.domaine. S'il y a une réponse, le nom d'utilisateur (par exemple jeand) ainsi que le nom réel, le répertoire et la date de la dernière ouverture de session sont renvoyés. Avec FINGER, il est également possible d'obtenir une liste de tous les utilisateurs en cours de session, ainsi que des informations sur l'état des programmes sur un hôte particulier.
FINGER permettant de disposer d'informations assez personnelles et donc de les utiliser à mauvais escient, certains hôtes en ont interdit l'utilisation pour des raisons de sécurité.
Fire Fight est un shoot'em up en SVGA, doté d'un mode multijoueur. Contrairement à la majorité des shoot'em up, votre vaisseau n'avance pas en permanence sur un plan horizontal ou vertical (scrolling), mais peut tourner sur lui-même, partir dans la direction que vous voulez, ou encore rester immobile. Les graphismes sont excellents, mais le jeu nécessite Windows 95, une carte graphique de 2 Mo et des pilotes vidéos récents.
Également appelé standard IEEE-1394, ce système a été développé en 1986 par Apple Il permet de brancher plusieurs périphériques différents sur un bus.
Nom donné aux logiciels que le fabricant a installé sur la mémoire morte (voir ROM). On en trouve à presque tous les niveaux de l'ordinateur et de ses périphériques (voir matériel informatique).
Ingénieur américain. Il a débuté au MIT, puis travaillé chez Atari. Il est l'un des pionniers de la réalité virtuelle qu'il aborde pour la NASA dans le cadre du projet "VIEW".
Il travaille aujourd'hui pour son compte dans une société appelée Telepresence et continue à développer des outils VR.
Voir drapeau.
Littéralement "brûlant", par extension "infernal". Mot désignant la provocation et/ou l'affront (parfois insultant) sur l'Internet, notamment dans les forums de discussion (chat), par courrier électronique ou dans un newsgroup. À titre d'exemple, si un utilisateur de news publie des propos que d'autres utilisateurs considèrent comme sexiste ou raciste, il s'expose à un flaming. La réaction peut se traduire par un message d'avertissement, plusieurs messages protestataires et/ou injurieux voire un "bombardement" massif de courriers électroniques (voir bombardement de mails).
Type de mémoire dont le comportement est proche d'une mémoire vive mais dont les informations restent stables, même sans alimentation électrique. On les retrouve surtout sous forme de cartes PCMCIA et de mini-cartes de stockage pour les appareils photo numériques. Il s'agit souvent d'une mémoire flash qui stocke les informations du BIOS, permettant ainsi de le remplacer par une version plus récente.
Terme familier désignant un scanner de sortie. Pour produire des livres, des journaux, des catalogues, etc., le texte et les images sont édités directement par une "flasheuse" sur les films destinés à la machine à imprimer. Par rapport à une imprimante laser, la flasheuse dispose d'une résolution bien plus élevée, qui rend possible la reproduction de photos sans trame reconnaissable. La flasheuse utilise en général 1 270 dpi pour le texte et 2 540 dpi pour les photos.
Voir écran plat.
Voir curseur.
Flight Simulator est la référence en matière de simulateur de vol : même les pilotes chevronnés l'utilisent pour améliorer leurs performances. Il dispose d'un large éventail d'avions, de paysages, d'aéroports, de situations préenregistrées, d'images en 3D et de sons très réalistes. L'école de pilotage vous apprend à décoller et à atterrir sans dommages. Il existe, de plus, des programmes permettant de créer ses propres avions et ses scénarios.
Voir aussi Flight Unlimited.
Le simulateur de vol (jeu) Flight Unlimited est une simulation (jeu) qui, pour assurer un maximum de vraisemblance, a renoncé à tout élément d'action. Il s'agit en fait d'une simulation de voltige aérienne. Ainsi, l'avion peut être piloté parfaitement au cours de différentes simulations de vol. En outre, le jeu offre un excellent graphisme SVGA qui ressemble à de véritables photographies.
Voir aussi Flight Simulator.
Le flipper ou jeu de flipper est un jeu électronique qui simule les flippers des salles de jeu.
Les flippers sur ordinateur s'inspirent des classiques des salles de jeu (voir Pro Pinball - The Web) ou ont été créés de toutes pièces (voir Psycho Pinball, Pinball Dreams, Tilt, 3D Ultra Pinball et Pinball World).
Plusieurs modèles de flippers sont fournis dans un même jeu.
Voir opération en virgule flottante.
Disquette
(angl. "floppy disk" : disque souple) Désigne la disquette et est qualifié de "souple" car les disquettes 5 pouces 25 sont souples. Ce nom désigne aussi fréquemment le lecteur de disquettes lui-même.
Voir floppy.
(fusion de "floppy" et "optical" : "flexible" et "optique") Dans un lecteur "floptique", les informations sont enregistrées magnétiquement, exactement comme sur une disquette, mais la tête de lecture/écriture est également guidée vers des marques concentriques portées sur le support de données par un servo-mécanisme, au moyen d'un rayon laser. Ce procédé permet d'obtenir une densité de piste largement supérieure à celle des disquettes traditionnelles.
Un lecteur floptique peut lire et graver des disquettes traditionnelles, ainsi que les FOD spéciaux (abréviation de "floppy optical disk"), d'une capacité de 20,8 Mo.
Sur les FOD, les marques concentriques sont inscrites dès le stade de la fabrication, à l'aide d'un rayon laser.
Simulateur de vol qui nous plonge dans les grandes batailles aériennes de la Première Guerre mondiale (simulation (jeu)). Il est possible de choisir l'appareil (par exemple l'Albatros DIII ou le triplan Fokker Dr 1) et la campagne (4 sont à votre disposition).
Voir floptical.
Directeur fondateur du centre interdisciplinaire à l'institut de technologie de Géorgie et professeur dans les domaines de l'infographie et de l'électricité.
Il a effectué des recherches et écrit des ouvrages sur les outils de développement des interfaces (voir interface), les interfaces logicielles, le multimédia, la visualisation des informations, les facteurs humains influant sur l'interface utilisateur.
Artiste belge né en 1934. Son univers graphique très dépouillé, aux pigments acides et pastels, s'inspire des textes de Kafka et a considérablement influencé les interfaces d'Apple.
En mathématiques, formule établissant une relation d'équivalence entre des valeurs (deux ou plus, par exemple : y = 2x + 3).
En programmation, une fonction est une partie de programme à laquelle une valeur est attribuée (une variable, un nombre, etc.), puis qui traite cette valeur pour obtenir un résultat (voir formule).
Voir aussi :
Voir fonction trois dimensions.
Voir aide.
Formule disponible dans le logiciel ou développée par l'utilisateur lui-même. Les fonctions trouvent leur application lors de calculs typiques et fréquents, comme le calcul des intérêts composés.
Édite à l'aide d'un programme d'application des documents qui ne diffèrent qu'en certains points.
Il est ainsi possible de relier un texte d'invitation fixe aux adresses de chaque destinataire dans une série de lettres. On s'épargne donc le travail pénible de changer soi-même les coordonnées des destinataires, qui sont contenus dans un fichier séparé, le fichier des données ou fichier source.
Lors du publipostage, deux documents sont notamment requis. L'un contient le texte invariable (dit document principal) et l'autre comporte les données variables (le fichier source déjà mentionné).
La fonction de publipostage permet également de produire des étiquettes destinées à différents usages.
Voir exportation de données.
Voir importation de données.
Fonction (ou intersection) qui constitue une opération de l'algèbre booléenne et dont le résultat correspond à la valeur logique VRAI, uniquement si chacune des valeurs de la relation consiste en une valeur VRAI.
La fonction logique NON, ou négation, constitue une opération de l'algèbre booléenne et transforme une valeur en son inverse : VRAI en FAUX (0) et FAUX (0) en VRAI.
La fonction logique NON-ET constitue une opération de l'algèbre booléenne et représente une liaison entre une négation (voir fonction logique NON) et une intersection (voir fonction logique ET).
La fonction logique NON-OU constitue une opération de l'algèbre booléenne qui représente une liaison entre une négation (voir fonction logique NON) et une disjonction (voir fonction logique OU).
La fonction logique OU exclusif constitue une opération de l'algèbre booléenne qui renvoie un résultat VRAI lorsque l'un des deux opérandes a la valeur VRAI. Lorsque les deux opérandes ont la valeur VRAI ou FAUX (0), le résultat est FAUX (0).
La fonction logique OU ou disjonction est une opération de l'algèbre booléenne qui renvoie un résultat VRAI lorsqu'un opérande ou les deux opérandes ont la valeur VRAI. Lorsque les deux opérandes ont la valeur FAUX(0), le résultat est FAUX (0).
Victory 3D
Sur certaines cartes graphiques, des "fonctions trois dimensions" sont préprogrammées sur une puce pour le calcul des images en trois dimensions (voir aussi carte 3D). La représentation d'images en trois dimensions est donc accélérée et le processeur de l'ordinateur peut alors utiliser sa puissance de calcul pour d'autres tâches. Pour profiter pleinement des possibilités d'une carte graphique, il faut utiliser des gestionnaires et des programmes appropriés.
Contrairement à une fonction/macro intégrée, une fonction/macro étendue (angl. "add-on") est un programme indépendant qui peut être utilisé par plusieurs logiciels d'application et qui est souvent fourni avec un ensemble logiciel.
Un logiciel de visualisation permettant d'afficher les images ou les vidéos d'un document multimédia représente un exemple de fonction étendue.
Une fonction ou une macro est dite intégrée (angl. "add-in") lorsqu'elle est livrée avec un logiciel, tel qu'Excel ou Access de Microsoft, ou lorsqu'elle est fournie par un autre éditeur pour être ajoutée au logiciel.
Les fonctions intégrées permettent par exemple d'effectuer des importations ou des exportations de données (voir importation de données et exportation de données) à partir d'une application.
Les interfaces utilisateur graphiques (voir GUI), telles que Windows (généralités) et le Workplace Shell de OS/2, présentent sur l'écran un environnement semblable à celui d'un bureau. Tous les programmes (voir programme) sont exécutés sur cette surface de travail sous forme de fenêtres (voir fenêtre), si bien que le bureau lui-même est souvent dissimulé à l'arrière-plan. MS-Windows et de nombreuses autres interfaces graphiques permettent à l'utilisateur de décorer ce "fond d'écran" à son goût, à l'aide d'une image mappe binaire appelée "papier peint".
Jeu de caractères d'une police. Par le passé, il fallait installer une fonte spécifique sur chaque dispositif de sortie et pour chaque taille de caractères. Depuis l'introduction du langage de description de caractères PostScript, la modification de la taille des caractères n'entraîne pas de perte de résolution. Les caractères ne sont plus enregistrés sous la forme de matrices de points mais sous la forme de vecteurs (voir image en mode vectoriel).
On peut citer, par exemple, TrueType, qui est une technique de représentation des polices indépendante du dispositif de sortie et conçue par Microsoft pour Windows. D'autres polices vectorielles sont également disponibles pour la sortie sur écran ou sur imprimante. Des polices téléchargeables ou stockées sur des modules enfichables peuvent également être utilisées sur des imprimantes.
Imprimante à aiguille
(angl. "présentation de feuille") Désigne le transport du support d'impression sur une imprimante et la mise en place de la page suivante.
C'est le signal de commande FF (voir FF) qui contrôle cette fonction. La présentation de feuille peut également être déclenchée directement sur l'imprimante, au moyen d'une touche spéciale.
Outre qu'il régit la saisie et la présentation des données, un format détermine le type de données et leur structure sur un support de données.
Un format texte établit le mode de présentation d'un texte. Dans un format texte, on trouve les caractéristiques des caractères et de la mise en page, tels que la police de caractères, la taille des caractères, l'italique, le gras, l'interlignage, les retraits, etc.
Un format de fichier détermine le mode de saisie des données du fichier. En général, un fichier ne peut être lu que par les logiciels d'application qui reconnaissent son format ; une autre possibilité de lecture est l'importation de lecture.
Voir aussi :
Dénomination d'une suite d'informations utilisée par un programme pour mémoriser des données. Lors de la mémorisation, on commence par l'en-tête, où sont conservées les informations concernant l'utilisation des formats, des polices, etc., et on continue par les données proprement dites.
Comme les divers programmes utilisent des formats de fichier différents, l'origine est indiquée également par la terminaison (ou extension), à savoir les 3 dernières lettres du nom de fichier. Pour beaucoup de programmes, cette terminaison est plus importante que l'en-tête, de sorte que la conversion ne peut réussir qu'avec une terminaison adéquate. Par exemple, les fichiers portant l'extension .XLS contiennent une feuille de calcul sous Excel.
Certaines émissions diffusées au format cinéma (correspondant aux capacités de l'œil humain) produisent sur les anciens écrans de télévision un cadre noir en haut et en bas de l'image. Les téléviseurs récents, qui prennent en charge le format 16/9 par une forme adaptée du tube cathodique (rapport de taille entre la largeur et la hauteur), peuvent passer à la largeur plein écran et produisent une image non déformée, plus nette et presque sans scintillement.
Toutefois, seuls les films enregistrés spécialement au format 16/9, tels que les productions de cinéma, peuvent fournir une véritable image sans distorsion. La nouvelle norme PALPlus contient le format 16/9.
Cadre dans lequel le type et/ou la structure des données sont définis. Les différents formats proposés permettent également de définir le type de données.
Dans un traitement de texte simple, un texte non formaté se présente sous la forme d'une suite de caractères. Par contre, dans un traitement de texte plus complexe, le format des données comprend aussi la mise en page du texte et les caractéristiques des caractères.
Le format des données d'image comprend le nombre de pixels et de lignes de l'image ainsi que le procédé de compression éventuellement utilisé.
Le format des données est indispensable pour l'enregistrement et le traitement des informations par un ordinateur.
Extension du standard ISO 9660 pour la fabrication de CD. Les CD vierges créés avec le format Joliet peuvent contenir des noms de répertoire et de fichier de 64 caractères maximum. Ils ne peuvent cependant être lus que par des ordinateurs exécutant Windows 95. Si vous essayez par exemple d'accéder à un tel CD sous DOS, vous n'obtiendrez qu'un fichier Lisez-moi signalant des problèmes d'incompatibilité du format Joliet.
Avec un programme d'écriture de CD approprié (ici CD Creator de
Corel/Adaptatec), le format Joliet est accessible par un simple clic
(angl. "landscape") Orientation horizontale de la page. Format de documents papier ou d'autres types de supports pouvant être préprogrammé pour un tirage sur support d'impression (voir traitement d'image).
Voir aussi format portrait.
Orientation verticale de la page (de documents papier ou d'autres types de supports). Voir aussi format paysage.
Préparation d'une disquette, d'un disque dur ou d'une bande de dévideur pour le stockage des données. Comme les données sont stockées de manière ordonnée sur la couche magnétique, il faut fixer d'abord la structure (pistes et secteurs) de celle-ci, ce qui s'obtient par une opération de formatage.
Le procédé peut être comparé au fait d'utiliser pour écrire un papier rayé qui fixe non seulement le format (vertical ou horizontal) mais aussi le nombre des lignes. Le formatage rend possible l'écriture sur le support de données en attribuant des numéros aux unités ordonnées.
On vérifie également lors du formatage les défauts de surface des supports. Le formatage efface toutes les données du support, mais reste réversible, si des données n'ont pas été stockées immédiatement après. C'est pourquoi le formatage du disque dur du PC ne devrait être entrepris que dans des cas extrêmes.
Voir aussi :
Intérieur d'unité de disque dur
Le formatage d'un support de données au plus bas niveau est appelé "formatage de bas niveau" ou encore "préformatage". Les pistes et les secteurs, contenant les informations de gestion correspondantes, sont ainsi gravés sur la surface magnétisable. Le format de bas niveau est le format situé au niveau du BIOS d'un PC, ou sur les disques durs modernes, le format interne de l'appareil. Le système d'exploitation, comme MS-DOS ou OS/2 par exemple, doit élaborer en fonction de ces paramètres un format spécifique. Les structures de gestion (voir FAT) du système de fichier sont conçues au même moment.
Sur une disquette, le programme FORMAT procède aux deux formatages (de bas niveau et, par exemple, format DOS).
Sur un disque dur ancien, on devait, il y a quelques années, exécuter d'abord le préformatage à l'aide d'un programme spécial mémorisé en partie dans la mémoire morte du BIOS du contrôleur de disque dur, puis le partitionnement avec FDISK (voir partition) et finir le formatage DOS ou OS/2 proprement dit avec la commande FORMAT.
Les disques durs actuels (voir IDE, EIDE ou SCSI) sont livrés préformatés. Un formatage de bas niveau à l'aide d'un programme traditionnel pourrait provoquer sur ces disques des dommages sérieux, si bien que la plupart des disques durs n'autorisent pas ce type d'opérations.
Choix des paramètres qui déterminent l'aspect d'une page imprimée.
Lorsqu'il s'agit de déterminer le type, la taille et l'aspect des signes, on parle de formatage des caractères (voir également traitement de texte).
Le formatage d'un paragraphe comprend par exemple l'interligne, le cadrage à gauche ou à droite, les blocs de texte, les insertions.
On trouve, dans le cas du formatage des pages, la pagination, le placement de notes de bas de page, l'emploi de lignes d'en-tête et de bas de page et le format de la page (portrait ou paysage).
Il existe, en plus, des formatages spéciaux : par exemple, la position des éléments textuels et le format du cadre.
Dans une base de données relationnelle, la structuration des données (voir structuration (base de données) ) est soutenue par un ensemble de règles dans lequel les formes normales jouent un rôle primordial.
Dans la première forme normale, les attributs d'une relation (table) doivent être élémentaires par rapport à leur type de données ou celui de la tâche.
(ou BNF, ou forme de Backus-Naur) Forme de notation de la syntaxe d'un langage de programmation. Elle doit son nom à ses deux inventeurs, John Backus (né en 1921) et Peter Naur (né en 1928), qui l'ont développée pour définir le langage de programmation ALGOL 60.
Pour la petite histoire, ce type de notation semble exister depuis longtemps, puisque Panini, le premier grammairien indien, l'a déjà utilisé pour normaliser le sanskrit (langage de programmation de l'époque).
Le jeu de course automobile Formula One Grand Prix a été commercialisé en 1991 et est rapidement devenu un jeu culte. Cette simulation de Formule 1 se caractérise principalement par ses situations réalistes et ses nombreuses options.
La mise à jour Formula One Grand Prix 2 offre un graphisme exceptionnel et des options supplémentaires. Cependant, pour pouvoir profiter du graphisme SVGA, il faut disposer d'une configuration matérielle relativement puissante.
Appelé aussi "masque", le formulaire permet de présenter, de saisir ou de traiter un enregistrement de données. Contrairement à une table, seuls les enregistrements de données y sont présentés (voir base de données, masque de saisie).
Instruction ayant une syntaxe particulière.
Les formules sont largement employées dans un tableur pour effectuer des calculs à partir des données saisies (voir formule de calcul).
En principe, les instructions de calcul ou les autres types de commande doivent être transmis au processeur sous la forme d'une formule afin que ce dernier puisse les interpréter sans risque d'erreur.
Dans le cas du tableur, instruction de calcul sur des contenus de cellules indiquées par leurs adresses. Voir formule.
(angl. "strong"/"weak") C'est l'indication du degré de conformité à une norme, à un principe, etc. Un typage "fort" et une modularité "forte" indiquent que le caractère abstrait de l'entité est respecté par le programmeur et vérifié par un outil (le plus souvent, le compilateur). Le qualificatif "faible" dénote l'application minimale du principe en question : tous les langages actuels empêchent de mélanger par inadvertance des chiffres et des lettres.
Langage de programmation développé par C. Moore. FORTH a été conçu comme une extension du "vocabulaire" (ensemble des fonctions) du langage de programmation disponible avec l'assembleur de chaque ordinateur. Le programme revenait à définir des "mots" nouveaux, la performance de l'exécution restant celle du langage originel. L'accélération des performances du matériel informatique a réduit sensiblement l'intérêt de cette approche pionnière.
(angl. "FORmula TRANslator" : "traducteur de formules") Langage de programmation développé dès le début des années 50, pour exécuter des calculs mathématiques. Par rapport à un langage de programmation ultérieur, FORTRAN manquait de fonctions pratiques pour traiter les chaînes de caractères (voir chaîne), et encore plus, les ensembles de données. Malgré ses imperfections, FORTRAN a largement contribué aux progrès des autres langages. De plus, étant limité dans ses ambitions en matière de calcul, FORTRAN, renouvelé par des normes régulièrement actualisées et grâce à de très importantes bibliothèques mathématiques, reste, pour un vétéran des langages de programmation, très demandé par les scientifiques.
On appelle ainsi un groupe de discussion sur CompuServe. Il y en a plus de 600, organisés par thèmes. Ce terme est également employé sur le Web.
("Fido/Opus/SEAdog Standard Interface Layer") Nom d'un driver ou pilote, conçu à l'origine pour permettre de mieux commander les interfaces en série (voir interface série) et de les rendre plus rapides. On l'utilise surtout avec les cartes ISDN contenant des commandes-At (voir commande-At).
Voir provider Internet.
Grand concurrent de dBase sur le marché des logiciels de base de données pour micro-ordinateurs.
En 1992, la société Fox Software, qui développa et commercialisa FoxBase, fut rachetée par Microsoft pour 175 millions de dollars. Le système de base de données FoxBase fut ensuite amélioré et baptisé "FoxPro".
(angl. "floating point unit" : unité de virgule flottante) Désigne le coprocesseur arithmétique d'un calculateur. La FPU permet de résoudre beaucoup plus rapidement les opérations à virgule flottante que l'UCT, qui ne connaît que les valeurs exprimées en nombres entiers.
Société américaine fondée en 1991 et spécialisée dans les logiciels graphiques (voir logiciel). Au mois de mai 1996, Fractal Design a absorbé Ray Dream, leader de l'illustration 3D.
Le logiciel Detailer est l'un des derniers produits sortis par Fractal Design.
Les termes "fractale" et "géométrie fractale" ont été inventés au cours des années 60 par le mathématicien Mandelbrot.
Contrairement à la géométrie euclidienne, la géométrie fractale ne s'intéresse pas aux formes simples, telles que les droites, les cercles, les cubes, les sphères, etc., mais aux structures complexes telles qu'elles apparaissent dans la nature : l'intérieur d'un chou, le sommet d'une montagne ou le rivage d'un lac.
Une fractale présente les caractéristiques suivantes :
l'homomorphisme : sa plus petite partie ressemble (après agrandissement) à l'objet entier : ainsi, l'agrandissement de la structure d'une partie du sommet d'une montagne ressemble à l'ensemble de la montagne, alors que lorsqu'on agrandit progressivement une partie de la surface d'une sphère, cette partie ressemble à une surface plane ;
un dimensionnement fractionné et varié : le nombre de dimensions de la surface d'une montagne est compris entre 2 (surface) et 3 (volume).
Les fractales permettent d'appréhender mathématiquement des phénomènes naturels complexes, tels que des surfaces ou des objets irréguliers, et de les modéliser par ordinateur. Elles sont également utilisées pour la compression de fichiers (compression fractale).
Disque dur
La "fragmentation" est le stockage parcellaire et disséminé de données sur un support de données. Elle est une conséquence de l'utilisation de la FAT de MS-DOS.
En mémorisant, la FAT commence toujours par la première unité d'affectation libre (le "cluster") sur le support de données. Si la quantité de mémoire n'est pas suffisante pour le fichier, le reste du fichier est écrit dans d'autres clusters, qui peuvent cependant se trouver dispersés sur tout le disque dur à la suite de travaux intensifs, comme le stockage et l'effacement de données.
On appelle alors "fragmentation" ce stockage dispersé.
Une des conséquences de la fragmentation est la nette réduction de la vitesse d'accès, car les têtes de lecture/écriture doivent aller chercher les fragments de données en différents endroits du support.
Un support de données peut être défragmenté à l'aide de programmes spécifiques, comme DEFRAG de MS-DOS. Tous les fichiers sont alors copiés sur des grappes successives, ce qui augmente les performances du disque dur et réduit l'usure du mécanisme.
Ce mot anglais assez vague, qui signifie "cadre", est utilisé dans de nombreux domaines et désigne généralement une partie d'un ensemble de données. C'est dans le domaine du cinéma qu'on le trouve le plus souvent, pour indiquer une image particulière dans une séquence. Un "framegrabber" est donc une carte d'acquisition vidéo permettant d'extraire une image et de la stocker en mémoire. En transmission de données, un frame est un bloc de données, une unité de transmission. En PAO, un frame désigne une page unique dans une publication. En HTML, un frame est une instruction permettant de créer un système de fenêtre avec ascenseur.
"Capteur d'images" permettant de numériser des images pour le traitement sur ordinateur. Elles peuvent ensuite être enregistrées et imprimées par un logiciel approprié. Un exemple récent est le programme Snappy de Logitech. Voir aussi saisie vidéo.
Logiciel d'Adobe pour la PAO des documents techniques longs, complexes et fortement structurés.
Logiciel intégré créé par Aston-Tate, qui était très utilisé sous MS-DOS.
C'est seulement depuis 1990 que l'exploitant des télécommunications en France s'appelle officiellement France Télécom. Il agissait jusque là sous le nom de Direction Générale des Télécommunications (DGT), dans le cadre de l'administration des PTT. Le statut réformé de 1990 en a fait une entreprise de service public, et la poursuite de son évolution statutaire, sous l'influence d'un mouvement général de déréglementation dans le monde, l'a transformé, le 1er janvier 1997, en société anonyme dans laquelle l'État conserve néanmoins la majorité du capital.
Dans l'effort de reconstruction d'après-guerre, le téléphone est oublié, et c'est seulement à la fin des années 60 que l'énorme décalage entre la demande et l'offre (il peut falloir plusieurs mois pour obtenir une ligne de téléphone !) fait prendre conscience aux responsables de l'urgence d'une relance (Plan de rattrapage du téléphone). Pour faire bonne mesure, il est également décidé de consacrer de larges crédits au développement de la télématique en France, dont l'intérêt est confirmé par l'expérience de Vélizy (Vélizy (expérience de) ), et qui se traduit par la fabrication d'un terminal grand public, le Minitel, et la création de Télétel.
Après plus de 10 ans de réussite du vidéotex en France, l'essor de l'Internet a obligé France Télécom à réviser sa politique en matière de télématique. L'entreprise publique a su le faire avec plus de célérité que par le passé dans des circonstances analogues : création d'un service d'accès à l'Internet, Wanadoo, création d'un "kiosque IP" permettant de bénéficier de la tarification téléphonique locale pour les accès à l'Internet. Des progrès restent néanmoins à faire sur ce dernier point, et en plus du défi de l'Internet, France Télécom devra affronter dès 1998 celui de la libre concurrence sur tous les services téléphoniques et non plus seulement le téléphone mobile.
Professeur au Département d'Informatique de l'Université Louis Pasteur de Strasbourg, rattaché à l'équipe de Recherche en Informatique pour l'Imagerie (ERII). Ses travaux sont connus dans le monde entier (modélisation à base topologique, géométrie discrète, etc.).
Voir infographie.
CD-ROM qui permet de mieux connaître les œuvres du célèbre architecte, à qui l'on doit notamment le musée Guggenheim à New York. Il présente au total 360 oeuvres de Frank Lloyd Wright, ainsi que sa biographie et des documents audio et vidéo. L'utilisateur peut également visiter trois maisons représentées en 3D.
La FSF a pour but de dépasser les limites qui pèsent sur la copie, la modification du source (programme), la distribution et la documentation des logiciels. Ses membres développent les logiciels GNU (voir UNIX).
Voir aussi : freeware.
Suite graphique développée par Macromedia et mise sur le marché à la fin de 1996. Elle contient des versions actualisées et rénovées de Freehand, XPress et Extreme 3D. Ces trois versions permettent d'intégrer les créations graphiques dans une page Web.
Logiciel édité par Macromedia, concurrent d'Illustrator ; c'est souvent lui qui lance les nouveautés : traitement de mappe binaire, et bientôt ouverture à l'Internet. Voir Freehand Graphics Studio.
Ce logiciel de présentation édité par Lotus permet de concevoir et de présenter des projets et des comptes-rendus. Il met l'accent sur la simplification des fonctionnalités de travail en groupe et fait partie de la suite bureautique Smartsuite.
Voir logiciel libre.
Nombre de fois par seconde où l'écran est balayé verticalement. Cette fréquence est exprimée en hertz.
Fréquence de renouvellement d'image. Voir fréquence du moniteur.
Nombre de fois où un échantillon sonore est répété sur une fréquence de temps donnée. Voir échantillonnage.
Processeur Pentium Pro
La "fréquence d'horloge" détermine le nombre de commandes élémentaires qu'un processeur ou un autre composant de l'ordinateur peut exécuter en une unité de temps. Plus la fréquence d'horloge est élevée, plus l'exécution s'effectuera rapidement. Une fréquence d'horloge de 100 MHZ indique qu'un processeur est alimenté à 100 millions d'impulsions par seconde et peut, de ce fait, exécuter autant d'opérations par seconde. La fréquence d'horloge est réglée par un cristal de quartz, qui, lors de l'application d'une tension, vibre à une fréquence déterminée.
Elle est limitée par plusieurs contraintes physiques (les échanges électromagnétiques, la perte de performance, etc.) mais, grâce à des efforts incessants, les fabricants parviennent à l'améliorer à chaque nouvelle génération d'ordinateurs.
La fréquence d'horloge du processeur est un multiple de la fréquence d'horloge de la carte mère. Tandis que la fréquence des processeurs est toujours augmentée, la fréquence d'horloge de la carte mère ne change pas, et cela afin de garantir la sécurité d'exploitation des cartes enfichables (voir carte enfichable) utilisées avec la carte à travers le système de bus. Attention ! Il ne faut pas essayer de pousser la fréquence d'horloge au-delà de la valeur indiquée par le fabricant : cela pourrait détruire les circuits.
La "fréquence de rafraîchissement d'image" (l'unité de mesure est le "hertz", abrégé en "Hz") indique combien de fois par seconde une ligne est réaffichée. Plus la fréquence est élevée, moins le scintillement de l'écran est perceptible.
Pour éviter une fatigue visuelle pendant l'utilisation, on recommande des fréquences de plus de 72 Hz, car dans ce cas le scintillement n'est plus perceptible. Si, pour une fréquence donnée, la résolution du moniteur n'est pas suffisante, on utilise un procédé qui ne rafraîchit qu'une ligne sur deux : c'est le mode "entrelacé". Cependant, cette division par deux de la fréquence de rafraîchissement d'image est très éprouvante pour les yeux. Il faut donc préférer le mode "non-entrelacé".
La simulation de jeu d'échecs Fritz est davantage destinée aux professionnels qu'aux amateurs en raison de sa difficulté et de la sobriété de son graphisme (représentation 2D). Le logiciel d'échecs comporte 600 parties commentées dans une base de données, un grand choix d'ouvertures et de nombreuses options. Par exemple, il est possible de modifier la couleur des pièces menacées ou d'indiquer les coups dangereux de l'adversaire.
En anglais : "front end". Désigne des composants spécifiques (par exemple, un logiciel client de base de données) permettant d'accéder aux services proposés par un serveur d'applications (par exemple, un serveur de bases de données). Voir aussi client, serveur, modèle client-serveur.
Il s'agit de l'outil de création et de maintenance des pages Web, présenté par Microsoft. Avec sa future version 97, la maintenance va encore être améliorée grâce à l'utilisation des "bots" qui sont des zones de page html, définissables une fois et réutilisables sur autant de pages que désiré (une modification apportée sur le source se répercute automatiquement sur l'ensemble des pages où le "bot" est utilisé).
Voir Free Software Foundation.
("File Transfer Access and Management") Protocole de communication normalisé par l'ISO.
Fonctionnant à peu près de la même manière que le FTP, il s'applique au transfert de fichiers et se situe sur la couche supérieure du modèle à couches OSI.
C'est l'abréviation de "file transfer protocol" ("protocole de transfert de fichiers"). Il est installé aussi bien sur le réseau mondial Internet que sur les réseaux locaux utilisant le protocole de réseau TCP/IP. Il existe quelques milliers d'ordinateurs connectés à l'Internet qui vous permettent de leur demander des données même si vous n'avez pas de compte dans l'ordinateur en question. Pour cela, il suffit de taper "FTP anonyme".
Certains serveurs FTP permettent d'ouvrir une session de façon anonyme sans fournir de nom d'utilisateur et/ou de mot de passe. En règle générale, le serveur exige toutefois une adresse e-mail ou le mot "guest" (visiteur) en guise de mot de passe. Comme nom d'utilisateur, il faut saisir "anonymous". L'anonymat a cependant certaines limites, car le serveur enregistre votre adresse IP et les actions exécutées.
Sous le terme "fucer", le jargon informatique désigne la transmission des données via une boîte aux lettres (voir BBS).
(angl. "creeping featurism") Ce défaut peut être reproché à de nombreux logiciels : les nouvelles versions de logiciels complexes vont rarement dans le sens de la simplification, bien au contraire. Ce qui explique la réticence dont font preuve certains utilisateurs à acquérir les mises à jour (voir mise à jour).
Ce grand groupe électronique japonais, fondé en 1935, fait partie des plus grands fabricants de PC au Japon. En Europe, où Fujitsu emploie environ 23 000 personnes (sur 165 000 dans le monde), la société est notamment connue pour ses disques durs et ses lecteurs MO (voir lecteur magnéto-optique) haut de gamme, mais elle produit également des PC complets. D'ici l'an 2000, Fujitsu prévoit de passer de la septième place à la troisième, sur le marché européen. Sa vitrine Internet se trouve à l'adresse http://www.fujitsu.com.
Modem miroCONNECT 2000
On désigne ainsi un processus de transmission de données qui permet aux deux parties de s'envoyer des données simultanément, en utilisant par exemple une ligne téléphonique. Il nécessite l'existence de deux lignes ou canaux, un pour chaque partie. En mode half duplex, en revanche, un seul canal sert à chacun, à tour de rôle.
Les fusibles sont installés dans les circuits électriques pour les protéger des fluctuations d'intensité du courant. Si un certain seuil d'intensité est dépassé, le fusible est détruit et le passage du courant est interrompu.
On utilise aussi des "fusibles" dans les circuits intégrés : ils ne servent pas à protéger le circuit, mais à introduire des interruptions obligatoires et prédéfinies. Si une partie de la puce s'avère déficiente lors du test de fonction, on détruit cet interrupteur en y faisant passer un certain courant et la partie défectueuse est désactivée.
Fonction qui permet de réunir des données ou des fichiers (voir fichier), disponible sur de nombreux logiciels.
Le jeu de combats FX Fighter propose des images 3D ainsi que des représentations réalistes du mouvement. Le joueur peut sélectionner l'un des huit adversaires, et son propre personnage maîtrise 40 techniques de combat.