En jargon informatique, c'est l'abréviation de "life's a bullshit and then you die", c'est-à-dire : "la vie est une saloperie à la fin de laquelle tu meurs".
Le 01/01/96, l'Union Européenne a introduit un procédé de vérification coûteux et complexe destiné au contrôle de l'émission électromagnétique et de la résistance aux pannes de tout appareil électrique commercialisé (particulièrement des ordinateurs). Chaque fabricant doit faire vérifier ses appareils ou ses composants par une institution indépendante avant de les commercialiser. Si l'examen est passé avec succès, l'appareil reçoit l'étiquette CE (pour Communauté Européenne). Les directives CE ont soulevé quelques questions et mécontentements lors de leur introduction pour les raisons suivantes : normalement, même les anciennes machines encore en fonctionnement devraient être conformes à la norme CE et chaque utilisateur est responsable de la résistance aux pannes de ses appareils non contrôlés. Mais tant qu'aucune panne prouvée ne se produit, les machines peuvent être utilisées. En théorie, dans le domaine de l'informatique, une nouvelle vérification serait nécessaire après chaque modification d'un système préalablement certifié conforme CE. Mais ceci voudrait dire que même l'échange d'une carte enfichable entraînerait le nouvel examen d'un ordinateur (et les frais qui en découlent). Les petits intégrateurs seraient particulièrement touchés par cette mesure. Aujourd'hui, le règlement prévoit donc que des ordinateurs assemblés avec des composants conformes CE sont considérés conformes dans leur ensemble.
Le modèle Lambda de la société Hector fut commercialisé en 1982 au prix de 4 950 francs.
Le Lambda fut fabriqué en France dans l'optique de contrecarrer le succès des ordinateurs (voir ordinateur) anglais.
Ses caractéristiques techniques comprenaient un processeur Z 80 A, une mémoire de 64 Ko, un lecteur de cassettes intégré, et un affichage Péritel .
Système d'exploitation pour réseaux développé notamment par Microsoft. Il fonctionne sous la forme d'un système d'exploitation serveur sous OS/2 d'IBM. Les clients peuvent travailler sous DOS, Windows (généralités) ou OS/2 (voir réseau). Voir LAN.
(Abréviation de "local area network", "réseau local") Désigne un réseau qui ne couvre qu'une surface restreinte, par exemple l'étage d'un immeuble.
Voir aussi : LAN Manager .
Voir suivi de rayons .
Nom d'un test de performance célèbre, qui indique la performance relative d'un PC. Il porte le nom de la société qui l'a conçu et qui le commercialise.
langage de description
de caractères
langage de programmation décrivant les éléments d'une page à imprimer ou à afficher (voir PostScript).
Langage destiné au développement des programmes informatiques (voir programme). Ses caractéristiques dépendent des problèmes à résoudre et ne sont pas fonction de l'environnement matériel.
Comme tout langage écrit, un langage de programmation se compose de lettres, de nombres et de caractères spéciaux obéissant à des règles de syntaxe et de sémantique. En fonction de l'environnement matériel, on distingue les langages d'assemblage des langages de programmation évolués.
Un langage d'assemblage présente les instructions du langage machine binaire d'un processeur sous la forme d'un code mnémonique et fonctionne à partir d'instructions d'assemblage pour la définition de structures de données, de macros, de procédures, etc. Pour obtenir un programme exécutable, le programme source est ensuite traduit ("assemblé") par un assembleur en un module objet . Un ou plusieurs modules objet (par association de procédures prélevées dans une bibliothèque de modules objets) peuvent être reliés par un éditeur de liens au programme exécutable.
Les langages de programmation évolués sont orientés vers les problèmes qu'ils résolvent par des algorithmes. Ils se composent d'instructions générales et ne sont pas destinés à un ordinateur en particulier. Néanmoins, il faut s'assurer dans chaque cas que l'ordinateur utilisé dispose des outils nécessaires (au minimum, le compilateur du langage choisi).
Le programme source écrit dans un langage de programmation évolué est traduit et exécuté progressivement en code machine par un interpréteur (voir BASIC, dBASE), ou est traduit en un ou plusieurs modules objets par un compilateur (voir PASCAL). Ces modules objets peuvent être reliés dans le programme exécutable à d'autres modules objets ou à des composants prélevés dans une bibliothèque de modules objets par un éditeur de liens .
Outre la distinction entre langages interprétés et compilés (qui est moins forte que dans le passé : on dispose de variétés de BASIC compilées), il en existe plusieurs autres, dont on ne citera ici que trois :
domaine d'application : certains langages sont très spécialisés, par exemple SNOBOL a été conçu pour traiter uniquement des chaînes de caractères ; d'autres traitent des catégories très vastes de problèmes : COBOL a été destiné à la gestion en général ; enfin, quelques langages, dits "universels", ne doivent rencontrer aucune limite (en principe) dans leur application,
taille et complexité du langage : il est évident que les langages à vocation universelle (PL 1, ADA) ne peuvent être que "gros" et demandent de ce fait plus de ressources informatiques ; l'image même du contraire est le langage C (langage), qui étant "petit", a pu proliférer sur toutes les configurations existantes ;
permissivité : à cause des coûts élevés des erreurs informatiques, certains langages (PASCAL, ADA) effectuent des contrôles minutieux sur les données traitées avant de fournir des résultats ; dans le cas contraire (encore une fois, le langage C !), le manque de contrôle à l'intérieur du langage doit être compensé par une discipline de développement assez rigoureuse (voir génie logiciel).
langage de programmation faisant appel à différentes méthodes de programmation. Ainsi, le langage de programmation C++ permet la programmation de procédures (voir procédure) ainsi que la programmation par objets.
Codage en binaire d'instructions et de données que le processeur peut exécuter directement. Le langage machine est fondé sur les caractéristiques d'un processeur particulier. Les autres programmes (formulés dans le code mnémonique d'un assembleur ou dans un langage de programmation évolué) doivent être traduits par un assembleur ou un compilateur dans le langage machine du processeur utilisé ou traduits et exécutés par un interpréteur (voir code assembleur).
C'est le contraire d'un langage "artificiel", en particulier d'un langage de programmation. Sa complexité est redoutable et, de ce fait, on considère que son traitement par ordinateur est du domaine de l'intelligence artificielle (voir langage).
Il a pourtant inspiré la construction des langages artificiels (certains langages d'origine naturelle sont devenus artificiels dans une large mesure) en définissant une "syntaxe" (ensemble de règles pour construire des unités plus grandes à partir des plus petites) et une "sémantique" (attribution de catégories donnant un sens aux unités manipulées par la syntaxe).
La concision du langage naturel est, du point de vue d'une machine qui l'analyse, source de nombreuses ambiguïtés : dans l'expression "piège à puces électronique" par exemple, l'être humain comprend spontanément qu'il ne s'agit pas d'une puce électronique, mais d'un piège électronique, tandis que la machine a besoin d'une laborieuse analyse du contexte pour arriver à la même conclusion.
Voir langage machine.
langage de programmation utilisé par un programme source .
langage de description de caractères.
Mathématicien et chercheur américain. Inventeur de nombreuses applications en matière de réalité virtuelle. Sa société, Visual Programming Language, fut rachetée par Thomson en 1992.
Aujourd'hui véritable gourou des zippies, Lanier développe, entre deux airs de flûte de pan, des applications pour le traitement médical à distance.
utilitaire élaboré par Traveling Softwre et destiné à simplifier et à accélérer le transfert de fichier, ainsi que la prise de contrôle par une connexion TCP/IP (voir réseau ou câble parallèle).
Programme de transmission de données entre deux PC reliés par un câble. Le raccordement est effectué par une liaison en série ou par une liaison parallèle.
La "largeur de bande" est la zone de fréquence que l'on utilise pour la transmission de données et donc aussi la capacité de transmission de cette zone. On mesure cette capacité en hertz (Hz) ; elle indique la différence entre la fréquence la plus haute et la plus basse. On distingue trois largeurs de bande : étroite (jusqu'à 300Hz), vocale (300 à 3 000 Hz) et large (plus de 3 000 Hz). Pour des raisons techniques, on définit la largeur de bande comme une zone de fréquence dont le signal est assourdi de 30 %.
La "largeur de bus " indique le nombre de lignes de transmission parallèles que possède un bus. Elle est déterminante pour la vitesse d'un ordinateur.
Cinéaste américain, créateur de "Toy Story", dessin animé réalisé entièrement en images de synthèse et produit par les Studio Disney en 1996. John Lasseter travaille pour la société Pixar, dont l'actionnaire principal est Jobs, Steve.
Voir image de synthèse .
Réalisateur du film "Toy Story" de la société Pixar . Il a travaillé avec Softimage avant le rachat par Microsoft.
Pack d'extension de macros conçu pour l'utilitaire de mise en forme TeX .
Voir TeX .
Informaticien et graphiste américain. Il est l'auteur de "Evolution et processus biologiques dans l'art informatique et l'animation" qui présente une approche originale de l'animation, de la synthèse d'image (voir image de synthèse) et de l'automate cellulaire.
Latham a exploité ses découvertes en créant des fonds d'écrans animés et des moteurs génératifs.
Voir aussi algorithme génétique, art (ordinateur).
Membre du laboratoire de recherche d'Atari dans les années quatre-vingt, elle fut l'une des premières à penser l'interactivité et les interfaces homme-machine. Son ouvrage le plus célèbre reste "Computer as Theatre" (1991). Elle travaille aujourd'hui dans une société de Allen, Paul.
("Local-Area Wireless Network") Réseau dérivé du LAN mais qui utilise les ondes radio à haute-fréquence au lieu de câbles pour communiquer les données.
Portable aux rayons X
(angl. "Liquid Crystal Display" : "affichage à cristaux liquides" couleur) Désigne un écran couleur ou élément d'affichage fondé sur un LCD et permettant un affichage en couleur grâce à la présence de trois éléments LCD séparés par pixel (pour les couleurs fondamentales).
Portable aux rayons X
"LCD" (sigle de "liquid crystal display", "affichage à cristaux liquides") est l'affichage alphanumérique ou graphique bien connu utilisé sur de nombreux appareils électroniques. Les éléments constitutifs du LCD se composent de deux parois de verre pourvues d'électrodes transparentes, entre lesquelles est enfermé un liquide cristallin. Les électrodes produisent des champs électriques qui modifient localement les réactions du liquide de façon à afficher une image correspondante.
Dans le domaine des PC, notamment sur portable ou agenda, un grand élément LCD sert d'écran en raison des dimensions réduites et de la vitesse d'exécution réduite.
Voir LCD couleur .
Zone des pistes intérieures d'un CD, d'une largeur de 4 mm. Cette zone, qui se trouve placée avant la zone des données proprement dite, contient entre autres le sommaire du CD ("TOC", sigle de "table of contents", "table des matières").
Zone d'un CD située après la zone des données proprement dite. Elle se trouve sur le bord extérieur du CD et possède une largeur d'environ 1 mm.
Voir ligne spécialisée .
Lecteur de bande
Servant à déchiffrer le contenu de la mémoire des cartes magnétiques (voir carte magnétique), les lecteurs de cartes magnétiques (voir lecteur) sont utilisés, par exemple dans les distributeurs de billets ou aux caisses des supermarchés.
Appareil utilisé autrefois pour lire les cartes perforées (voir carte perforée). Il se composait essentiellement d'une unité de lecture et de plusieurs magasins dans lesquels les cartes perforées étaient déposées avant et après leur lecture. Les cartes perforées, une fois déposées dans le magasin d'entrée, étaient dépouillées mécaniquement ou optiquement et placées "en attente". Les informations recueillies étaient immédiatement contrôlées par l'ordinateur. Si l'information n'était pas correcte, la carte perforée était guidée hors de la position d'attente dans un classeur spécial (pour vérification ultérieure), ou transférée de la position d'attente au magasin de dépôt dans le cas contraire (voir lecteur).
Le "lecteur de CD-ROM" appartient actuellement à l'équipement normal du PC, même s'il a été développé à l'origine pour le domaine multimédia en tant que support de stockage de grandes quantités de données. La technologie du CD-ROM autorise le stockage d'environ 650 Mo de données, ce qui permet de stocker sur un CD des fichiers d'images plus volumineux ou de grands recueils de textes (dictionnaires, etc.).
Les données sont stockées sur un CD comme une suite de creux (angl. "pits"). Un rayon laser analyse la surface du CD en rotation et un capteur récupère la réflexion du rayon. La suite binaire est trouvée par une séquence réflexion/non-réflexion. Les CD peuvent seulement être lus par le lecteur de CD-ROM ; pour produire le CD, on a besoin d'un dispositif spécial qui inscrit par rayon laser les données sur le CD brut.
Les lecteurs de CD-ROM travaillent à des vitesses différentes, ce qui a une influence directe sur le débit de transmission de données (voir lecteur) : la valeur normale pour le lecteur à quadruple vitesse est à peu près de 600 Ko/s, tandis que le lecteur sextuple atteint environ 900 Ko/s. Avec une vitesse octuple, on atteint même des valeurs d'environ 1200 Ko/s, ce qui correspond au niveau des disques durs, moins onéreux.
Tandis que l'augmentation de la vitesse de rotation fait croître le débit de transmission, le temps d'accès n'est que faiblement amélioré. À la différence du disque dur, le lecteur de CD-ROM ne dispose que d'une tête de lecture qui doit être repositionnée à chaque accès au support. Le temps nécessaire pour cette action ne peut être réduit que de manière limitée. Par ailleurs, il existe pour le lecteur de CD-ROM des chargeurs qui peuvent recevoir entre 3 et 7 CD.
Les CD-ROM sont produits selon différents procédés, qui sont adaptés chaque fois au but de l'application : un CD audio pour le domaine hi-fi et un CD logiciel diffèrent fondamentalement. Cependant, la plupart des lecteurs de CD-ROM peuvent lire tous les formats importants, de sorte qu'il est possible tout en écoutant de la musique sur le PC à travers le lecteur de CD-ROM, de faire des recherches dans des bases de données.
Les CD peuvent être produits dans des conditions très avantageuses, ce qui provoque un changement encore plus important dans l'exploitation des logiciels : les programmes massifs sont proposés directement sur CD, tandis que la version disquette demande souvent un surcoût.
Le "lecteur de disquettes" est le lecteur interne ou externe d'un PC dans lequel une disquette venant de l'extérieur peut être lue ou recevoir des enregistrements de données.
Les lecteurs CD-ROM double vitesse (voir lecteur de CD-ROM et lecteur) bénéficient d'une vitesse de transmission de données d'environ 300 Ko/s.
Leur vitesse de transmission est donc deux fois plus élevée que celle des lecteurs de la première génération, que l'on appelle "lecteurs simple vitesse".
Le lecteur magnéto-optique ou "lecteur MO" ("Magneto-Optical drive") est une mémoire de masse externe à supports amovibles. Le stockage des données se fonde sur l'effet magnéto-optique : les propriétés optiques d'un matériau se modifient sous l'influence d'un champ magnétique.
Le support de données d'un lecteur MO ressemble extérieurement au CD. Une couche MO, protégée par des couches de protection appropriées, est appliquée sur le matériau-support. Lorsque les données sont écrites, la couche MO est échauffée ponctuellement par un laser modulé, au-delà du point Curie (environ 200 C) et constamment soumise à un champ magnétique. L'écriture s'effectue en trois phases : en quelque sorte, on peut dire que l'on écrit tout d'abord les zéros, puis avec un champ magnétique inversé, les 1. Pour finir, le contenu des données est vérifié encore une fois. C'est pourquoi l'écriture des données dure environ trois fois plus longtemps que leur lecture ultérieure.
La lecture des données s'effectue (tout comme sur un lecteur de CD-ROM) à l'aide d'un rayon laser de faible puissance, qui n'entraîne qu'un échauffement limité de la couche MO.
Les supports de données MO ont l'avantage de présenter une excellente stabilité des données enregistrées, ainsi qu'une densité d'enregistrement très élevée. Ces supports de données, d'un coût assez modique, ont en général une capacité mémoire de 230 Mo dans le format 3,5 pouces et de 1,3 Go dans le format 5,25 pouces.
Les supports sont extrêmement sûrs, car la procédure d'enregistrement combinée laser/magnétique protège les données de manière durable et robuste contre les effets des variations de température ou des champs magnétiques et de la démagnétisation à long terme. Les temps d'accès en lecture sont compris dans l'intervalle 30-60 ms et le débit de transmission des données est très élevé grâce à la norme SCSI.
Voir lecteur magnéto-optique et lecteur .
Il s'agit de lecteurs dont les supports de données sont fabriqués dans un alliage de tellure-sélénium qui, selon le degré d'échauffement par un laser, change d'état : de régulièrement organisé il devient amorphe (non organisé). Ce changement de phase induit un comportement de réflexion différent qui peut être interprété comme des informations lors de la lecture. Cette matière peut traiter sans problème plus de 500 000 effacements ; elle pourrait bien être le composant de base des futurs CD réinscriptibles (voir CD-E).
Les premiers lecteurs PD, d'une capacité de 650 Mo, ont été lancés par Panasonic en 1996. Ce qui les rend particuliers, c'est qu'ils lisent non seulement les supports PD réinscriptibles, mais aussi les CD-ROM ordinaires en quadruple vitesse. Pour cela, le format des supports PD est identique à celui des CD-ROM. Un facteur de frein à la progression rapide de cette technologie prometteuse est certainement le fait que les lecteurs de CD-ROM ordinaires sont incapables de lire les disques PD, car ces derniers ne fournissent pas les 70 % de réflexion de lumière nécessaires aux CD-ROM. La situation pourrait cependant changer avec les DVD, car leurs lecteurs se contentent d'une moindre réflexion.
lecteur de CD-ROM possédant une vitesse de rotation quatre fois supérieure à celle des lecteurs à vitesse simple et qui atteint donc une vitesse de transmission de données d'environ 600 Ko/s.
Lecteur produit depuis 1995 par la société Iomega . Il s'agit d'une alternative peu onéreuse et pratique par rapport à d'autres systèmes à disque amovible (voir lecteur magnéto-optique, SyQuest), mais chaque unité n'a qu'une capacité d'environ 100 Mo. À cause de leur prix intéressant, les lecteurs ZIP sont surtout utilisés pour échanger des données ou pour sauvegarder des fichiers (voir sauvegarde).
Unité 1,44"
"Lecteur" est le terme générique désignant les composants mécaniques des mémoires de masse externes (par exemple un lecteur de disquettes, un disque dur, un disque amovible ou un lecteur de CD-ROM).
Le lecteur peut faire partie intégrante du PC ou lui être raccordé par une interface et un câble de données.
Voir aussi :
lecteur de cartes magnétiques.
lecteur/unité
de disques amovibles
Le terme lecteur de disques amovibles (à ne pas confondre avec les disques durs amovibles) recouvre toutes les formes de systèmes externes d'enregistrement de données ; ils utilisent des supports de données échangeables (et jusqu'à présent sous forme de disque) et sont nettement plus performants que les disquettes, qui, au sens strict du terme, pourraient également être considérés comme des disques amovibles. Contrairement au lecteur de CD-ROM ou au graveur de CD-ROM, les données des lecteurs de disques amovibles peuvent être lues et écrites aussi souvent que nécessaire.
Il existe de nombreux types et techniques de lecteurs de disques amovibles, par exemple les lecteurs ZIP, JAZ, MO, PD et les lecteurs de la société SyQuest. La capacité de stockage varie entre 100 Mo et 2,6 Go et leur vitesse de lecture de 0.3 à 2 Mo/s, ce qui les rapproche des performances d'un disque dur. Les prix des lecteurs et des supports sont également très différents. Les solutions bon marché comme le lecteur ZIP coûtent aux alentours de 1000 FF et leurs supports moins de 100 FF. Inversement, les lecteurs MO se négocient autour des 5000 FF et les supports vers 300 FF. Lors de l'achat d'un système, on devrait donc principalement considérer le coût du Mo de stockage ainsi que la sécurité de la technique utilisée. Les lecteurs MO et PD montrent ici de nets avantages.
Inversement, un disque dur amovible est un disque conventionnel, monté dans un boîtier spécifique qui le rend facile à enlever et à remettre dans un PC. Ce système autorise l'échange aisé des disques ; mais il faut veiller à ce qu'ils soient correctement déclarés dans le BIOS (notamment dans le cas d'interfaces IDE).
Voir diode électroluminescente.
Le jeu d'aventures The Legend of Kyrandia se déroule dans un pays lointain, Kyrandia, où la nature et les gens vivent en harmonie parfaite. Cependant, le bouffon Malcolm commet un régicide et vole un objet doté d'un grand pouvoir. Le joueur, qui incarne Brandon, le fils du roi, doit résoudre de nombreuses énigmes (voir énigme), qui lui permettront de ramener la paix dans le royaume.
Dans le deuxième épisode, Hand of Fate - The Legend of Kyrandia 2, le joueur incarne la sorcière Zenthia et vit de nombreuses aventures.
Le troisième et dernier épisode à ce jour de la série, Malcolm's Revenge - The Legend of Kyrandia 3, place le bouffon Malcolm au coeur du jeu. Le joueur doit prouver l'innocence de Malcolm dans les trois épisodes.
La série The Legend of Kyrandia se caractérise principalement par son interface utilisateur intuitive et la finesse de ses énigmes.
Baron de Leibniz, philosophe, mathématicien, juriste, théologien et historien allemand (1646-1716). Fondateur de l'Académie des Sciences à Berlin (1700), il fait partie des grands penseurs du xviie siècle. Ses travaux touchèrent tous les domaines de la science.
Après avoir étudié les mathématiques, il devient docteur en droit à l'âge de 20 ans. Il publie à cette époque "De arte combinatoria" (1666), ouvrage dans lequel il vise à établir un alphabet des pensées qui permettrait de fonder une écriture "caractéristique" universelle. Les bases d'une théorie de la logique symbolique sont alors posées. Cette théorie ne sera développée que deux siècles plus tard et aura pour application les ordinateurs (voir ordinateur).
Perfectionnant la machine à calculer de Pascal (1652), Leibniz réalise, en 1667, une véritable machine à calculer mécanique. Influencé par Pascal et Descartes, il créée, en 1684, l'analyse infinitésimale et développe un nouveau système de notation du calcul différentiel et intégral. Même sa philosophie reflète son intention mathématique : selon Leibniz, l'univers est un système cohérent composé de monades, atomes auxquels Dieu a donné une âme et qui existent dans une "harmonie préétablie". Ce monde est "le meilleur des mondes possibles".
Œuvres principales : "De arte combinatoria" (1666), "Analysis situs" (1679), "Essais de théodicée" (1710).
Jeu d'aventures en huit épisodes. Larry est un petit bonhomme laid et sans aucune profondeur morale. En revanche, il est très actif sexuellement. Le joueur doit mener Larry dans différents endroits afin qu'il aborde de très jolies jeunes femmes aux corps somptueux. Le niveau de difficulté des énigmes, parfois assez élevé, est, dans l'ensemble, relativement bien dosé. L'humour omniprésent est l'un des atouts de ce jeu d'aventures, ce qui a d'ailleurs fait le succès de la série.
Le jeu de stratégie Lemmings simule le comportement des lemmings, petits êtres à l'intelligence réduite, qui se déplacent toujours tout droit et les uns derrière les autres, même si le chemin mène à un précipice. Le but du jeu est de leur faire franchir les différents niveaux (voir niveau). Le joueur peut leur attribuer différentes activités qu'ils accomplissent immédiatement. Par exemple, un lemming peut être désigné pour creuser un tunnel ou pour retenir les autres lemmings. Le jeu comprend cent niveaux qui doivent être franchis, dans un temps limité, en sauvant un certain nombre de lemmings.
Le concept de ce jeu a été repris dans plusieurs nouvelles versions telles que Oh No ! More Lemmings, Xmas/Holiday Lemmings, Lemmings 2, All New World of Lemmings et 3D Lemmings.
(Abréviation de "Link everything online") Système de recherche sur l'Internet. On peut se le procurer, avec un Web-Browser à l'adresse URL http://www.leo.org. Leo fouille les serveurs FTP, Usenet et WWW pour trouver les informations demandées. Il est particulièrement utile sur le Web.
Voir imprimante qualité courrier.
Première lettre d'un chapitre ou d'un paragraphe. Généralement plus grande que le reste du texte (elle a parfois la taille de plusieurs lignes), elle sert à embellir une page ou à mettre en évidence un paragraphe.
Intégrateurs de programmes sous Unix et, accessoirement, sous MS-DOS. Ils sont très utiles dans la compilation et permettent de créer des modules de reconnaissance de motifs, ou des analyseurs syntaxiques (voir également SQL).
La marque d'imprimantes Lexmark, fondée par d'anciens collaborateurs d'IBM, s'est rapidement taillée une large réputation grâce à ses imprimantes laser et, plus récemment, ses imprimantes à jet d'encre de très bonne facture qui se distinguent, en règle générale, par un bon rapport qualité-prix et une grande fiabilité. Alors qu'à ses débuts la Société développait principalement des imprimantes de bureau, elle essaie aujourd'hui de conquérir le marché familial, par exemple avec ses modèles d'entrée de gamme à jet d'encre. Lexmark est bien évidemment présent sur l'Internet à l'adresse http://www.lexmark.com.
La page d'accueil de Lexmark
L'émission d'un signal spécial "LF" (line feed) vers une imprimante déclenche un saut de ligne.
Programme de compression disponible en différentes versions (MS-DOS et OS/2). LHA permet de compresser un ou plusieurs fichiers simultanément et de créer des archives autodécompressibles, c'est-à-dire des archives enregistrées sous la forme de fichiers exécutables (en format EXE). LHA est un logiciel partagé.
(En anglais, "runtime license")Licence accordée par l'éditeur d'un logiciel pour le développement et la vente des produits qui accompagnent ce logiciel.
Autorisation d'installer et d'utiliser un logiciel sur un ou plusieurs ordinateurs mis en réseau. Cette licence peut-être limitée à un utilisateur (mono-utilisateur) ou élargie à plusieurs postes de travail (multiposte). Elle peut également être limitée dans le temps (voir logiciel partagé).
Les copies illicites (voir piratage) sont interdites par les termes du contrat de licence et sont passibles d'une amende.
Voir également licence d'exécution.
Synonyme de la fonction logique, qui, en algèbre booléenne, consiste à relier des champs de données par ET, OU, etc.
Voir crayon optique.
Lighthouse est un jeu d'aventures dans un univers parallèle fantastique, soutenu par des graphismes excellents et des énigmes intelligentes. Proche du célèbre Myst, il vous réserve plusieurs fins possibles, selon les actions que vous aurez menées.
Processeur Pentium Pro
Sous DOS, un processeur de la famille Intel i80x86 ne peut disposer que d'une mémoire de travail de 1 Mo, car seules 20 lignes (de A0 à A19) du bus d'adresse (voir bus d'adresses) sont actives dans le mode réel utilisé sous DOS.
Le processeur i286 disposait déjà, il est vrai, de 24 lignes (de A0 à A23) et les processeurs i386, i486, ainsi que Pentium et Pentium Pro, de 32 lignes (de A0 à A31).
Contrairement à la ligne spécialisée, la connexion sur une ligne commutée n'est établie que pour la durée de la communication. Elle est obtenue en composant le numéro auquel on veut s'adresser.
Dans un logiciel graphique, les lignes d'aide permettent de disposer les objets avec précision. Leur affichage à l'écran peut en général être activé ou désactivé. Ces lignes n'apparaissent pas à l'impression.
C'est la ligne la plus fine que puisse afficher un écran ou produire une imprimante. Elle varie en fonction de la résolution.
Les lignes en-tête et bas de page sont la première et la dernière ligne d'une page. Elles peuvent contenir, entre autres, des indications concernant les pages d'un document.
Les programmes de traitement de texte contiennent habituellement une fonction qui permet de formater séparément les lignes d'en-tête et de bas de page (voir formatage).
Une ligne spécialisée, ou ligne louée, est une ligne de transmission de données louée - généralement très cher - auprès de la compagnie des téléphones. Elle permet d'être en liaison permanente avec des ordinateurs ou des réseaux éloignés (voir réseau). Contrairement à la ligne normale du bureau, il faut généralement choisir un numéro approprié pour établir la communication.
Langage de programmation utilisé dans l'animation électronique avec MacroMind Director (voir Macromedia).
Voir éditeur de liens.
Links est une gamme de jeux de simulation de golf destinée à tous les joueurs de golf. Le jeu se caractérise par son graphisme réaliste et ses options étendues et fut l'un des premiers.
Il peut être complété par de nombreuses disquettes de scénario contenant des parcours de golf célèbres.
Après Links 386 Pro, la mise à jour Links 486 Pro offre un graphisme de qualité supérieure (voir jeu vidéo).
Sorti à la fin de 1996, Links Ls reconstitue les greens hawaïens de Kapalua et Maui en 3D. Son moteur graphique permet d'atteindre des résolutions de 1600x1200 en 16,7 millions de couleurs. Parfaitement réalisé, Links Ls ravira les amateurs et les pros.
Les origines de la Société allemande Linotype-Hell remontent à Ottmar Mergenthaler (1854-1899) qui a révolutionné l'impression avec sa machine à composer. En 1990, Linotype a fusionné avec Hell, entreprise spécialisée dans la reproduction des couleurs. Cette Société a développé des standards dans les domaines de la préparation à l'impression et de la PAO.
En 1996, Linotype-Hell a sorti ses premiers scanners grand public. Elle a, entre autres, fabriqué des produits pour la Société Vobis sous le label Highscreen. Sa gamme est complétée par une bibliothèque mondialement connue de plus de 2 000 polices de caractères.
Malgré sa position de leader mondial et une vaste gamme de produits, le cours des actions Linotype-Hell a fortement chuté au milieu des années 1990 et l'avenir de la Société est pour le moins incertain.
La page d'accueil de Linotype-Hell à l'adresse http://www.heidelbergusa.com
(Abréviation de "LINUs torvalds uniX", Unix de Linus Torvalds) Variante d'UNIX que l'on peut exécuter sur les PC IBM et compatibles, dont le processeur est au moins un 80386. Il est très répandu car il est distribué gratuitement.
Lisa d'Apple
Commercialisé au début des années 1980, cette station de travail d'Apple a été considéré comme une machine révolutionnaire. L'ensemble généralisait en effet des concepts relativement nouveaux : souris, interface graphique (interface utilisateur) reprise plus tard par le Macintosh. Il était livré avec des applications bureautiques standard (traitement de texte, fichiers, dessin, gestion...) et la capacité mémoire atteignait déjà le mégaoctet.
(Abréviation de "List Processing Language") Langage de programmation fonctionnel développé en 1960 au MIT pour le traitement de listes. Aujourd'hui, LISP est utilisé dans le domaine de l'intelligence artificielle et de la programmation de systèmes experts (voir système expert). LISP permet de développer des programmes qui peuvent se modifier eux-mêmes ou produire d'autres programmes.
Le lissage permet de supprimer le crénelage en corrigeant l'effet d'escalier qui apparaît sur les contours des objets représentés.
Désigne un listing.
Liste actualisée des serveurs télématiques (voir BBS) sur l'Internet, conçue à l'usage des journalistes.
Liste élaborée pendant la traduction d'un programme symbolique. Elle contient tous les noms symboliques (tels que les noms de variables, les adresses de branchement, etc.) utilisés dans un programme source avec un renvoi vers leur apparition dans le programme.
(En anglais, "blacklist") Directive des télécoms concernant les modems autorisés (voir modem). Elle évite aux abonnés d'être importunés lorsque leur numéro est appelé trop souvent. D'autre part, si l'on occupe trop longtemps la ligne d'accès à une boîte aux lettres en essayant plusieurs fois de la joindre, le modem est bloqué un certain temps afin d'éviter une surcharge du réseau.
Le listing (liste ou listage) est souvent utilisé en programmation pour décrire la liste des instructions et des renvois du texte source d'un programme. Le listing permet de localiser des erreurs et constitue une documentation.
Ce concurrent de Photoshop, publié par Newsware, autorise le travail en temps réel sur des images de n'importe quelle résolution.
Caméras branchées "en direct" qui reproduisent des images transmises sur l'Internet. À intervalles réguliers (de 10 sec à 5 min), une nouvelle image remplace l'ancienne. La première livecam est née en 1991 à l'université de Cambridge (Angleterre), elle devait surveiller une machine à café...
En 1993, il fut décidé de mettre ces images sur le Web.
Aujourd'hui, la recherche se dirige vers l'association de livecams à d'autres systèmes : un serveur américain (T@p Online) vient de créer un service baptisé "Jam-Cam", permettant à de jeunes musiciens inconnus de se produire. On peut ainsi suivre tous les mercredis soir un concert de rock, à raison d'une image toutes les 10 secondes.
Pour en savoir plus :
une sélection des meilleurs livecams, http://www.taponline.com/tap/voyeur/live-cams/
livecams en France, http://www.cplus.fr/html/cyberculture/livcam.htm (Canal+)
http://indy2.imt-mrs;fr/webetud/cgi-bin/evs intr.csh (école supérieure de mécanique de Marseille).
Le Livre de Lulu est un CD-ROM interactif (voir interactivité) destiné aux enfants de 8 à 12 ans. Dans ce conte moderne se mêlent textes, dessins et clips vidéo pour créer un monde de rêve, de poésie, d'émotion et de sensibilité. Un clic sur une image, et celle-ci s'anime, se remplit de couleur, se substitue au texte. Le curseur prend tour à tour la forme d'une plume, d'un flocon ou d'un papillon.
Voir LAN
("LocalTalk Link Access Protocol" ou LLAP) Technologie réseau fournie par Apple avec le premier ordinateur Mac en 1984.
LocalTalk a été développé pour autoriser le raccordement simple et convivial de l'ordinateur à un réseau local (voir LAN).
Il fonctionne à partir d'un bus série à une fréquence de transmission relativement basse de 230,4 Kbit/s. L'accès au câble réseau s'effectue par l'intermédiaire du procédé CSMA/CA qui permet de réduire les risques de collision en détectant l'état des lignes.
L'attribution d'adresses aux différentes stations est effectuée de manière dynamique par identification automatique des ordinateurs au moment de l'initialisation.
Voir fichier LOG.
Société britannique spécialisée dans l'ingénierie réseaux (voir réseau). Elle a racheté, en 1996, la Société française Axime Ingénierie.
Ce mot désigne un programme.
Il y a deux sortes de logiciels : les logiciels destinés au système (dont fait partie le système d'exploitation) et les logiciels destinés à l'utilisateur, appelés "applications" ou "logiciels d'application" (par exemple un tableur ou un traitement de texte).
Le logiciel est le "véritable" outil informatique. C'est grâce à ses fonctions que l'ensemble des composants informatiques traitent les données (voir traitement des données).
Actuellement, l'analyse du coût d'un poste de travail informatique dans l'entreprise démontre que les logiciels représentent 60% de l'investissement initial et près de 70% de la maintenance et de la mise à niveau.
Voir aussi :
logiciel de comptabilité personnelle
logiciel de comptabilité professionnelle
Un logiciel est dit classique lorsque de nombreux utilisateurs s'en servent. C'est le cas des tableurs (voir tableur) ou des logiciels de traitement de texte.
Logiciel conçu pour effectuer des tâches précises telles que le traitement de texte, le calcul sur un tableur ou la gestion d'une base de données.
Programme permettant d'acquérir des connaissances et des aptitudes à l'aide de l'ordinateur. Le spectre des connaissances va de l'apprentissage du maniement de certains logiciels informatiques (voir logiciel) aux langues, aux mathématiques ou aux notions nécessaires pour obtenir le permis de conduire.
Outil de gestion informatisée des données contenues dans une base de données (voir logiciel).
Voir tableur.
logiciel de comptabilité
personnelle
Les logiciels (voir logiciel) de comptabilité personnelle, tels que Quicken et Money, facilitent la tenue de la comptabilité et la gestion de comptes bancaires. De plus, ils offrent des fonctionnalités de banque directe par téléchargement à partir du Minitel. Voir également logiciel de comptabilité professionnelle
logiciel de comptabilité
professionnelle
Les logiciels (voir logiciel) de comptabilité professionnelle comprennent un large éventail de logiciels allant de la simple tenue de livres de compte sur micro-ordinateur à la gestion d'une entreprise.
Il existe des logiciels de comptabilité spécialement conçus pour les professions libérales et les petites entreprises, mais ces besoins de comptabilité peuvent également être couverts par une base de données car ils se limitent à la saisie d'écritures de recettes/dépenses, à la gestion des commandes et du stock et au calcul des bénéfices ou des pertes. Ce type de calcul ne présente pas de réelles difficultés.
Les logiciels de comptabilité des moyennes ou grandes entreprises sont plus complexes, car elles doivent non seulement gérer des volumes de données plus importants, mais également effectuer des opérations de gestion du personnel, des investissements, des prévisions, etc.
Logiciel utilisé pour la conversion de données.
Ce type de logiciel est utilisé pour transformer les formats des fichiers.
Des routines de conversion sont souvent intégrées aux logiciels d'application (voir logiciel d'application).
Voir également format, importation de données et exportation de données.
Intérieur 3D
L'un des types les plus onéreux et les plus compliqués de programmes de CAO, le logiciel de création de plan est optimisé pour un certain besoin, et la structure de l'interface est adaptée au sujet et à l'utilisateur, de sorte qu'il est possible d'exécuter soi-même des plans complexes, sans être obligé d'en connaître la matière.
Un exemple typique en est la modélisation de l'appartement, où les indispensables bibliothèques et autres meubles à montage immédiat sont proposés en même temps que l'aide de manière à produire simplement un plan avec portes et fenêtres. Depuis, ce genre de programme de planification 2D est également proposé dans d'autres domaines (aménagement du bureau, du jardin, etc.). De tels programmes sollicitent relativement peu le matériel informatique.
Alors que les programmes professionnels de CAO ont envahi depuis longtemps le domaine de la troisième dimension, les logiciels de création de plan en 3D sont encore rares. Avec l'aide d'un programme de conception d'appartement 3D, il est facile, même pour un novice, de modéliser un espace en trois dimensions : les murs sont habillés de textures, les meubles de couleurs différentes, etc.
Cet espace virtuel, où l'utilisateur peut se mouvoir en temps réel, illustre clairement le déplacement ou la nouvelle installation des meubles. À cet effet, le programme exploite la puissance de calcul des matériels les plus modernes.
Il permet notamment de concevoir des comptes rendus d'activité par l'intermédiaire d'une visualisation graphique de données (à partir d'un tableur, par exemple) ou des documents techniques (sous forme d'organigrammes ou de schémas fonctionnels). Lorsque l'on utilise des logiciels de présentation pour illustrer un exposé oral, on parle alors de conférence assistée par ordinateur (voir logiciel).
Voir logiciel d'extraction.
Un réseau possède, à côté du matériel informatique pour la connexion physique des ordinateurs, un logiciel de réseau (ou plutôt un progiciel) qui permet le support du matériel, la gestion des comptes utilisateur et l'emploi de fonctions spécifiques de réseau (e-Mail, l'installation d'une imprimante réseau, la mise en place de ressources sur des ordinateurs différents).
Outre les progiciels comme Novell NetWare, les systèmes d'exploitation moderne tel Windows 95 contiennent déjà un vaste ensemble de composants logiciels qui rendent possibles l'exploitation, la gestion et l'utilisation d'un réseau.
Permet de rechercher des informations stockées sur un support de données tel qu'un CD-ROM (voir extraction et logiciel).
(En anglais, "infotainment", construit à partir de "information" et de "entertainment", récréation) Ce logiciel se veut plus qu'un simple logiciel de jeux, et se refuse à être fastidieux ou didactique. Au grand domaine des logiciels d'information appartient, par exemple, le guide de voyage sur CD-ROM (voir logiciel touristique). De nombreux autres programmes s'inscrivent dans le même mouvement en traitant en multimédia des sujets historiques ou l'apport de personnalités (comme la ville au Moyen Âge, ou Leonardo, l'inventeur).
(En anglais, "Edutainment") Logiciel qui apporte des connaissances de manière récréative. Le concept doit son nom, en anglais, à la combinaison d' education ("éducation") et d'entertainment ("récréation"). Les logiciels éducatifs permettent, de façon ludique, par l'utilisation de l'ordinateur et de logiciels pertinents, d'acquérir des connaissances sans effort soutenu d'apprentissage. Les domaines couverts vont de l'utilisation de logiciels (voir didacticiel) à l'enseignement des langues, des mathématiques, du code de la route (voir égalementEAO).
Version d'un logiciel, généralement onéreux, qui est vendue à des écoles et à des universités. La vente de ce type de logiciels répond à deux objectifs : d'une part, les éditeurs espèrent ainsi réduire le nombre de copies illégales ; d'autre part, en offrant une formation aux étudiants, ils les familiarisent avec le logiciel pour qu'ils l'achètent par la suite lorsqu'ils entreront dans le monde du travail.
Les logiciels scolaires ne peuvent pas être utilisés dans un but lucratif. La plupart des éditeurs qui proposent ce type de logiciels offrent la possibilité d'acquérir une mise à jour afin d'obtenir la version complète du logiciel.
Un logiciel financier comme Quicken ou Money peut faciliter le travail de celui qui examine régulièrement son compte courant, en recensant les crédits et les débits, et veut gérer les opérations courantes
De tels programmes offrent la possibilité d'exécuter des opérations de banque directe au moyen du Minitel. Après l'entrée des données du compte et la mise en place d'un accès à la banque, le programme établit une connexion par modem et transmet les virements ou interroge l'état du compte.
Un logiciel graphique sert à la réalisation d'un dessin, sur PC. Ces logiciels permettent non seulement de peindre, mais aussi de dessiner et de construire en utilisant la souris ou la tablette graphique.
Les logiciels graphiques travaillent selon deux modèles différents : le mode mappe binaire permet la peinture avec un crayon de couleur (voir graphique à mappe binaire), mais les résultats ne peuvent qu'être agrandis ou réduits.
Les logiciels travaillant en mode vectoriel demandent un procédé de précollage et différentes préparations, mais libèrent l'utilisateur des frais supplémentaires grâce à une parfaite adaptabilité (voir graphique vectoriel). Les programmes de construction qui ne proviennent pas de la CAO permettent la production de dessins cotés, entre autres.
Les logiciels graphiques les plus connus sont PaintBrush, CorelDRAW, Visio et Designer.
De plus en plus de constructeurs informatiques livrent leurs ordinateurs avec des composants matériels et des logiciels (voir logiciel) intégrés pour un prix intéressant.
Cette technique de marketing permet à l'utilisateur de disposer dès l'achat d'un micro-ordinateur complet qui, en plus du système d'exploitation, comporte un logiciel de traitement de texte, un tableur, etc. Avec l'achat d'un scanner, on obtient, pour le même prix, un logiciel de traitement d'image et un logiciel de ROC ; un modem est accompagné d'un émulateur Minitel et d'un logiciel de gestion de fax.
(En anglais, "Freeware") Logiciel "à libre usage", réellement gratuit, par opposition au logiciel partagé. Il bénéficie bien de la protection des droits d'auteur, mais il est permis (en général par l'intermédiaire d'utilisateurs privés) de le copier, de le distribuer et de l'utiliser librement.
SuperProf d'anglais
Programme d'application (voir logiciel)qui concerne les langues étrangères. On y trouve des programmes d'apprentissage du vocabulaire, des recueils de modèles de lettres, des dictionnaires électroniques avec sortie vocale ou des aides à la traduction. Les cours de langue complets par multimédia se présentent sous forme de jeux vidéo pratiques et intuitifs (voir EAO). Le multimédia joue, par exemple, un grand rôle dans Speak Easy, conçu pour enseigner l'anglais, l'allemand ou l'espagnol.
À côté de programmes spécifiques destinés à informer les médecins ou à les aider à gérer leur clientèle, il existe des logiciels médicaux pour le grand public. Ils se présentent aussi bien sous la forme de simples recueils d'informations (l'équivalent d'un livre), que sous la forme de programmes complexes, en permettant par exemple de visualiser la structure du corps humain (voir logiciel).
Les recueils d'informations sont encore proposés sur disquette, tandis que les "voyages intracorporels" élaborés en multimédia ne peuvent prendre place que sur un CD-ROM.
Pour les contenus complexes, il existe deux formes de représentation différentes : les modèles 2D sont en concurrence avec les modèles 3D. Les modèles 2D sont moins exigeants techniquement et couvrent largement les besoins en informations ; les modèles 3D sont plus difficiles à installer, et l'observation des organes selon plusieurs points de vue ne renseigne que de manière insignifiante.
(En anglais, "Shareware") Programme commercial, qui s'appuie sur un concept de distribution particulier : il est possible, sans limitations, de copier gratuitement ces programmes et de les tester avant de les acheter. Mais pour en obtenir une version plus complète, il faut s'inscrire et acquitter un droit. Les auteurs de logiciels (voir logiciel) limitent d'ordinaire à cet effet certaines fonctions du programme gratuit et y incluent un formulaire d'inscription à la version complète.
L'aspect important ici est la possibilité d'essayer un programme lors d'une mise en œuvre pratique : tandis que les logiciels sont en général vendus sans possibilité d'essai et sous des conditions drastiques de protection contre les copies, les logiciels partagés peuvent être copiés librement et transmis sans frais. L'utilisateur peut essayer le programme pendant un certain temps et ensuite, à son gré, se faire enregistrer ou bien effacer le programme. En cas d'enregistrement, il reçoit une version complète du programme et sa documentation.
Ce mode de vente est sensiblement meilleur marché que la vente par magasin spécialisé, mais dépend de l'honnêteté de l'utilisateur. La tendance des utilisateurs à se faire enregistrer est, par exemple, plus forte aux États-Unis qu'en Europe. Cependant un marché réellement important s'est développé en Europe pour les professionnels de la distribution des logiciels partagés, contre paiement d'une taxe de copie. Dans certains cas, les distributeurs proposent également un service d'enregistrement, de sorte que les clients peuvent adresser leur virement, par exemple, aux États-Unis.
Ce système de distribution est surtout utilisé par les petites compagnies et par les programmeurs privés qui présentent leurs produits sur des services en ligne comme CompuServe, dans des forums électroniques, sur des CD-ROM, etc.
Lorsque les constructeurs d'ordinateurs proposent certains programmes, comme le système d'exploitation ou des logiciels (logiciel)d'application, en même temps qu'un PC ou un autre composant matériel, ces programmes sont vendus en tant que "logiciel propriétaire". Ce logiciel est proposé à un prix nettement plus bas et le constructeur doit offrir son assistance et fournir lui-même les manuels.
Les logiciels mathématiques et statistiques (voir logiciel) couvrent le vaste domaine des applications (voir application) mathématiques sur PC. Tandis que les programmes mathématiques servent surtout à calculer des relations complexes et leurs représentations graphiques, les programmes statistiques sont utilisés pour évaluer tous les types de supports statistiques (par exemple : questionnaires pour la clientèle, sondages, analyses des stocks de données, des données de recensement, des données économiques).
Ce genre de programme produit des évaluations statistiques par analyse factorielle ou de la variance, calcule des valeurs moyennes ou des distributions de fréquences. À partir des propriétés des échantillons, il est possible de faire des déductions sur l'ensemble des données.
Programme de nature diverse qui présente, de manière plus ou moins approfondie, un pays, une région ou qui facilite par de nombreuses informations la préparation, l'organisation et la réalisation d'un voyage.
Les logiciels touristiques (voir logiciel) utilisent presque tous les aspects des techniques informatiques modernes, parce que l'atmosphère spécifique du pays se transmet plus facilement grâce à une combinaison d'images, de textes, de musique et de vidéo. On peut aussi y trouver différentes cartes et un grand nombre d'informations et d'adresses.
Les produits les plus développés parviennent presque à remplacer, dans une certaine mesure, une visite dans la ville ou la région concernée. Les informations et les impressions qu'il est possible d'inclure dans un tel programme ne seront lues en quelques jours que très rarement. Finalement, il ne reste plus qu'à utiliser un logiciel, qui ne remplace pas les impressions personnelles, mais peut en revanche présenter des informations générales potentiellement intéressantes pour un grand groupe de clients. À la différence des clips tout à fait analogues de la télévision, ces logiciels offrent un niveau d'interactivité élevé : c'est à l'utilisateur de fixer la composition des informations, de choisir les séquences et de consulter à volonté ce qui l'intéresse plus particulièrement.
Il sert à travailler sur des images numérisées à partir d'un scanner. Le traitement d'images comprend la retouche des couleurs, la modification du format ou la réalisation de montages par déplacement, copie, suppression ou modification de parties de l'image.
PhotoShop et PhotoStyler comptent parmi les logiciels de traitement d'images les plus connus (voir logiciel).
L'utilisation d'une carte Numéris nécessite un logiciel approprié qui se présente sous forme de programme de télécopie, de répondeur automatique ou de transfert de fichiers. Il existe plusieurs marques de logiciels RNIS, dont les principales sont Acotec (RNIS pour Windows 95) et RVS (RVS-COM), entre autres. Il existe également de nombreux programmes en shareware (comme le moniteur d'appel RNIS qui affiche à l'écran le numéro de l'appelant).
Lors de la mise en œuvre de logiciels pour RNIS, il est important de déterminer par quelle interface le matériel RNIS est invoqué. En Europe, l'interface CAPI est très répandue, alors qu'aux États-Unis les cartes RNIS sont généralement activées par un pilote NDIS. Il faut en outre être attentif au numéro de version du gestionnaire CAPI. Certains logiciels ne fonctionnent qu'avec l'ancienne version CAPI 1.1, ce qui peut entraîner des problèmes sous Windows 95. La meilleure solution est de posséder une double prise en charge (versions CAPI 1.1 et 2.0).
La logique est une science qui traite des lois universelles, des structures et des formes de la pensée. Il s'agit, en premier lieu, de la pensée logique pouvant être formellement décrite par un algorithme. La logique formelle, fonctionnant généralement à partir des valeurs "vrai" et "faux", peut être facilement exprimée par une suite de bits.
Voir aussi :
(En anglais, "Fuzzy Logic") Fondée sur la logique booléenne (voir algèbre booléenne), elle fut expérimentée par Lotfi Zadeh en 1967.
Aux valeurs "vrai" et "faux" sont ajoutées des valeurs intermédiaires, telles que "plus", "moins", "peu" ou "beaucoup". Plus un énoncé est proche de la vérité, plus les valeurs (absolues) se rapprochent du chiffre 1. Dans le cas contraire, elles se rapprochent de 0.
Aujourd'hui, de nombreux appareils électroménagers (micro-ondes), mais aussi des logiciels et du matériel de transport (TGV) utilisent les fonctions floues. Les Japonais sont passés maîtres dans l'implémentation du "fuzzy set". En France, sous la houlette de Bernadette Bouchon-Meunier, le développement théorique avance à grands pas.
La logique floue est utilisée dans les domaines où des changements de situation (le freinage d'un train, la mise au point automatique d'images vidéo, etc.) interviennent constamment, pour lesquels une décision doit être prise. Elle est exploitée, par exemple, dans le système de contrôle/commande du métro de Sendai (Japon).
Le circuit électronique utilisé pour établir une connexion logique s'appelle un "circuit logique" ou, plus simplement, une "logique". Lorsqu'il est mis sous tension négative, avec une valeur VRAI (1) au niveau -5V par exemple, il est appelé "logique négative" (voir logique positive).
Voir également algèbre booléenne.
Un ensemble logique fonctionnant à partir d'une boucle de commutation électronique s'appelle une boucle logique. Lorsque les valeurs FAUX (1) sont représentées par une tension positive, par exemple par un niveau positif de + 5 V, on parle de "logique positive" (voir logique négative).
Voir également algèbre booléenne.
Logitech est célèbre pour ses produits novateurs dans le domaine des souris, des manettes de jeux et des scanners. Contrairement à celles de Microsoft, les souris de Logitech ont toujours trois boutons. Ce bouton supplémentaire, situé entre les deux autres, peut être chargé de fonctions particulières.
Dans le domaine des scanners, Logitech s'est spécialisé dans le scanner manuel et, plus récemment, dans le scanner à déroulement.
Logitech a également conçu pour les portables plusieurs trackballs : certaines peuvent être tenues à la main, d'autres se posent sur une table.
Langage interprété fondé sur LISP (voir interpréteur et langage de programmation), qui se caractérise par des commandes de déplacement d'éléments graphiques et une grande facilité d'apprentissage.
LOGO a été inventé pour enseigner des notions mathématiques de base aux enfants.
On appelle ainsi le message que l'on peut écrire lorsqu'on quitte une mailbox. La personne qui se connectera ensuite verra ce message dès qu'elle sera en ligne.
On désigne ainsi l'hypothèse avancée en 1968 par Gordon Moore (ancien président d'Intel) : le nombre des fonctions transistor sur un microprocesseur double à peu près tous les dix-huit mois. Cette loi s'est relativement bien vérifiée au cours des vingt-cinq dernières années. Le 4004, le premier microprocesseur mis sur le marché en 1971 par Intel, comptait 2300 transistors. Vingt-cinq ans plus tard, Intel sortait le Pentium Pro, qui comptait 5,5 millions de transistors.
C'est le nom d'un ensemble de règles de portée générale formuléex par Edward A. Murphy Jr. : "S'il existe deux manières (ou plus) de faire quelque chose et que l'une d'entre elles peut produire une catastrophe, il y aura toujours quelqu'un pour choisir la méthode catastrophique".
Il a aussi affirmé : "Ce qui peut aller mal ira mal." ; ou encore : "Il est d'autant plus probable qu'une tartine de beurre tombe sur un tapis côté beurre que le tapis est plus précieux."
En jargon informatique, cette abréviation peut avoir deux sens différents : soit laugh out loud ("éclats de rire"), soit lots of luck ! ("bonne chance !"). C'est toutefois le premier qui est le plus utilisé.
Longbow est l'un des meilleurs jeux de simulation de combat (voir simulation (jeu)). Les scènes sont hyperréalistes, le souci du détail a été poussé très loin. C'est le seul simulateur d'hélicoptère à disposer d'une carte-clavier afin de rappeler les touches à saisir pour les diverses fonctions. Toute une série de missions et d'actions sont proposées : escorte, suppressions de défense antiaérienne, attaques de nuit, etc.
Traitement de texte "Word Pro"
Lotus est une entreprise américaine de logiciels fondée en 1982 par Kapor, Mitchell.
Sa célébrité est surtout due à son tableur Lotus 1-2-3 (d'abord pour MS-DOS, puis pour OS/2 et pour Windows), à son traitement de texte AmiPro pour Windows et OS/2, appelé aujourd'hui Lotus Word Pro et à son programmee-mail cc:Mail. L'un des progiciels les plus connus de Lotus est Groupware Lotus Notes, disponible pour un grand nombre de réseaux et de terminaux. Lotus a été récemment absorbé par IBM et est maintenant chargé du développement de ses logiciels pour les PC.
Lotus, avec son tableur 1-2-3, a largement contribué au succès commercial des IBM-PC.
Smartsuite, la suite bureautique de Lotus, comprend les logiciels Word Pro, Lotus 1-2-3, Lotus Organizer, et la base de données relationnelle Approach.
Tableur commercialisé par Lotus. Il permet d'effectuer des calculs et de représenter des données sous forme graphique. Lotus 1-2-3 simplifie l'intervention d'un groupe de travail sur une même feuille de calcul. Il fait partie de la suite bureautique Smartsuite.
Programmateur (en anglais, "organizer") développé par Lotus. Il permet de gérer l'agenda et le carnet d'adresses d'un ou de plusieurs utilisateurs. Organizer fait partie de la suite bureautique Smartsuite.
Cet ancien ensemble logiciel développé par Lotus comprend un tableur, un traitement de texte, un logiciel de base de données, un logiciel de présentation et un langage de programmation de macros. Lotus Symphony était l'un des ensembles logiciels les plus utilisés sous DOS.
Deux CD-ROM culturels ont été consacrés au Louvre.
"Le Louvre, peintures et palais" permet de se promener dans les différentes ailes du Louvre à différentes époques. En choisissant une école ou une époque, on accède à chaque œuvre, accompagnée d'un commentaire sonore et d'une animation graphique qui analyse sa composition. Une loupe permet d'examiner le détail d'un tableau.
"Le Louvre, peinture française" détaille 300 des 4000 tableaux exposés dans ce musée. La période représentée s'étend de 1350 à 1850 et concerne uniquement la peinture française.
(À basses radiations) Se dit d'un écran d'ordinateur conforme aux normes ISO à faible émission.
(Abréviation de "Lines per inch", lignes par pouce) Il s'agit d'une unité de mesure semblable à Dpi (Dots per inch) destinée à mesurer la trame lors de l'impression. Alors que le Dpi est plus utilisé pour la résolution physique des scanners et imprimantes, le Lpi constitue une mesure du procédé de trame utilisé pour imprimer des images (photos). Pour les imprimantes monochromes (par exemple, les imprimantes laser), il existe une relation entre la fréquence de trame et le nombre maximal de nuances de gris : résolution physique en Dpi + fréquence de trame en Lpi = taille de la cellule de demi-teinte produite. La cellule de demi-teinte correspond à l'unité de trame utilisée pour représenter un ton de gris. Étant donné qu'une imprimante monochrome ne peut pas représenter de vrais gris, ces tons doivent être simulés par une trame. Une cellule de demi-teinte peut donc faire varier le nombre de pixels noirs de 15 x 15 points noirs (100 % noir) à 15 x 15 points blancs (100 % blanc). Pour produire 50 % de gris, une cellule de demi-teinte est composée à égalité de pixels noirs et de pixels blancs.
Imprimante à aiguille
(En anglais, "line printer") Gestionnaire standard défini par le système d'exploitation MS-DOS ou OS/2 pour une imprimante. Trois de ces gestionnaires standard sont réservés, LPT1: (également appelé PRN), LPT2: et LPT3:.
Voir imprimante qualité courrier.
Abréviation de "Least Significant Bit", bit le moins significatif.
(Abréviation de "Large Scale Integration", très grande intégration) Désigne un niveau d'intégration des circuits intégrés (voir CI).
Les différents niveaux sont :
1. LSI au sens restreint : de 1000 à 10 000 fonctions de transistor par puce ;
2. VLSI (Very Large Scale Integration) : de 10 000 à 1 000 000 de fonctions de transistor ;
3. ULSI (Ultra Large Scale Integration) : de 1 000 000 à 100 000 000 de fonctions de transistor ;
4. GLSI (Giant Large Scale Integration) : plus de 100 000 000 de fonctions de transistor.
(Abréviation de "langage temps réel") Famille de langages de programmation développés en France pour les applications temps réel ou militaires. LTR-3, le dernier de la série a précédé Ada en offrant des fonctions temps réel, de type asynchrone (voir synchrone/asynchrone), en plus d'une programmation modulaire stricte.
(Abréviation de "Logical unit", unité logique) Élément de l'architecture réseau SNA d'IBM.
Dans le cadre du rendu d'image, la lumière se limite aux sources lumineuses dans les limites du visible. Il en existe plusieurs types : en rayonnement multidirectionnel à partir d'un point, en faisceau imitant un spot, avec des rayonnements parallèles, ou à partir d'une zone ou d'une surface définie.
Voir infographie.
(Contraction de "loser", perdant et de "user", utilisateur) En jargon informatique, ce mot désigne un utilisateur qui se trompe sans arrêt et qui complique les choses pour le SysOp.
Lycos a été à ses débuts le moteur de recherche le plus complet et le plus rapide sur l'Internet. Il a été ensuite supplanté par Altavista. C'est néanmoins un moteur de recherches très convivial, même si la gestion des mots-clés n'est pas optimale.
Voir Lycos.
Le Lynx MSX128
Cette Société britannique mit son premier ordinateur sur le marché français en 1983. C'était une machine MSX avec de nombreuses possibilités d'extension comme des lecteurs de disquettes (voir lecteur de disquettes).
Il ne faut pas la confondre avec Lynx, la première console de jeux portable lancée par Atari en 1987.